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Full text of "Abrégé de grammaire catalane"

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a- ^OU LCHt-DELBOgC/ 

Prohuor 1 l'Ëcolt dei Hialci Èuitt (!i>mi»tKiîlM M 4 rÉcola C 



ABRÉGÉ 

DE . 

GRAMMAIRE 



^' 




BARCELONE 

IMPRIMERIE ET UBRAIRIE .L'AVENÇ. 

aO, kOKDA DB L'uNIVBtUTAT, 10 



Go( 



U^s*^ 



D,g,t,7=^-I>, Google 












n ,-i>,G(K)glc 



Le prisent Abrégé de grammaire catalane»' rédigé sur 
le modiie de /'Abrégé de grammaire espagnole ' et de 
/'Abrégé de grammaire portugaise ' paras il y a qmlqurs 
années. Ayant eu pour seule atubilim, en publiant ces trois 
volâmes, de faciliter l'élude des langaes Irispaniqua à teux 
là même qui ignorent le latin ou sont peu familiarisés avec 
les études grammaticales, nous avons dil nous astreindre, 
non sans regret, à un plan tris différent de celui qui eût été 
le nôtre si nous tums étions adressé à des lecteurs phîlol^tque' 
ment plus instrtiits; mus nous sommes, du moins, ejginee de 
donnera nos ttaniiels une formé aussi claire et aussi précise 
quepossitle, et une disposition typt^raphique qui en rende 
la compréhension plus aisée. 

C'est la première fds que l'on expose en français les prin 
cipes élémentaires de la langue catalane, telle qu'elle est ae 
tuellement parlée à Barcelone ■; mais notre tâche a été rendue 



I. Paris: H, Weller, 1893; Kptiime édition, tfo». 

a. Paris: Guillard, Aillaud&C'', 1894. 

i. Le taraetèrt ilémtnlMre de neirt volume nom inlet disait 
toute remarque relative aux variétés dialectales. -^ Uenliot noms, 
peur le Roussilion, Us deux petites grammaires de Pui^ah et de 
Saistet. 



smgttliértrtunt mmns difficile par les remarquables travattx 
*Je M. Pompeti Fûbra', comme aussi par l'admirable obli- 
geance avec laquelle ce cher et savant ami nous a consacré de 
longues semaines, partageant avec nous l'ingrat cl pénible 
labeur ^une révision dernière de notre manuscrit et de la 
correclion des épreuves. Nous n'acquittons que bien ïmpar- 
■ failement notre dette de reconnaissance en disant ici tout ce 
que mrire ouvrage dût à sa seienet et à son inlassable dévoue- 
tuent. 

Nous ne saurions oublier nou plus MM. J, Massa Tor- 
rents et /. CasaS'Carbâ : Vachèventent de cet Abrégé de 
grammaire catalane, commetué U y a plusieurs années déjà, 
est dii pour une large pari à leur insistance amicale et aux 
facilités de toute sorte que nous aivns trouvées auprès ^eux : 
' nous la en remercions bien sincèrement. 

R. F-D. 



t. Entayo de gramitica de catalin moderno. Barctlona : 
.L'Avenf, 1891. ~- Étude de phonologie catalane (Ctulan 
oriental). JEniuf bisfanique, 18^7, — ConitJbuci6 a la gra- 
maiica de la llengua catalane. Bartelcna : L'Avenf, 1898. 

Nous publierons prochainement, une Bibliographie de la phi- 
lologie catalane, dans taqueUe 011 trouvera la litte des grammai- -, 
rts d ouvrages analogues parus jusqu'à et jour. ■ 



n,r,„.=-i>, Google 



CHAPITRE I 
PRONONCIATION 



I. ALPHABET 
1. — L'alphabet catalan k cotupoM des 16 lettres iai\'aatet: 





„... 


-.„,.^ 


runçi'iM 


<9Ui**u)n 






B 


., 


voir S 7 






b« 


bé 








H 


ci 








de 


a 








■ 


i 


voir S 8 






al« 


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luitu 


alchù 


h muet 






i 


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10 




fou 


iota 








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ka 








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voir S 9 






f 


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P 



LES DEUX Adadm^IllU VOYELLES 





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17 




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21 




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w 


«4 




•4.U 


ékiç 


voir S jo 


as 




Tf»!" 


igréga 


y 


26 




HU 


tiu 





Les lettre* de l'alphabet ulalan sont du genre féminin. 

II. LES DEUX ACCENTS — LÈS VOYELLES ■ 

a. — H y 1 deux accents en catalan: l'accent aigu et. 
l'accent grave. Ces accents ne peuvent être placés qu'au-dei- 
SD* d'ane voyelle tonique. (Voir § 41 .) 

), — L'accent aigu peut être placé au-dessus d'une des 
voyelles t, 0, I, ■ : il indique que tes voyelles a, ont un 
son fernié et sont voyelles toniques; il ne modifie en rien la 
prononciation des voyelles 1, ■, et indique simplement que 
ces voyelles sont toniques. 

4. — L'accent grave peut être placé ao-desius d'une des 
voyelles a, •, : il indique que cet voyelles ont un ton~ 
ouvert et sont voyelles toniques. 



). — i se prononce toujours comme rïordinaire français. 



■ I,, Google 



LES DEUX ACCENTS — LES TOYELLES J 

6. — n se prononce toujours comme ou français. 

Dans les grouiKs de lettres gtu, gtta, gU, qu, qOa, ti 
voyelle ■ se prononce; nuis elle ne se prononce pas dans Ici 
groupes de lettres gtu, gai, qu, qui. Dans qiio tanl6t elle . 
le prononce, tantftt elle ne se prononce pis. (Voir §§ 14 

« ")■) . 

7. — a se prononce de deux manières: 

A. Elle a un son ouvert, un peu plus long que ]'" du mot 
(tiaçtH palle. mais un peu moins long que l'd du mot fran- 
çais pâU, quand elle est tonique, Éi. : car, cber — flao. 
miiign — la, niim. 

Remarque. Elle a un son on peu moins ouvert que le 
précédent, et i peu prùs analogue i celui des à des mots 
français Uth, pâte, quand elle est tonique et qu'elle est 
suivie de 1 ou de s appartenant i la m£me syllabe. Ex. : eal. 
i7 faut — aal, ut — Uait (bli-oii), bku — «ao (kl-on), i7 - 
tombe. 

B. Die se prononce avec un son un peu sourd qui se 
rapprc he du son de IV muet français dans les mots mt, 
U.h: 

1* loutes les fois qu'elle n'est pas tonique; 
3" Dans les mots suivants; la, la, article défini et pro- 
nom personnel complément féminin; al, au; ali, aux; — 
ma, iiia; ta, la; >a, sa; adjectifs pfonominaus postessift; — 
a, an, à^ an, anb, ab, irivc. 

Dans le présent AbrëgA de OMioutaE, on représentera la 
prononciation figurée de ce son par les lettres tu en caiMtércs 
I italiques, 
I Ex. : acaba («ii-ka-bt»), U achève — la eaia (bu ka-i«tr), 



..Cù.w 



4 LIS DBOX ACCEXTI — LU TOTILl.It 

4 8. — • *e prononce de trait nuajém; 

A. Elle > an ton ouvert, comme le* i dct mott fnncsii 
actif, suab, d<ni an trit grand nombre de mott dont elle ett 
.U voyelle tonique. Ex, : certa (cèr-tru), ttrlëint — «1 fM 
(fH\ piç), Upoiii — pie (plû), plein. 

B. Elle a un ton ferm^, comme let i do mot françait iétéié, 
dant un trëi grand nombre de moti dont elle ett la voyelle 
toni<]ne, Ex. : dlr<, jt dirai — tâxi, jt ferai — prbura (pri- 
mi'Ttu), prtmiire. 

Rehaique. Elle a an ton un pea plut fermé quand elle ett 
luîvie de a appartenant i !■ m£me lyibbe. Ex. : ara (mé-ou), 
mien. On ne trouve jamai» une • fermée ionique tuivie de I 
appartenant i ta mCmc syllabe. 

Dant le prêtent Abiëcë de gmhhaire, toùtct l« foii 
que ) aura un ton fermé et lera écrite tani accent, 
la pr<H)ORciation fïgurvc en tera indiquée entre paren- 
' thétet par (é); par conséquent • ionique turmontée d'un . 
accent grave on écrite tant accent et dont la prononcia- 
tion 6gurée ne sera pas indiquée, aura toujoun un ton 
ouTett. 

C Elle te prononce avec un iqn un peu sourd qui se 
rapproche du ton de l'( muet français dant let mots mr, 
le, it, identique au ton indiqué précédemment pour ■ 
(S7,B): 

I* Touiei let fois qu'elle n'est pat tonique; 
]* Dans let mott tuivanu: al, h, article défini et pro- 
nom pertonnel complément ; del, du; pal, far le, pour te; 
Mm, Jtt; pala, par les, peur les; ali, 1m, Us, artlclct définis 
et pronoms pertonnels complémenti matculint et fémi- 
nint pinrielsî — m», me; te, te; ■«, le; aaa, nâui; an, ne 
en; prooomi pertounelt compléments; — mea, mei; tu, 
tit; Êtê, m; adjectifi pronominaux potietsilt ; — «m, qiu. 



n,r,„.:-i>,Goôgle 



LIS DEUX ACCB>m — LES 

f «/; — ta, de; m, iaiis; pn, par, pour; pcn, peur; — as '. 
Din) le présent chapitre, on représentera U prononciation 
figurée de ce ton par les lettres eu en caractères italique*. 
Ex. : tl para {tu\ pa-rtu), Itpirt — U nara Qtu ma-reu), 

ExcEFîTON. a non tonique a le son fermé de IV français, 
quand elle est immédiatement suivie d'une a tonique on non. 
Ex. : al taatre (»/) té>a-trf u), Utbéâin — cnador (kré^u^à), 
crialtw. 

ReuAsauB. Certains roots s'écrivant de la méroe manière 
se distinguent par le son ouvert ou fermé de leur a toni^jne; 
par exemple: 

al ba, tagiitau — ba (bé), hitit 

bec, }t boh — al bac (bék), Ubee 

daa (d^-ou), dix; il lÙi — ' Dan (dé^u), Dita . 

nal, />r(^< — al nat (net), /< ^Ji/-/Wi 

■ae, i«f — al ue (sék), U pli 

al tan (sé-ou), U suif; la tan (té-ou), la tûlbUrah — aa« 
(sé-ou), ton, sien 

t\\»,itlhi — Vt,ita 
etc.. etc... 



9. — se prononce de trois manières: 
A. Elle a un son ouvert, comme let det mott français 
mort, port, sort, dans un très grahd nombre de mots dont 



t. an H pltu dniml kl prenons tt It* aoini propm i' 
mtBfHt pir DM coawaiw. Ei. : aB Haïti ((an* Mm-tl), turti* — an 
Para («nu pt-nii), Pian — an Solar (nm foa-M), Silir. DcTUt lu 
prinuni et h> non» prapm 41ionnM> cammufiBl p» «m Teycllc eu 
pur h, on tnpiok l'iiticit défiai. Em. t l'Ubari <lMl-Mm), Aital — 
l'OUar(loii-IH), CUfcr. 



( LES DBUX ACCtKTl — LE> VOVELLU 

elle eit la voyelle toDique. El. : bo, fam — grotu, gront — 
la força, ia foret — U rou, /« rost. 

B. Elle 1 un ton fermé, un peu moini long que lei i nu 
lea an dei mots français démt, pôU, toute, iduee, dam un tr^s 
grand nombre de moit dont elle eii U voyelle tonique. * 
Ex. : al earM, h charbon — corrt, il court — U rad, la 
'raison. 

Remarque. Elle a un son un peu pluf fermé quand elle cM 
laivie de I ou de a appartenant i la mùme ayllabe. Ex. : dolç 
(dàlç), doux — al pea («ul p6^u), hpuils. 

Dans le prisent AiaËCÈ ni! ghaiihaiie, toute* le* fois que a 
aura un son fermi et sera écrite »ns accent, la prononciatinn 
figurée en sera indiquée entre parenthèse* par (b); par consé- 
quent, tonique surmontée d'un accent grave, ou écrite sans 
accent et dont la prononciation figurée ne sera pas indiquée, 
aura toujours un son ouvert. 

C. Elle se prononce comme eu franfaiJ: 

i' Toutes les fois qu'eHe n'est pas tonique. Es. .: al 
capital («ul km-pt-toul), U rbapHre — al earta (tu\ ka- ', 
rrou), le char — al caU («til kou-t6), U eolm. 

a* Dans lés mots suivants: la* /(, article défini et pro- 
nom personnel complément; aoa, nous; rot, vous; ho, k; 
loi, la; pronoms personnels compléments; mon, tHon; 
ton, Ion; lan, son; taaa, mts; Un, la; no, sa; adjectifs 
pronominaux possessifs; — tw, négation, dans no moa, 
(nou miç), pas plus. 
Reharqub. Certains mou s'écrivant de la même manière ^ 

se distinguent par le son ouvert ou fermé de leur a tonique; 

par exemple: 
U beta, U hrilt ~~ U boU (bA-U), li lonueau 
la dftu, Uftmmt — «ou (dô-na), 1/ douni 
mUijt mtwt — ot mae (môk), la morne 



n,r,„.=-i>, Google 



IBS COHSOHNBS 

■nolt (mol), moulu — ixilt (môl), beaucoup 
Il min, la maurtsqut — la Bun (m6-ra), U mùrt 
l'àt, ros — l'M (làç), Fours 
la ion, /( sommtil — iAb (lAn), ib sont 
«1 aea (lo-ou), la solde — mm (s6-ou), vous lits 
«c... fie... 



ill. LES CONSONNES 

10. — b se prononce comme en fran^ii. 

b précédée d'une voyelle et laWie de I se prononce comme 
deux b. Ex. : doblt (dÂl>>blrri), àouble — poialUa (pou- 
çih-bUii), possible. 

Pourtant b se prononce comme b simple dans les mots 
commençant par aU ou par biU. Ex. : ablaair (m-blni-ni), ' 
oàoiieir — l'aUacU (Uu-blou-ci6), l'ablatun — la UUia, 
la Bible — la MUioUca (Ira bi-blloa-té-k»), la biblio- 
ihiifut. 

A la'lîn d'un mot, b se prononce ;, et ba *e prononce pç. ' 
Ex. : rab (rip), il reçoit — nb (çap), Il sait — aaba (çapç)( 
/h sais. 



II. — c et ç se prononcent comme en français. 

L'orthographe la plus usuelle écrit cb i la fin des mots, et 
on prononce ces deux lettres comme un k français: dans le 
présent AiaÉct db crammairb on a préféré écrire ces mentes 
mots avec 0. Ex. : l'ara, Fart — al «M (eu\ kook), le vtr — 
al lac, le feu — pM (pouk), je peux — aae, see, que l'on écrit 
le plus souvent l'arek, al eock, al lach, pufe, aaak. 



■ Go(-K e 



8 LES COMtOMNn 

II. — 4 te prononce comme en fnaçHt. 
* A la lin d'an root i te prononce /, et 4t se prononce If. 
Ex. : idd (i-cin), aeUt—lnà {(tin), froid— tiUi (»o-litt), 
uliJt — •!• àcMt ^tiiU a-cilç), Iti atiiet. L'orthographe la 
plus usuelle chsnge i en t i la lin des mots; on écrit donc 
gL^néralcmcnt idt, tnt, tHOt, ieiU. 

I). — s devant une consonne et devant a, «, ■ se pro- 
nonce comme en français. 

Quand g est suivie de ■, les deux lettres n'appartiennent 
pas ^ la ro^me syllabe et se prononcent sfparfment. Ex. : 
digne (digne-nfii), digtu — nagnffio (nuKgue'ni-fîk}, me- 
gHifiqiie. 

g prCcéd^c d'une voyelle et suivie de 1 se prononce comme 
deux g. Ex. : b raglt (Icu Tég-g\eu), la righ — «1 aagli («ut 
ség'glm), U tikk. Pourtant g se prononce comme g simple 
dans les mois commençant par agi. Ex. : l'agli (l^u-gla), le 
giaiii — raglomoracltf (l«u-gtou-m«u-rfif-cià), Tagglomiration. 

Devant a, i, on prononce g à peu pr^s comme / français. 
Ex. : al gaiiaral (ml \tu-Tuu-ri\), U gitiiral — la gineata (l^u. 
ii-nés-t«»), Ugtnit, 

A la fin ti'un mot Ig précidi d'une voyelle se prononce 
comme ich des mots français eaouleboiu, palcbouli. Ex. : al 
ralg (iu\ ratch),.b rayon — al ptasaig («ul p«i(-cétch), la firo- 
mtuaii — rolg (rotch), rouge — al pnlg (eiA pou tch), la colliiu. 

A la fin d'un mot Ig précédé d'une consonne se prononce 
iirb. Ex. : al datlg (ml deu-zitch), U disir — el nig (cul 
mitch), U milieu. Dans ce cas l'orthographe la plus usuelle 
écrit Itf au lieu de Ig : el dasttg, el mltg. 

A U fin d'un mot iga précédé d'une voyelle se prononce 
Uf. Ex, ; ala ralgs (ralz raitç), iSa pnlga (<h1ç pouitç). 

A h fin d'an mt>t g, ga précédés d'une lettre autre que i se 



■_■ . n,„i,,-=-i>,G00glc 



LES CONSONNES 



prononcent k, iç. Ex. : l'aUnif (Iful-Mtk), Vauitrge — al 
prôleg ("il pro-l«i(k), U prciegue — •!■ eaUlagi (ralç k<u-ti- 
Ifiikç), Us caletogues. L'orthographe la plus usuelle écrit ek 
RU lieu de g i la fin de ces mfimes roots: l'albanh, d prUaek, 
aU eatàlaoka. 



14. — gni, gnt le prononcent coronie dans les mots frao- 
çais gtttrrt, gttiàe. Ex. : la goarra, lu giurrt — U gnlUm, U 
guUart. La lettre > est par conséquent muette. 

gtka, gOl se prononcent goui, geui. Ex. : aefftant (mu- 
gouûne), juivaut — U Ungafatiu (Un line-gouiç-ti-ktii), h 
liaguisliqut. 

gua se prononce foiM. Ex. ; al guida, U garât. 

ij. — h est toujours muette. 

h plac^ apr^ forme le groupe oh, qui se prononce 
comme il a été dit précédemment ($ 11). 



16. — I se prononce 1 peu prés comme / français. Ex. : 
al Jardl, U jnrdîn — al prolwta (é), hprejtl — al |ao, lejta 

— Jordl, Gtcrgti — Jnllal, juiJltt. 

la, moi et Ja, déjà se prononcent presque toujours w. M, 
très rarement jo, ja. 

17. — 1 se prononce comme en français. 

U se prononce dans un très grand nombre de mots comme 
les II mouillés des mots français filU, ptàlle. Ex. : lladra, 
voUur — la lUgrlna, h hrmt — al cavall (rai koi-ball), U 
chtoal — l'anaU (é), f anneau — tall (Mil), mtux — «1 OU, If 
fib ~ ^cM, U col— élUat (à), lêlMf — ltnma»,lalun* 

— I-bU, rail. 

t devant U indigne un rcdoubkment dn.son des U monil- - 



tO LES COHSOHHIS 

lit fHD(iis. Ex. : l'MyaUla (l«ic-pa1l>ll«u), NpauU — la 
* ntUa (Uu nll-lku), la raie. 

i8. — Lonque II n'ont pat le ion dci II mouillci français, 
on Im prononce presque toujours comme 1 simple. Ex : 
l'aUtgarfâ (Uii-\tu-ff>a-ri-eu), Fall/gorii — b collKoitf (l<u 
kou-iwk-cîà), la eolUclica — Uhutre, (i-lonç-lrM), illusln 
— UtoUldWt (lne-t«u-li-jéne), iiHelligtnt, Dans ce us quel- 
ques écri\-aini suppriment une I : l'alegoria, U mImoM, 
. ilBrtn, tRMUgnt. 

U ne K prononcent comme un double / français que dans 
un trâs petit nombre de mots. Tels sont si caraaall* («il 
keiit'mti-loa), le taramel — la earratella (}eu luK-rr^u-tèl- 
Yeu), la voilure — ela pstsiBelUi («nlç pou-tcbi-nùl-liç), Ut 
marimtelies — al xltxaraUo (fiil chi-tch<»-T^I-lou), le mioclte. 
Ces mots lont :]uelquefois écrits avec U : al oaruuUo, la 
oarratatU, ala pntzInaUU, al aJUaretl». 

Dans un certain nombre de mots,*les uni prononcent H 
comme I simple, les autres comme un double / français. 
Teb sont al coUafi («ni koti^lc-^i ou koul-U-ji), le caille '— 
wnaoar (kou<lou-ka ou kooMou-ka), placer — aipalUr («hç- 
p«H-li ou mç-pflfi-li), expiilier. 

RiiUARQiJE. Dans tous les mots oti 11 n'ont pas le son des 
Il mouillés français, ces deux lettres sont très souvent sépa- 
rées par un petit trait d'union. Ex. : la col-laeaU, U-lnstra, 
«Il patsiBal-Ua, al cal-lapt, eol-loear. Dans le présent \»M.toi 
DE GUiniAiRE, toutes les fols que 11 ne se prononcera pas 
comme les II mouillés français, la prononciation figurée en 
•era indiquée entre parenthèses soit par (I), soit par (U), 
suivant le cas. 



19. — ■ et n te prononcent toujoun comme m et n fran- 
çais devant une voyelle, par exemple dans les mou ramage. 



tiavirt, ameHtr. Ces ileux lettre» ne donnent jamais k la voyel- 
le précédente un son nasal : un, », ta, tu, la, 1», «m, m, 
HH, on se prononcent toujours comme si a et n étaient 
suivies d'un t muet français, Ex. : la lu> (Im famé), lafmm 

— inUrior (func-tfH<riâr), aul/ritur — «1 rea («ni rème), 
h rnmt — meara (fnne-kii-rfu), eacort — lapoMible (ime- 
pou-cib-bl^»)) ""^<tM'^'' — riaUiicU.()ine-tMne-cid), rtH/«i- 
tim — l'ombra (lâme-br«u), l'ombri — lu pattaa (oaae 
p»fr-fouiiie), un parfum. 

30. — nj se prononce comme le gn mouillé des mots 
français eainpagitf, vigne. Ek. : Catalunjra (Vea-UuAoa-gaeu), 
la Oilalogiie — Etpanya (fuç-pa-gnni) FEspagne -^ •! roial- 
nrel (ru\ rou-ci-gnol), It rostignol — l'anj (lagne), Fûnnie 

— JBBy(jougne),;HiH. 

n se prononce i peu prés comme le gu mouillé des mots' 
français campagne, vigne quand elle est suivie immédiatement 
de g«, gi, J, 11, x. Ex. : l'ingal (lagne-jml), Tmgt — «tgl- 
■yéi (flfgne-ji-gnoç), ingénieux — aanja (mégne-ja), i7 mangt 

— l'enllaç (l;»gne-llaç), runimi — la ptuia Qeu pougne- 
chfu), la poiitle, 

11. — p te prononce comme en français. 

p immédiatement précédée de a dans la même syllabe ne 
se prononce 4>as, Ex. : el ckap (mI kame), le tbtunp — ab 
oampi («tilç kamç), les champs — al napte (ml kàme-tm), 
U compte — al llaap («ul liame), la fmàrt — la pranapeW 
{\eii pre»-Eoame-ci6), la prixmpiion — al taaya (ml témç), 
le Itmpi. 

31. — n n'est employée que dans lés groupet qu, qii, 
qlke, qva, qao. 
qoe, qui le prononcent ki, ki. Ex. : tqnU, tduî-là — 



';■■ 



l'viqum, la gauche — afal, ici — trufail, trmqttilU. La 
lettre n eit par cooiéquent muette. 

qla «e prononce houi. Ex. : la eoBHqftœla, la émisé- 
^ueuct — M|AMtn (é), /quatre — la qitesUtf, la qiitsiimi. 

3). — qu*e prononce ie»(i. Ex. : quaa, qimui — qoatra, 

qno tonique m prononce tmo. Ei. : aq«te (a-kouôç), 
«f ueux. qiw non ionique le prononce koti. Ex. : 6l fooclont 
(»l kou-ciine), îequolUitl — qiwtMli (kou-tt-di-a), qiMtidien. 
Mais en demie» mou s'écrivent aussi cocieDt, eotUii, la 
prononciation restant la mfme. 

14. — r est dnre et légèrement ronflante: 

I* au commencement d'un mot. Èx. : «1 ran, li ra- 
meau — U raada (è), la rtnit — rie, rîcbt — la roda, la roiit 

-— alnio, l'âiu. 

i' quand elU est précédée d'uhe des lettres I, m, n, s. 

Ex. : el folro (à), la âouUure — MBuivra, Mnn'cc .^-honrat, 

hoiiiUU — iaraalita, israilile. 

)" quand elle est redoublée. Ex. : l'arroç, It ri\ — la 

mm (à), U sablt — U terra, /a frrrr, 

r entre deux voyelles se prononce très doucement. Ex. : 
l'vada, la ebarrut — U larlu, laferim — l'kora, tlxare. 

3j. — r dernière lettre d'un mot tantôt se prononce, tantôt , 
ne se prononce pas, sans qu'il soit possible de donner une 
régie i cet égard. D'une manière très générale on peut dire 
que r te prononce i la fin des mots n'ayant qu'une syllabe, 
et ne te prononce pas à U fin des mots ayant plus d'une 
syllabe, mais les exceptions sont très nombreuses. Ex. : car 
(lur), thtr — elar (kla), clair — tl cor (kor), /( caiir — dsr 
(dou), iur — U Oar (flo), la fleur — ■«: (mor), il meurt. 
— la por (pA)f la peur — alitr (fli-i), hier •— ï'mmmt (\eu- 



„,Gi)i.)'^le 



LES CONSOttNHS 1} 

mor), fameitr — il coloMar (kou-lou-nia), It cohmMer — 
enter (ruae-tér), tnlitr — llaminer (llM-mi-né), gourmani — 
madnT (yatu-Aoa), mûr. 

Remarques, r finale eii muette ilaas Ici inlÎDiiif). Ex. : 
parlar, parltr; uber, savoir; ciirtr, ctmiir; dvmir, Jcrmir; 
ivi, porlir, 

T finale est muette dans les mois dérivés. Ex. : U cUror^â), 
la (larli — Il terrer (é), U forgeron — •! UAalUdM- (6), U 
Imvailltiir — U triitor (ô), la tristesse. 

r finale se prononce dan* les neuf adjectîfo suivants : aste- 
rior (àr), puierier (or), clUrior (6r), tdtarimr (ôr), txUrior 
(or), intorier (ôr), inperier (6r), intartor (Ar), buimt (Ar), 

Dans le présent Abhëgë de ctAUiutRe, toutes les fois que 
r finale devra se prononcer, la prononciation figurée en sera 
indiquée entre parenthèses par (r). 



26. —a se prononce comme en français, c'est-d-dirc tan- 
tôt cumme f, tant6i comme ;. 

Elle se prononce comme t dans les quatre mots l'alaiaa 
(lful-ii>n«u), le chine — endinur («une-dine-za), pénétrer — 
mlonur («une-foune-za), «ir/(>»(Yr — MHOiiar(raz-niour-Ea), 
déjeuner. Quelques auteurs écrivent ces mots avec 1: l'altlia, 



17. — t se prononce comme le t du mot français tattl. 

t immédiatement précédée de I ou de o dans la même 
tyllabe ne le prononce pas. Ei. : ail (U), haut — matait 
(m/u-lài), maiait — ol eait {eu\ cane), le tbant — contât 
(koune-téne), content — eridantManl ((H-bi-déoe-méne), 
évidemment — al put («h1 poune), UpiAit. 

Pour b prononciation de tU et de tl, voir ^ 17 et 18. 



■ 4 LES CONSOMHU 

Rehakques. aqaMt, cectl, pretque toujoun prononce abllt 
quand il pricCde immédiatement un nom commençant par 
une coMOnne. Ex. : aqnut gall, a coq — aquat Mal h»Ma. 
le méchant bommi. 

■qnNt, tfltti^i, et aquatt, cti, eeux-d tont toujours pco- 
noncéi aiitt, aliil(. Aqnait ho ha dit (Akétt on a ditt), Ceil 
alui-ci qui Fa dit — aqaaata aAna, cet arbres — aqnwU 
galli, CCI coqi — aqnaata honu, us hommes — aqvaata antiea 
caitella (é), at vieux cbétteux — A«n«iU hs han fat (Akétç 
ou ane f^). Ce soal ceux-ci qui Vont fait. 

Mais a te prononce toujours dans aqnaatu, aqnaita. 



Le tubslaniif pluriel )aa poiU, Us plaacbei, se prononce 
ttiiç potç. 

28. — T se prononce lonjours comme b français. Ex. : la 
vaoa (itu ba-kfu),- la vaebt — «ail (bill), vieux — al ▼{ («ul 
bi), h vin — la n>ra (itu ho-teu), h hori — thU. (boull), 



19. — w n'existe que dans un petit nombre et mol* 
d'origine étrangère et se prononce comme ( français. 

]o. — X se prononce de plusieurs manières; 

A. Au commencement d'un mot, ou dans le corps d'un 
mot après une consonne, elle se prononce comme les ch du 
mot français cbirchtr. Ex. : zic (chik), ptlil — la xanca (Itu 
char-cheu), UfiUl. 

Iz précède d'une voyelle dans le corps ou 1 la fin d'un 
- mot, se prononce aussi comme tes ch du mot français cbcr- 
cbtr. Es. : la oaiza (Ini ka-c)wu), la caisse — ol paix (eu\ 
pèche), le peitioH — e^ (cAche), brileux — la Madoixa Qeu 



Cnc.^le 



LES COHSOHHES 1} 

aieu-îoa<heu), la fraise, Qqelquet écrivains tuppriment i 

lorsque ix ^tiçlài d'une voyelle est daas le corps d'an moi: 

la casa, la madoxa. 
izse prononce comme Ube des mots français bkbe, riche, 

dans les mots «1 gnfz (<"l guîche), It plâlrt, et li (iche), ' 

il sert. 
B. Dans les mots commençant par w, la lettre z peut se 

prononcer de trois minières: 

1* Comment quand u est suivi d'une voyelle on de k. 
Ex. : l'azamen (Iru-gza-nwune), fexanun — l'axampla 
(UH-gziime-pIm), tex€mpk — raxlatenoia (bu^iç-tcne- 
ciru), texislenct — ezhalar («»-gun<(a), txbaitr, 

2* Comme ç quand «i est suivi toit d'une consonne 
autre que e, soit d'une o non suivie de o, I. Ex. : l'exu- ' 
vaeU (I«(ç-kfl(-b«i-ci6), ftxMvatim — «xtarior (mç-ww- 
riâr), exUrltur — axtram (cnç-tréme), extrême. 

3" comme k quand az est suivi de ce, ci. Ex. : ucallmt . 
(Mk>c«ii-lèae), exctlUiil — ncitar («uk-ci-ta), txcUer. 
C Dans tous les autres cas x se prononce comme k(. Ex. : 

la mixlÉM (Uu ma-kçi-mm), la maxime — la nflaxld (W 

r«u-fl«u-k;iA), la rifiexioa — fis* (fi-kçou), fxt — al Uxt 
(ml lékçt), h Itxit. 

3 1 . — _ y se prononce comme i français. 



33. — Les consonnes catalanes dont il n'a pas fié parlé 
e prononcent comme en français. 



(•;.„■« ,• 



IV. LIAISON 

)3. — La prononciation de la dernière ou des deux der- 
nières leitrei d'un mot catalan \'arie quelquefois te!on que 
le mot (uivant commence par une vo}*elle ou par telle ou 
telle consonne. 

}4, — Les variations suivantes ont lieu devant un mot 
commençant par une voyelle, par b, on par une consonne 
autre que e, t, k, p, q, a, t, z : 

t* a fînak change sa prononciation habituelle de f en ;. 
Ex. i^htmnÇriA-zo-mttti;), les hommes — lMdMw(l^iiz 
do-n^nf), les femmes — «la eiHpa i tla prati (i-nl( kain-i:! 
eul^pm^), tes iJtamps el les pris. 

a* ca et ga changent leur prononciation habituelle de 
^( en gj,. 2x, : ab mca braman (eulz rougi bra-m«une), 
les ânes braient — caUlegtiproip«ptM(kru-tt-lfng-£iprouç- 
pék-teuç), cittitlogiies et prospectus. 

3< ifs change si prononciation habituelle de itç en idz. 
Ea. : ab ptriga 1 las nllf («iilç pouidzi IrHZ ballç), les eolU' 
ues et ta vallées. 

4> ka et pa (non préc^f de m) changent leur pronon- 
ciation habituelle de pf en bi. Es. : Saba algnaa eoial 
(çab-unl-gou-nru ko-zru) Saîs-lu mu ehosef — •!■ eapi ' 
groaaoa (eu\ç kabz gro-çouç), les têtards, 

j" ds et ta changent leur prononciation habituelle Ue tç 
' en di. Ex. : Irtds o calaaU (fr^d-zô keuAéaç), frais eu 
chauds — toU alla (tôd-xùllç), eux lotis. 

6" ( change sa prononciation habituelle de f en x_. Ex. : 
U lalç i U dalla (}tu Ql-zi-Uti da-lUu;, la faucille et la 
faulx — u gof gros (oune g6a groç), tiu gros chieu. 
7* if précMi d'une voyelle change sa prononciation 



n,r;„.=-i>, Google 



SYLLABE TONiaUB I? 

habituelle de Ifh cii Jj. Ex. : Tsig nu hoBW (vè>djou- 
nomtii), Je vois un homme. — if pr£cfd£ d'une consonne 
change sa prononciilion habituelle de Ucb en idj. Ex. : 
mig otwrt (nii-djou-bâitc), à inoilié oiaitrl. Quelques per- 
sonnes ne fout pas cca liaisons. 

8° ix piicidi d'une voyelle change sa prononciation 
habituelle àc cb en /. Ex. ; afaeix hmoê (fn-k£-jo-nifu), 
cfl btiniHie — GoU i bami (cô-ji bor-ni), boUeiix cl borgne. 
— is prcccdc d'une consonne change sa prononciation 
liabitucllc de ùh en ij. Ex. : gnis 1 c«lç (gui-ji kilç), 
plaire tl cbiiii.t. Q}ic\qaci personnes ne font pas ces liaiKins. 

35. — e, p et t se prononcent ^, b, H devant une con- 
ionne autre que c, f, k, p, q, •, t, x. Ex. : Doc llilirM (dong 
h-bteiiç). Je jfoile îles livres — up ngla (kab r£g-gl^»), pas 
le règle ^- Mt meiot (séd iné-ïouç), srpt mois. 

36. — La t finale de aanl, laial, habituellement muette, 
,c prononce devant un nom commençant par une voyelle ou ' 
ur h. Hx. : lanl Intonl (çanc-lntne-to-ni), stiiiil Anloinc — 
lant Hilari (çane-li-la-ri), saint Hilairt, 

Outre fe mot laDl, la t flnale, muette quand elle est pré- 
:£dcc de I ou de n, ne se prononce, dans certains cas, que 
lans un nombre tr£) restreint de mots. 



• V. SYLLABE TONiaUE 

)7. — Dans les mots catalans simples, la voix peut ippu- 
cr plus spécialement sur la dernière, l'avant-demiére ou 
'antépénultième syllabe. 

La syllabe sur laquelle la voix appuh plus spécialement 
e nomme syllabe tonique, et la voyelle qu'elle contient 
oyelle tonique. 



: -CUh ^Ic 



l8 tVI.U*B TOHiaVE 

}8. — Lci mott dont la >ylUbe tonique ut l» Jcrniire 
ic nomment nioti aigui. Ex. : pwlar (syllabe tonique l«r), 
Parltr — l'uM (lyllabe tonique Dell), Vaitiiiau. 

^9. — Les mots Jont \» sylUbe tonique est l'ivant-Jer- 
niire te nomment mots graves. Ex. : U tut (syllabe toni- 
que u), In maiion — ol Inro (sylUbe tonique br), /« /irr. 

40. — Lc»motsdont la syllabe tonique est l'antL^pûnuItl^me 
te nomment mots esdrùixuls (pron. ; <uz-drou-<houlç). Ex. : 
riyocB (syllabe tonique è), npaqiu — U ■&■!« (syllabe 
tonique né), la mmiqiit. 

41. — Un accetii, aigu ou grave, ne peut âtre plac^ qu'tu 
dessus de la voyelle tonique. Dans un mot ayant une voyi:11e 
accentua, la voyelle tonique est dune U voyelle accentuiic. 
Mais, le plus souvent, l'accent, aigu ou grave, n'Otant pas 
écrit, on reconnaît la syllabe tonique d'un mot quelconque 
(substantif, adjectif, verbe, adverbe, etc.), de la manière 
«livante: 

1' Tout mot termina soit par une voyelle, soit par une 
diphtongue croissante, soit par n précédée d'une voyelle, 
soit par a précédé-e d'une voyelle ou d'une diphtongue 
croissante, est grave, c'esl-1-dire a pour syllabe tonique 
l'avant-derniére syllabe. Ex. : usa, kems, cirl, C«go, 
Uilia, i^oria, aerla, Uengna, parlfHln, cnlliD, caam, cirla, 
etfM, tribot, rOHpaaaia, parlla, aerlu, eapecÎM. 

3* Tout mot terminé soit par une diphtongue décrois- 
sante, soit par ■ précédée d'une consonne, soit par ■ pré- 
cédée d'une consonne ou d'une diphtongue décroissante, 
soit par une consonne autre que n ou i, est aigu, c'est-i-dire ~ 
■ pour syllabe tonique la dernière syllabe. Ex, ; dMmai, 
muf, benicet, irai, eaelan, coma, lltixiti, renon, Inlern, 
contom, bnala, germana, dlman, eKlau, conent, dljans, . 
uiUe, aulml, oottam, fUoiep, loacor, tMint, ealabt. 



„,GlK)'^lc 



DIPHTOKGUES I^ 

}* Dans tout mot faisant exception aux deux réglet pré- 
cédentes, lu voyelle tonique est lurmontje d'un accent 
aign si elle a te «on ktmé ou d'un accent grave si elle > le 
ion ouvert. Ex. : ganni, Mereè, mwfnf , oempaajrâ, ningti, 
iligi, iliba, iptea, cllebn, ilcall, eambU, «itadlB.qttMUtf, 
eomprin, diriu, dMpréa, iMirAi, rillgidi, parliran, Ugnii- 
tln, liclli, orfgeu, lâliari, arUitie, ioid, Ulègrat, catitog, 
UcU, lldaliulm, carlct«r. 

41. — La lyltabe touiiiue d'un nom (substantif on adjec- 
tif) est toujours la niOmc, que ce nom soit au maKulio oa ' 
au fiiuiimn, au singulier ou au pluriel. Ainsi dau> ttwuiê, 
français — traacau, fraiipiiie — Ifummi, franfais — tranet- 
•M, fraiifaists, la syllabe tonique est e«; mais ce nom, qui 
est aigu au maicnlin singulier, est grave au féminin ainga- 
lier, au masculin cl au féminin pluriels, parce qu'il a une 
syllabe de plus, 

VI. DIPHTONGUES 

4}. — Une diphtongue est constituée par l'union de deux 
voyelles disvemblab'ca. Cliaque x-oycllc conserve le son qui 
lui est propre, nui!< elles appartiennent toutes deux ila même 
«ylUbc cl se prononcent d'une seule émission de voix. 

La voix appuie plus spécialeiuent sur l'une dct deux 
vo3-elles. Quand la voix appuie plus spécialement sur la pre- 
mière voyelle, la diphtongue se nomme diphtongue décroU- 
umc; quand elle appuie plus spécialement sur la seconde 
voyelle, la diphtongue se nomme diphtongue croissante. 

Il existe i} diphtongues: 8 décroissantes et j croissantes. 
Dans chacune de> diphtongues décroissantes, la seconde 
voyelle est loit 1, soit ■■ Dans chacune des diphtongues 
croissantes, la première voyelle est soit i, aolt a. 



. Gnw 



30 DirHTONOUD 

Quand, (lins une diphtou|>uc, d&roîiMnte ou croissinlc, 
la VD)Ylle lur laquelle la voix appuie plut ipvcialemeni est 
la voyelle ■, la diplilonguc peut avoir deux prononciatîoni, 
auivant qu'elle k trouve ou non i la lyllabc tonique; quand 
la TOj-elle sur bquelle la voix appuie plu* ipL-cialemcnt est 
une des voyelles 0, 0, la diphtongue peut avoir trois pro- 
noticiations suivant que e ou a un son ouvert ou fermé, 
ou ne se trouve pas à la syllabe tonique. 



- DiniTOKGUeS DËCROISSAK'I I: 



tiWt 


la daint, le êaim — mai, jamais 


tuiiu 


al caird, U carreau — t^ni, flairer 


ïou 


camre, tomber.— U clan, la clef 


eiiou 


dairar, rfor/r — al llautr (•:'), le 




ferbhulier 


iiWt ' 


ai raaiai, le rtmfde — U falna, U 




besogne 


éille 


la liai, la M — U raina, la rerne 


eiiAle 


Mnar (é), hherieiix — U taaiUt. la 




timlié 


èou 


crann, croire — al pran, k prix 


êou 


U nen, la neige — tan, Ion 


««ou 


eranii, il croira — Tauràa, Iti verras 


oïl 


la boira, le brouillari — A soi, le 




garfoti 


6il 


n'existe pas 


ouille 


U baiaau, le pelit birti - boirja. 




brumeux 



■ i,,Goi)gle 



DIPHTONGUES ]I 

(oou «1 eonn, It ciiivrt — l'on, Fauf 
Aou al roar«, U thiiit — ■! pod, h puils 
OB non toiiiiiiic devrait *e pronon- 
. ccr OU-OU ; en r^alitû on pro- 

I nonce eu-OM : coMri, il cuir» — 

I plOKà, iV/lfrHlTrt 

in (on Mcriiire, /crirt — «1 rim, h cours 

ni ouille Kni, mijoiinfbiii — Tolt, l)ail — 

knldar, viJtr 

RfOiJUidur.. L'ortliogruphe la plus usuelle change i, »e- 
coiiJc voyelle d'une diphtongue, en y. On écrit donc le 
plus louvent dayiM, tuy, cayri, fUjrrar, reinij, fayna, Uay, 
riyiu, fejvar, ■Mjttti boyn, noy, bojnaU, bofrài, ajuj, 
vnyl, bnydar. 

4J. — DIPHTOXGUES CROISSANTES 



ja, Jfjà (pron. îa) 

Il clammeia, /<i diniena — U flt- 

rf«, ia gMre 
lldglMie, rbygiiiie 
inhlnt, ambiant 

l'upida, rf!pt(t — la Miia, k sirit 
to, »io( (pron. io) 
rnplmUt, Ff-i^lesiou — la n^, la. 

Maridioaal, miriJRonal — rafional, 
rigimal 



DiritTOKCVES 



u oua igul. rgtii — vutie, quatre 

Ioai k cOBMfttincia, h tmisfquriict — 
la trtftaiiola, la fiiqiunet. 
«t i ouc bvqMnt, frtqiifiil — wgttnt, mi- 

(vani 
ourn U qfiMtié, k qiiesHon 

4€. — Lorsque, tlans un nint .contenant un dus t} j;toii- 
pes prûcvdcuts, une «les deux voyelle» e»i surmontée d'tni 
accent, U diplitonguc existe si cet accent est écrit au-dessus 
de la voyelle *ur laquelle la voix appuierait régulièrement. 
Ainsi les mots suivants ont chacun une diplitongue: cUm- 
nda, è»car, BadJ, etc. 

Mais si un accent est écrit au-dessus de la voyelle sur 
laquelle la voix ne devrait pas appuyer r^uliéremcnt, il n'y 
a pas de diphtongue, et cliaque voyelle appartient i une 
syllabe distincte. Ainsi aucun des molssuivanls n'a de 
diphtongue: pafa, ralm, Uadt, rafna, T<i, pe&c, keroliu, dfa, 
filMiHa, lu vlan , cambfaa, fttioio, eda, cfoa, codUbAo, cod- __ 
trltafn, etc.. 

ReiuitaiJE. Dans la plupart des mots où un des <!ronp<.-s 
■t, aa, al, ol, ni, aa ne forme pas de diphtongue, l'ortliogra- 
phe la plus usuelle intercale inuiilcincnt h ctttrc les deuii 
Toyellcs; dans ce cas un accent n'est écrit que si les régies 
d'accentuation (^41) l'exigent. Ex. : raUn, Uahal, vahl, 
•Ub, coBstniUm, cantrilraliafx. 

47. — Un groupe de deux voyelles autre que les trciitc 
groupes précitéi ne (orme jamais de diphtongue: 

traaix, rai, craar, llatf, poar, eoaat (é) ont deux syllabes; 

taatn, pnraalx, Uaooa, croaU, poaU, hèrot ont trois 
tyllabet; 



n,r,„.=-i>, Google 



nirHTOKGL'B 3) 

inraonar, racrMri, tririw ont quatre syllab». 

Rkharque. Dans la plupart des mots contenant un de* 
groupes ■•, ao, m, l'ortlti^niphe la plui usuelle îniercale 
iiiulilcinentk entre les deux voyelles. Ex.: traheiz, raU, 
racMhaiz. 

Remarques sur gna, qna, gui, qui, gna, qia. 

4$. — D:iiii gu, (pM, gol, qui les lettres tw, ni ne formenl 
pu de diphtongue, parce que go et qn se prononcent com- 
me des Ivitrci sintples, ci que la n ne se prononce pas. Il 
nV a donc pas de diphtongue dans les mots gaarra, qMdar, 
■nitarra, qiitri. « 

Mais lorsque la ■ de g», g«i, qne, est surmontée d'un 
trfma, la diphtongue existe parce que a se prononce, 11 y a 
donc une diphtongue dans les mots Mgttaiit (i), lisgUaU, 
eqOeitr* (i). 

49- — gu, qna contiennent la diphtongue na. Ex. : gnar- 
da, qnatia. 

gnai, dans le mot gnaltar, gtitlttr, contient la triplilongue 
nai. Voir le paragraphe suivant. 



Vn. TRIPHTONGUE 

}o. — Une Iriphtongue est constituée par l'union de trois 
voyelles, qui, tout en conservant chacune le son qui Ini est 
propre, appartiennent i la même syllabe et se proDODceni 
d'une seule émission de voix. 

il n'existe qu'une Iriphtongue, nai, dans laquelle la voix 
appuie plut spécialement sur « (ouaille). Cette Iriphtongue 
se trouve Mulcnteni dans le verbe gnalUr, gutller. 



!■, GiX); 



MOmnCATIONS OKTHOCMPHiat'Et 



Vni. MODIFICATIONS ORTHOGRAPHIQUES 



}i. — Ainsi qu'on l'a vu pr^cédemmunt (^$ loiji), cer- 
tains toni ne sont pu toujoure figurés par le* mCmcs con- 
sonnes (levant toutes les voyelles; le tableau suivant indique 
les changements i observer pour obtenir le mCme son détint 
toutes les voyelles: 

Son de ( .- ça, et, cl, ce, ça 

Son de ( français ca, qna, qai, C«, en 

Son de koii ; qui, qfta, qOi, qn» 

Son de g dur français ga, gne, gnl, go, ip 

Son de geit : gva, gte, gU, gvo 

Son de / ; ja, Je ou ge, fi ou gi, Jo, jn. 

ja. — Il arrive fréqueninienl que le sadical d'un mot cata- 
lan quelconque (substantif, adjectif, verbe, etc.), se termine 
par une des consonnes c, Ç, g au par un des groupes de 
lettres ga, qn, qui, comme on vient de l'expliquer, n'ont 
pas le ni^me son devant toutes les voyelles. Lorsque le mol 
subit une modilîcation, c'est-i-dire lorsque sa désinence 
primitive est remplacée par une désinence nouvelle, le son 
figuré par la demiire lettre ou les deua dernières lettres du - 
radical doit être, devant la désinence nouvelle, le même que 
devant l'ancienne. Il est donc nécessaire de modilicr la der- 
nière lettre ou les deoi dernières lettres du radical, si la dési- 
nence ancienne commence par a, o, v et la nouvelle par •, i, ' 
ou inversement. Ainsi : 

e qui précédait a, a, a (ou e.i la Kn d'un mol), se change 
en fa devant «, 1, 
et invenemeat: . 



.■i>,Go.oglc. 



IIODIFICATIOHS OHTHOGUPKIQDES 

qn qui préci^dait a, t se change en c devant a, #, a: 
ea, e«, en — qo*, qui, 

qa qui prûc^d^it a, o se change en qtt devant e, I, 
et inversement; 
qft qui procédait t, i te change en qn devant a, o: 



ç qui pr^ci^daii a, o, n (ou f i la fin d'un mot), le change 
en c devant a, i, 
et invcnemeni : 

a qui précédait o, 1 te change c» ( devant a, o, n: 
(«, ça, Çn — ca, cl. 



B qni pr^c£dait a, o, a (ou ( i la fin d'un mol) m change 
en gn devant a, 1, 



on qui procédait a, t *e change en g devant a, 0, «: 
0>i fOi 00 — gna, foi. 

gn qui précédait a. en change en gt «levant a, i, 
et inversement: 
gtt qui priicéUait a, I te change en ga devant a, o: 



g qui précédait a, i *e change en 1 devant a, o, n: 

g». §1 — i". |o. I«t- 



Enexples ; 

rio, riche, change en qn devant aM^riqaau, rù-bnu)' tt 
devant fiaim (riqâfulm, Jf'^ rtVlw) parce que o n'a pas devant 
a, 1 le m^me «on qu'i la fin d'un mot. 



i.GcXn ^ 



2« 



tlCKCS DE rONCTOATtOir 



r, Miqiier, change ipi en q^ dex-ani le* détincnce» 
conimençaiil pir e ou I: obllqtn, oMIftl, etc.. 

Goamçar, lûiiimmctr, change ç en c devant le» déxincacet 
coiiinicnçaiit par a ou 1: contHCVB, commcU, etc. Inrerie- 
ment, Tiaear, tti'wtrt, cliange e en ç devant le* désinences 
commençant par ou a: Ttnço, TMifat, ou quand il n'y a 
pas de désinence : tmiq. 

carrtfir, cbargtr, chaii(;e g en gn devant les désinences 
commençant par s ou i : oamgnea, camfMin, etc. 

ligna, eau, change g en gft devant an : aigtera (é), Mer. 
De même Umigva, fangut — UwgftaU, pelilt langue. 

fngir, fuir, change g en 1 devant la désinence o : tilo. 



' IX. TRÉMA 

;}. — Le tréma se place sur la ■ des syllabes gfet, fûa, 
' Sfti, ffti, pour indiquer que cette lettre doit se prononcer. 
Ex. : BlgAara (é), Irw^nt (é), llagtiau, etc. 
Dans ce cas la u forme diphtongue avec la t ou la n qui 
la suit. 



X. SIGNES DE PONCTUATION 

J4. — I^s signes de ponctuation sont les mêmes en cata- 
lan qu'en français et s'emploient dans tes mêmes cas; on doit 
pourtant remarquer : 

I* que les points d'intern^iion et d'ciclamatîon s'écri* 

rem comme en français i la fin d'une phrase, et, en outre, 

renversés au commencement. 



Coiij^lc 



SICNES DE POKCrUATIOK 3? 

Ex. : iQnan n norir «n PanT — Quand Pan! t$l-il m»rl? 

iQb'<i boxfoaqtint «rallt — Quect;btval tttjolil 
Uiw i» plinitci trùs courtes on peut n'en mettre 

qu'un i 11 fin. Si la fin de la phrase «t Mule intcr- 

rogative, le premier le trouve louvent au milieu de 

la phrase. 
1* <)uc l'on met toujaun deux pointi en lilc d'une lettre 
aprâs la formule : Volt (6) Smror (A) ■■" C) = Mmsitur, 
ou toute autre de ce genre; BaUnat bmIo mm (é) ; Mou 
tber ami, etc.- 



CHAPITRE II 
LES ARTICLES 

I. ARTICLES DÉI-INIS 

J5. — L» anklci dirini» uulan* lont al, h — «■(, Us — - 
■, U — In, kl '. 
)6. — Les artkks masculins «I, k, «t ali, /m, se coniracieni; 

avec d«, rft-, e:i dal. Au — M», its 

avec a, à, en al, au — aU, anx 

avec par, par.fxmr, en pal, par U.ptiir /«— p«lt,'/(ir Us, 

Enehplks: 
al Uibra 4al para — U Uvrt du pire 
Taffl al lardf — Je vais au jurdiit 
PaMam pal pont — Passons par U pont 
U porta da U ca*a — la porte de la maison 
ala eliran (é) 4a lea Ubriquei — Us ouvriers des usines 
le* linaitrea (û) dala tallara (c) — Us ftuilres dts ateliers 

, Dosan aqBaat pa ala pokraa — Doniiti te pain aux pan- 



I On écril MUTtiit lo in lien dt al, loa •n lien ie ala. L'article 
r^minin pturld lai l'ccfFt wimnt laa, it miuit qnc In DOmt f liiitli leli 

4tM caïaa, dftoaa, diaa, tu... t'kii-nnt HWTnn caaaa.dtaaa, 



n,r,„.=-i>, Google 



AITICLES DÉFINIS »9 

Vm (c) ■ la ciuUt — Va à la ville 
pal* maUixoi noUi» i per les mataisM raou (A) — 
[>oiir Ut mêmes motifs el pour Its mimlf misons 
57. — Devant un nom EOninicnçant par une voyelle où 
pir h, l'article musculin al, /«, se change eu r. ' 

Ex. : l'avi, le grand-pire ~ l'aitndi, Véltiât —■ l'inpori, 
rempUe — I'm, Cos — I'hH, l'œil — VYum, Vhamtçon — 
l'barbalari, riiivborisU — l'kJTeni, tbiixr — l'bome, tbomiiie 
— Iliamor (6), rinimeiir 

La contraction avec les prépositions a, t», par est faculia- 
live : on emploie 4«1, al, pel ou dt 1', a 1', pw 1'. 
Ek. : AqneiU «lui 61 dal bortali, ou : it l'horteU — Of 
oiilil esl au jardinier 
Tinc mal 4l nll, ou : a l'nU — /li mal à rteil 
Han paasat p«l hort, ou : par l'bort — Jh ont passé 
par k jardin 
;R. — DcvjDi un nom commençant par une voyelle ou par 
h. l'arliclc féminin la, ht, se change en 1'; mais cette élision 
est facultative quand le mot comnietice par 1, «, n ou U, bo, - 
bn et que la syllabe tonique n'est pas la première. 

Ex. ; l'avia, la «raaiTmère — l'iliga, raille — l'harpa, la 
ixirpe — l'eMioU, l'iccle — l'hwl» (i), Tberbe — riUa, file — 
l'ideaou la idea, r/rf('« — l'hUtoria ou U hiaUria, rfrù/ciW— 
l'ombra (6), l'cmbre — l'oralla ou U oralla, VortiHe — llura, 
rienre ~ nnnaïUUt ou la haiiMUU^. Vboiiniltlé — l'aagla, 
r^igU — l'nniut ou la uiiUt, raniU — nnmlut ou la ba- 
■iUt, rbiimidilé. 

J9. ^ Quand, dans un mOme membre de phrase, l'article 

masculin al, le, est précédé d'un mol terminé par une voyelle 

ou par une diphtongue croissante, et suWi d'un nom com* 

mentant par une consonne autre que b, il se change en 1. 

Ex. ; ForU'l p« al Un (é) para — Porte le fain à tm pire. 



• n,r,i,7-i>,Co )t^le 



]0 JtKTia.El DETIKIS 

On a VU (5 I?) que devant un nom commençant par une 
voyelle ou par h, l'article d *e change en r. 

60. — Quand, dan* un marne membre de pbrate, l'article 
■naiculiD ■!■, tes, en précédiï d'un mot termina par une 
voyelle ou par unt diphiougue croiaunte, il se change 
en la, ()ucllc que loii la lettre par laquelle commence le 
nom aulvanl. 
El. : Uaata lllbrea ai atpuat b«1 — Dount la livret i cil 
tufiint 
Earit'la aturtb al len (é) oeaf — Einim la Mieaiix 
à loH cousin 



6t. — Q}iand un des moit hionsiinr. Messieurs, Madaiiie, 
Misdiiiiui, Madtmmeik, MtsiUmcistIbt eu auivi d'un quali- 
ficatif, l'article, placé en français entre le mot en question et 
le qualificatif, se place en catalan devant un de* mol* (anjor 
(ô), ËêMjon (d{), Mvjtn (à), aenyorea (ô), arayorata," 
■' MmjmUM, si l'on parle de l'une de ces personnes, et se 
. tupprîmesi l'on s'adresse 3t elle. 

Ex. ; Moiisitur k cohntl dt ce rigimiiit est à Barctitnif. — 
El aMayor (à) eeronel d'a^naat ragiBuit (l) <a a 
Baroaleu. 
Benjmir, Monskiir le Ministre. — Bon dfa, amifor (à) 
Wmiitra. 



^3. — On ne traduit pas l'article défini français; 

I* Devant un des six mots caaa, maison; eacara (é), 
cbatse; Mtaaa, messe; palan, fnitais; pâaaaig, prcmtnnde; 
fuqun (i), féebe, prit dans un sens indéterminé et pré- 
dii d'un verbe indiquant tilualion ou mouvement. 
El. : Moa frire est & lu maison — El man (é) gémi éa ■ usa. 
Henri ira i la chasu — Barie nlri ds eaoan (é). 



!^Go()j^lc 



ARTICLES DËFINIt 



Jl 



Le giiiéml va ait filait — El gratnil n ■ ptItM. 
Je v'uiis dt la proHienadt — Tioe de paiMtg, 
Miis ilans un seni iléterininé on emploie l'aniclc: 

ABflm al pal» diU nb (£) tf'&ngA — ^//oni au 

palu'n des rois d'Aragon. 
Talg al PaiMig dt Oncia — Je vais à la PremtuaJi 
de Gracia. 
1* Devant \* pttipart Jet nunis de provincci, Je payi, 
de coniincntt, prii ilans un leni général. 
Ex, : le climat delà Catalogne — «1 eliua d« ClUlBB]ni> 
La Fiance est un {mys Hcbe — n«Bça ta ■■ fati ris. 
L'Amérique ti'nt l'as aussi peitpUe que tEiiropt — 
Amèrloa no ia tant poblatU Ma Bnropa (6). 
Mail dans un *ens U^érniiné on emploie l'article: 

l'Eipaaya d« CariM QaiBl — VEspagne de Charles 
Qiiiiil. 
j" Dan* le» cxclaniaiions: 
Ex. : Le heaiicbevall — HannitoaTallI 



éj. — L'arlicte Jtfini neutre In m place: 

r Devant les atljectift emploj-^.iubitantivcmeDt au 
singulier. 

Ex. : lo AUl i In tnAUl — riiUle el riiinlile (c'est-i-«lire, ce 
qnrcst utile et ce qui est inutile, l'utilité et l'ino- 
(ililé). 
f n lo mé» fort del cmalMt — an plus fort du tombal. 
In aobla i In paUltUo dal (m Çé) pMJteU (i) — ce 
que son projet a de iiMe et de palrieliqM, 
3" Devant des substantifs ou des adjectifs singulien ae ' 
rapportant 1 une personne et indiquant IVtat ou la ma* 
. niùrc d'fitrc. , ■ . ' 



■Go.it 



J-^ 



ji akuclcs paititifs 

Ex. : Tiare « lo Mldat — rivrt tu toldat. 

kAm\n le' 4MJnUrMut f>* lu nUt m Kqsnt it- 
gecl — J'aêmirt nmbitii il a iti MiiUrtsti êaits 

Htagi fak lo iotM (v) fie et — Pmvnue ne suit 
avnbita il fil miV/wh/. 
)* Devant un adjectif pluriel *£par<£ du substantif <|u'il 
détermine, et avec lequel il s'accorde. 
Ex. : S'ha d'idnlrar lo valMU (£) ^n «An — // faiil ad- 
mirer leur courage. 
SoBbla iapoMiUt lo cntnui (û) f«f wtla — On 
ne t'imagine pat comme elles ton! eenleulei. 
4'* Devant les adverbes employés adjectivement. 
Ex. : le afnp i le Uiiqr — ce qui est rapprocbi et ee qui ni 
iMgni. 

II. ARTICLES INDÉFINIS 

£4. — Les articles îndélînis fraiiçais nn, une ic rendent 

par «m, wu. 

m. ARTICLES PARTITIFS 

6;. — Lorsque le substantif est employé dans un sens 
général ou indéterminé, les articles partitifs français ie, du, 
de h, det, Ame se traduisent pas en catalan, 
. Ex. : li n'y a p»t it p«itt — Mo hl ha pa. 

rofn du faiit el de là viande — Atpif ht ha pa i cara. 

Ai-lu de Cargetil i — Tau (é) dinara (é)T 

)'ai des ornugft de Valence —■ Tiae taroagoi deTalanola, 



AMTICLES PARTITIFS }3 

66, — Lorsque Jn, dt, la, des, etc., précédant un tubsian- 
ttf, lont pris en franfais dans le >ens de un peu it, quil^urs, 
on peut les rendre par on poc 4e, na Mtct de, ou, wmt, 
•]guu, âlgnBM. 
Ex. : Domie-moi au vlii — Ddna-M aaa viea de irt. 

C« J«((/ rf» AM» rfe i>MM — 8te ou waica d'as Unb. 
Citaitiil lits maisons de Iwis — Erm (é) mua CUM 

defoiU. 
Dts mUteiiis arnvirttil — Tu âiribar mu aat- 

6~. — Du, de la, des, etc... se traduisent par del, d» U, dt 
r, dflU, de iM, lorsque le substantif est déterminé. 
Ex. : Vends-mei'du drap que lu as fabriqué — Ten-Mt de U 
tala que liM laliricBt. 
Doiiiie-lui des pommes que lu as — Déu-U de lee po* 
MM (à) q» Uu (é). 
On dit aussi : Tta-m« Ula de b qM hu labricat — DAm-U 
'po»M (6) de les qwe tens (é). 



CHAPITRE ni 
LE GENRE 



'68. — U y», CD caufan, deux gcnret : le maiculin et le 
timiala. 

69. — On reconnaît qu'un *ubstantif eu maKulîn ou 
féminin d'aprtïi le* rj^les tuivanie». 

70. — Tout Ici tubstantiri désignant dei hommes M>nl 
matculin*. 

E\. : Fan, Paul — l'hemB, Fbomtnt — al «aplti, le eapi- 
laiut — al marudar (é), It marrltaud — al para, It plft— 
al fenar (é), U bmtlaugtr. 

71. — Tout lei tubtianiift désignant dei femmet sont 
féminins. 

Ex. : Maria, Marit — U dtu, Uifimmt — la bagatara (é), 
h NattcbifUHU — la nara, h mèrt. 

7a. r~ On reconnaît le genre des subilantifs qui ne dési- 
gnent ni des hommes ni des femmes, Ji leur dernière lettre, 
ainsi que l'indiquent Ict paragraptiet tuivantt. 



7). — Let lubttantift gravei on esJrùixult termlnét par 
a tout féminint, tauf : 

I* un grand nombre de substantifs dérivét du grec et 
analoguet aux substaniifs fraudais équivaleuts, tels que : 
A eliBa, U cUmal; al drana, It irami; A ilataMa (é), It 
tfahm, etc. 

n,r,„.=-i>,G00glc 



3S 



i' les subitamifs tuivaiiti : 
al eblera, le tboUra b1 pant^, U partplutt 

el comeU, la coiitèle al planaU, ia pUntie 

et le subtuotif pluriel tb «Iotm, Ut tiiviroiis. 
74. — Les substantifs aigus terminés par a ïont nuicu 
lins, sauf la Ma, la main. 

7}. — Les substantifs terminés paria ou U sont-féminiaf, 
sauf al ilbt, U jour, et al traoïTii, le tramway. 

76. — Les substantifs terminé* par Ç sont masculins, uuf 
la calç, la ebaux U Uf, la face 

la clcatrig, la àaUrke U fait, la faucille 

L'orthographe la plus usuelle écrit aau lieu de ç i la fin «le* 



77. — Les substantifs terminé* par • sont ntasculins, sauf 
I* Les substantifs <)ui ii)di<]uent une qualité, une pa*- 
sion, un vice, une faculté, et le* terme* scicnlifi<]ue*: 
a' Les substantifs terminé* par Ma, la, itrofe; 
)* Les substantifs suivants : 
la baaa, la baie l'imatga, rimagi 

U cla*M, h classe l'fndota, le caraelire 

U falanga, la phalange U laringa, le larynx 

ta faringa, U pharynx la llabra (é), U iiivre 

la laae, la phase ' U paata (é), h peste 

U 1«, lafei U ptoba, laplibi 

la Mm (é), lafiivre la tarda, taprèt-mtit 

la Iraaa, la phrase la torra (A), la taur 

llilolau, TbygUiie 
ordrs est maKulin dans les sens iuiVants : ordre, hait 
ordre, rang, ordre de bataille, ordre iarchileclure (dorique, lot 
cait, etc.); il est féminin dans le* teni *uivaaU : orJrtdt d^ 



ié IM CFSUf. 

î-aJerit, cidir milUithc, temmanêt, ftdrt dt eMitmtru, orirt h 
m demriliqtif •! im nti n , le désrrdrf, ctt loujoun mu- 
tulin. 

78. ' < Lct ïiil'iuiiijfs tcmiinï-s par f lont nMKulïni, ttuf 
U UMf, le tang. (I.'orlhographc la f1ii5 uioclle ictit U 

UMk.) 

79. — Lus siibiuiitirs turmitiL-x par t sont m.iïculint, uuf 
U élMi, le àiist, et la IW (c), la Ici. 

h, fin, est maaculin et rvminjn. 

80. — Les substantifs tcrraint-s par I sont masculins. Mal :. 
l'ami, la rae'we la Boral, h tnomle 

la Datedril, la talbédralt la ul, h sel 
la ool| le eboH la injal, le signe, la nuirqut 

la daatral, /a /Mrtir la iDcnnal, Jlrr /Hminq/f ~' 

la Htl, le miel U Tocal, la wytile 

Soat masculins an fvrainins suivant leur acception t 
al «aaal, le eanal — la «aaal, la geulliire 
•I c^tal, h eapital (somme fargtnl) — la eapltat) la 
exilait (vUU). 

81. — Les sul>stantlft terminas pr II sont masculins, »nr 
U r«n (i), la ptan, et la viU, h tvU&. 

83. — Les sulMlantifs icnninJi par m sont masculins, sauf 
U taa, la faim, et la llagia, le l^ame. 

•I !!■■ désigne ce qui produit de la lumiirt (bougie, 
lampe, etc...); la Uni solfie la lumiirr. 

8). — Les substantifs termina* par a sont masculin», sauf 
la ean, la riande.' 



n,„i,,-=-i>, Google 



A •in signiliu k ntmmeil (itat du dornicui); la ita signifie 
k tommeil (envie de dormir). 



84. 



tubïUiilil'i terminus ]>ar uiHt nutculii», uuf: 
lu cbaniou U praltMd, /« proitaim 

U Ulç6, /n /«tau la ni, h nihiii 

la prai6, la priiûii 
8;. — Lcf lubstautifs terniinét par U lont t'émitiins, sauf: 
«1 baïUi, U bastion «1 MranpM, ht rougeole 

«I gal6, le trait d'union al Ulté, li lalloit 
al milU, /i: mHliott al tii, b Iw» 



I, Muf, 



86. — Les itibslaiitir» tcnniiiis par p sont masculin 
la aarp (£), le serpent. 

87. — Le» substauitl's (cmiinéi par ar. ar, ir, ar sont . 
masculins, sauf U llar (r), le foyer. 

mar (r), mer, est masculin et féminin. Suivi d'une épi- 
tliite géographique, on l'emploie au nusculin. Ex. : al nar 
Haditarr)!, la mer Miditerranit — Ses composés la kaiza- 
mar (r), la mer basse, et la plaMUur (r), h pleine mer, sont 
féminins, 

S8. — I.es substantifs terminés par or sont nuscalins, 
sauf: 

I* Les subsunttfs dérivés d'a(l)eciifs, tels que U olaror ' 

(ô), ia'elartt; la (oacor (d), robscnril^; la sagrar (ô), la 

maigreur, < 



3* Les substantifs 
ir (ô), td cbaltur 
aor (ô), Iddénian- 
[geaison 
lOor (<y), U ebou' 
[fltur 



la cramar (ô), la hrùlure 
l'amUor (ô), la cbakur 
la fatar (ô), la puanteur 
la fior (d), lafieur 
riaflor (A), Vtnfture 



U U«ror (A), la stmatn la nmat (à), la rumeur 

la Bâror (A), /a. m^r/r la imt (6), /a /urar 

la pleor (à), /« ifmmt^miifii la Kafoyor (ô), b granit 
la por (A), /a ^nr [rMtur 

•1 pBdvr (ôr), lignifie ta pnitur; la pater (ô) la puanltur. 



89. — Les «ubaUntir» tcrtnin^* par a sont nuKulini, Muf; 
I* Les subsUntifs ({nve* ou esdrùixuls icmiiné* par la 
ou par4aa. 
Cependant al parlateaU, la parmibéif, est masculin; 

a* la tM, la loiix. 
Sont masculins et féminins raBlUati, Canalyie, et l'talaali, 
fempbate. 
•Ipala((i) signifie ltptmh;U poI>(<>), la potissitre. 





ftminins sauf : 




al coaut, /<■ rmli 


l'iaaUUt, riiiJliliil 


•1 eoaUt, U aW 


al i-airadat, le rbuiiie 


ri <la«tat, la ihtih 


. al randUt, U rdsiilfal 


raattt, r/ltil 


ri UacUt, h IrmU 


l'aaUUit, le slalul 


«1 vaicoBUt, /* viamiîf 



9t. - - Les amrci substantifs lermitiï') part ton mMcalim, 
luf: 

la eort, ta ceur (ftin ton- la nlt, la nuit 

\rerahi), la basse-tour U paret, le mur 

la dait, lit âeiil la part, ta partie 

la loBl, tafailaiae la paadent (i), la ftnlt 

la gtat, tes gtni la paput, la bii^ , 

U Uat, le tait la talat, la taule 

iM mai\, îa tiwrl \ la aarpant (é), /( Mr/ir»/ 



.■i>, Google- 



Lit CBKRR J9 

U Ut (è), la soif la ntUat (é), h ptnthaal 

U urt, le sort (4'une colline) 

l'art, Tait est maiculin ou féminin au singulier ; au plu- 
riel, il est rOiniiiin : Im ImUm (é) arta (aTç), iit btaux^rlt. 

eorrast {i^icearaiil d'un amrs tTtau, est nuKuUli et féminin. 

92. — Les tubitaiiiifi lerminis par n sont miKulini, unf: 
la eren, la croix la non, la noix 

U sninra, It renard . U pal, ia paix 
la matrin, /a HMfrÎTf lapardin, /njterJnx 
la Ban, // navire U tribu, la Iribn 

la nan (é), la nage la Tau, /n voix 



ete 



u signifie /« clou — la elau, /« clef. 



tlièn, U suif '-\Ati 



, /d ealbiâiaîe. 



FORMATION DU FÉMININ 



Le rfminin des noms (substantifs cl atljectifs) te fonne 
d'après les règles suivantes. 

PREMIÈRE RtcLE 

93. — Les noms graves ou esdrûinult terminât par a sont 
invariables. 
E\. : agrieola, d^ricn/f -r balga, M;^ — imUgm», indigiu$ 
Bxatmosi ; Le féminin des substantifs suivant* est îrré- 
gulier ; 

l'anddlaca, f archidiacre — l'arudlasaiMaa, Tarchi- 

[diai 
al ilaea, U diacre — la diaeMMia, la diacenttte 
•1 poaU, le poile — la poatlaa, la peiUtte 



ti rnUU, h prgpbile — U pnlMi», la prepMtist 
94. — Lct nami grave* ou ettlnlùuU tcnniniis pir • for- 
meat Icar ffminin en changciai b en a. 
Ex. : «lu*, nuire — alln, aulrt 
uipla, largf — MVl*' '«f 
nacta, ookI — axaeta, fxatU 
•1 Bâfra, U aigre — la aafca. In itigr*ue 
ExCEPnoNS : 1* Sont invariables : 

A. Les non» terminât par Ma, bra (sauf fohra, /htiivrt). 
ji» (sauf aMple, lai^e), Mtra (tauf al waalrt, le maUre), 
anu, aira. 

Ex. : aoblB, noble — UoaUe, laaMe — eilakra, ciUhre — 
■iKpb, ùmph — caapaaUa (é), cbampiire — asUonM, uni-, 
forme — erldalra. criard, criarde — el drapalra, le chiffonnier; 
la dr^airt, la chiffetimirt — al pallatra, le laiiiinir ; la pallaira, 
U femme du lanueitr. 

B. Lct quatorze non» suivant! : 

iraJM, arabe \vn ^à), jeitire 

Ullagfla, bilingue lladra, tvleur, voleme 

cimplica, comftiice lUara, libre 

iraTa, grave Blape, myope 

haretge (i), birilique paraani, perpiliitl 
iUutoe (I), illustre salTatsa, tauvage 

IntaHi, infime tanna, linu 

i'êffi aigre; alagra {é), gai, et pobra, panvre, ont deux 
fèminiits : agra et agra; alagra et alagra, pobre et pabia. 

J* Le féminin des substantifs suivants est irn^lier 1 
l'aloalda, le maire — l'alealdasaa, la femme du maire 
al UBOsga, le chaimne — la eaaongasaa, la chaiioineste 
al MBta (à), le eomie — la BOntaasa, la eomleiu 
lliinM, U hiru — l'karafoa, tbirtXne 
aljatfa, /(/ly^ — Ulatgaïaa, la femme du juge 



•I netg» (C), k mAhvlii la netaMaa, h femme Jit 

[méJeàii 

«I autre, le iMlIeur — la cutniM, lit femme du taUUiir 

A «Mtn, le mailie J'i'eok, a pour fciniiiin !■ nMlia, la mmï- 

Iresst d'école; la aaatrMU sigiiilîc la palromie, ma'a dana le 

lens de patron al Mtatra eit actuellement remplace par rasa. 

4* Lt fcminiii des substantifs suivants diffire entitJrcmont 

du masculin: 

l'aM, Vàiie - la aoawra (i-), râiuise 
•1 geadra, lt getiire — la nora, la bru 
rbome, rbomme — la dtea, la femme 
al maaela, le mâle — la femalla (^), la femelle 
l'onola (ô), ronele ■ ■ la lia, /ft /(»>/« 
. al padraatre, le panUre ~ - la audfaatra, At marâtre ■ 
al para, /<: /xVt: — la aura, la mire 
95- — Les iiom» graves ou eidnlïxul» tenninét par I for- 
ment leur féminin en ajoutant a. 

Ex. : l'aTJ, le graiul-pire — l'aTla, la grainTmirt 

l'harbolarl, VlierborUle - - rberbaUTla, rberborlste 
ordfaiari, onliiiaire — ordioaria, ordinaire 
aari, savuul — lavia, savante 
96. — Les noms graves ou CHlTÛinuls teimin^ par a for- 
ment leur fiminiu en changeant en a. 
Ex. : oago (i), aataglt — caga (û), aveugle 

èl mnlata, le mitUUre — la snlata, la mulâlrtsu 
ENCEPDOKi : al polira, le potilaiii, a pour fOminin la pa- 
tranca, la poalktie: al tan, U taureau, a pour fémiain la vaca, 
lavacbe. 



DEUXIEME R^LR 



97. — Les non» aigQi lemiinûs par u 
leur fémiain en ajoutant aa. 



: raj'clle forment 



il I.R CENME 

F.K. : si ssmà, k frète - 

nmÀ, TMiam — wiii, romtiut 

là, idin — UM, A>în« 

4Mi, ilxiimt — dtMaa, dixUmt 

pl«, ^(H -7 plaaa, /•/aW 

«I tùÊi, le foiiiin — la cmIbi, U amsiiie 

•I pslrl, /( (nintiiu — la padriat, h marraine 

be, fa)» — kou, Aoiir» 

•I coHfMjrtf, '« (ompagnon — la umpairna, /n mu- 

oportt, opporlnu — oportaaa, eppcrluiie 
ExcemoKS. : cemi, commim, cammime, «t iovarUble. 
ma, (TH, et a«, hh, rorment leur féminin en' ajoutant «: 

•1 bard, /« hirpu, a pour fOniiniti la barauaa, la barcmie. 
A BHriU, U Mier, a pour fL-mitiin l'orall», la brebis. 
Rkhanque. )M, faiii, devient boa <]uand il précède immi- 
tliatcmcnt un lubitantif nuscultii. Ex. : bon iU, boujoiir — 
■■ bon bon», nu brave bemme. 

98. — Les noms termiDil-ï par an, an, in, on forment leur 
fC-minin en dinngeant a en va. 
Ex. ; blan, bien — Uava, bleue 

l'aaalan, Feselavt — l'aselava, Feieluve 
VUim, rbérîtitr — lliama, rbérilUre 
{nan (i), juif — Jnsrc (é), juive 
eapUn, raptif - captiva, laplive 
tla. 11/ — tira, rive 
■on, neuf — aora, neuve 
ton (6), mon - - tara (ô), wW/r 
£\CEmOKs : saan, saatv, et bran, bref, brhf, sont inva- 
riable*. 



•I éta, U âitu, a pour fcminin la deMU, la détœ 
plskM, plibiirn, * pour fûminin ptabtta, plébi'tttwe 

99. — Cinq non» seulemcnr lont terminé» pur ■!, tl, oi : 
ib fonnent leur fcminio Je la nuniùrc tuivantc : 

irai. S"' — ï"''' S"'* 

tl ni (^), ie roi — b raina (c), ta reîtu 

•I Tirral (t), It vkt-rei — b Tlrniaa (i). '" vict-rtine 

bonh»!, genlil — bonicoU, gttilHU 

•1 noi, hgarçtitt -~ U nota, lafilMlt 

TROISIÈME RëCLB 

100. — Les adjectifs aigus terminés par at, it, mt forment 
leur féminin en changeant t en 4a. 

Ex, : fat, /<»/« — UiAt,faAe 

mont, violtl — minvda, violtlle 
axqnUit, txqiili — es^iiltlda, txqsiise 
htimlt, humide — knailda, biimide 
agnt, aigu — agoda, aigaê 
mat,,' m iiel — mnda, niiielle 
ExcEFi'ioKS : Les vingt adjectifs suivants forment leur fé- 
minin en ajoutant a : 

grat, agriablt laUiiU, infini 

immadiat, iiuiiiidial Banaacrit, maiiiucrif 



itagnt, ingrat 


9aM.pttil 


innat. iiiité 


. abMlBt, «»«•/» 


fuanaat, imaisi 


•int, sec 


■euat, MHMf 


aiMt, ruU 


contrit, coalril 


brut, wfe 


anidit, irHdil 


davolnl, divollt 


ftiit, r^lif 


iimiiM, Iris pilil 


laamdtt, iaou! 


' dlaolvt, diistlu 



I.a rcmjuia de ces aOjectift eti donc grtU, lagrtU, etc.. 

Ainiî qu'on le verra au chapitre XII, lc« participes pauét 

dit, Mtrtdlt, MwUt, et ceux lerminit par Krtt (Morit, lu- 

ertt, etc.), forment leur T^minin en aiouUnI a : dlU, M* 

criU, etc.. 

Gnq subftaaiifs teulement tont tenninéi par al, itj lU 
forment leur fifminin <le la manière tuivanic : 
l'akat, CabU — l'abtdMW, rabbesu 
•I caoyat, le bemi-frirt ~ la eaayada, la MJt-siriir 
' al fat, /( cbal — U gaU, la tballe 
•I UUrat, U Ullri — U UtnaU, Uijtmmt àt Ultra 
•I MdMitat, UremplnfiiHl - - U mImUUiU, la rcmpUfauU 
101. — Les adjectift grave» terminé* par 11 forment lent 
fiimittin en ajoutant a. 
Ex. : UUdt (I), ilikift - UUctU (I), iUkiU 
laidit, iniàit — IbMIu, inidilt 
fMt, expert — fMta,exptrU • '~'~ 

Voir auui 5 104- 

103. - -- Les noms terni ini-s .par M, ot, forment leur fémi- 
nin en ajoutant a. 
Ex. : al banat, rdiian — la burrata, la pelile âtiim 
conplat, eoiiiplel -■ - eonplau, fomplUt 
lit, prière — aiU, prière 
el net, U pelil-fili - la a<U, ta petile-filte 
dmt, Jéviil — doTota, if^u>/< 
ranot, /liHgui — raiati, éloiguée 
' ExcEmoNS : Les trois substantifs luiv-ant* ont un féminin 
irrégulier : 

•1 fcraisot, le loreier — U kmixa, la sercUrt 
al didot, leptrt mmrrUUr — U dida, la mtiirria 
al Mkat, U neveu — U Mkoda, la tiièee 
Voir aussi le.^ lo^. 



n,r,„.=-i>, Google . 



Ul CBKIIB 4$ 

10}. — Les adjectift Unntn^ par ant, Mt (c), lont iava- 
riâblcs. 

Ex. : MBiUat, nmîaul, mitltitile — IgMoraat, igaorml, 
igiiormiU — «rldrat (£), fvulfnl, h-iJmle — potMt (é), 
piiisHiiil, piihsatile. 

E};CEFrioNs : Les quinze atljeciifs suivants forment leur 
fcminin en ajoutanl a. 

ucnwaat, satro-sahil Umnl (û)> hiitânl 
■ant, tainl opBlnt {i), opultnt 

atmt (c), alfatlif taagniaolnt (é), smtguim- 

oalNt (é), ebauà [Iml 

coant (c), piqua»! (omnolant (£), sommUnf 

MsUat (£), cànleiil tvbnlaat (é), turbulent 
dotent (£), mkhtmi Tiolant (ù), ti>/rirf 
lent (û), /«II/ Tiraient (é), vini/ra/ - 

Le fûniinin de CM adjectifs est donc aanta, nteaU, etc... 
Six substantifs seulement sont terminés par ant, ant (ë); 
cinq forment leur fûminin en ajoutant a: 

rinbnt, {"nifml — l'intanta, Fitifmile 
•I parent (v), le parent — la paranta, U paraile 
el pénitent (£), lepéiiiltiil — la panitanta, tapitiitaite 
•I ragent (u), hrigenl — U reganU, la rigente 
• al aerrent (c), le serviteur — la aarrenla. In Krvtitite 
al gagent, le géant, a pour féniinin U gagaatataa, h géan- 
te; parfois aussi la gaganta et la gegintoaa. 

104. — L'orthographe la plus usuelle écrit arec t floale 
trente et un adjectifs qn'il est préférable d'écrire avec i. Ce 

bâtard bnid, vide 

lâche aaU, fluide 

ri întjraid 
I, sourd 



.■iCQOQV 'c 



1" Les ■djectir* tuivanu : 

icM, tulJ/ Uqnid, lîqaiJt 

bU. nriJt Itfià, Imdt 

ItM, aviit piUd, pâlt 

cilld, chaud plidd, pUcidt. . 

oèadid, ttn^Je pMM, ptrfiiU 

MpliBdid, spUiidUt pdtrid, pulriJê 
UUd, filidt ripid, rir^<i« 

Mtépili tlupiit rfgld, r^^U; 

iMpàrtd, Ml» peur lUId, ^o/iib 
tulfld, imipidt UmM, f/mûit 

Utoiptë, in/riF^iï Uirid, lorridt 
lavilid, iHurfù/e vilU, tw/ùb 

Le féminin it ces trente et un adjectif) ett lou)our( teruii- 
ni par a : tsHs, Mrda (A), frada, aaplindida, ripida, etc. 
loj, — Lci adjectifs tcmiitiés par t et non cooiprii dam 
le* catégories précédcnicf (§^ loo à 104) Farnient leur fémi- 
nin en ajoutant a. 
El. : aalalt, malait — BalalU, matadt 
aenlt, svtU* — esnlu, svtlle 
disUnt, ditllitcl ~ diatinU, diiliucU 
•djint, fi-jeiiil — adjanta, ci-jeinte 
ipUnt, riii^iiUnu — fninta, dnqiiiimi 
cart, ttrlaia — aorta, ceiiniiit 
daawt, dùtrl — daaarU, déarU 
San,ferl~tni»,fcrlt 
Uiat, IriiU — trliU, Iriilt 
Tut, vailt — vaata. vatU 

aCATRIÈKE RÈGLE 
106. — Les adjectifs terminés par c forment kor féminin 
en ajoutant a. ' 



h,r,„.=-i>; Google 



LE GENRE 47 

Ex. : Itao, uiaigrt — Otu, ma^rt 
■M, sieîie — MM, skbt 
boaio, joti — konica, friit 
bUno, btaiit — Uinci, thmlu 
ExcETTioNS : i« Le* quatorze non» luivanu fonneul leur 
fOminin en changeant e en |a. 

raalo, Fami groo, jaune 

aatic, nHcitii Uao (^}, Aiïc 

Trawaie, ftaatmi ■anjae, Ahu 

bixae, ^mhJ mAïUo, cin^rin 

leréttao, sylvestrt ponui, penriux 

garric, i/A'f/c abao, 0^9 m 

grec (i), )>rn' zanio, «fib-^^V 

Le féminin Je ces noms est donc l'aBiga, aaUga, etc. 
Ri»AHQUE. L'onliograplie la plut niuelle écrit avec ok lus 
trois adjectiTs aaiarGli, amer; aailoeb, «uaU^ui; Uarck, imig, 
— qu'il nous semble préférable «l'écrire avec f : aaiarf, 
anilog, llarg. Le féininin de eus adjectifs est terminé par fa : 
■narga, aolloga, Uarga. 

30 ei dnc, h âiic, a pour fûmïnin la dnqoau, la iathau. 

)<■ l'adjectif pore, M/^ a un féminin- régulier parea; mai* 

le substantif al porc, U fore, a pour féminin la trala, ia 

Irait. ■— «I boo, k bûoc, a pour féminin la oatoa, la chèvre. 



107. — Les adjectifs terminus par aç, oç, sont Invariables. 

E\. ; aadaç, anJacieux, audacieuse ^— aapaç, cafaUt — 
atroç, atroce — ttrvç.firoa. 

Mais les augmentatifs tcmiiuét par aç furpicnt leur fémi- 
nin eu ajoutant a. 

Ex. ! graBdag, graud tl disgracieux — grandaçi 
flrMuf, gros et laid — iroaaaga 



■ i>,Goi>'; c 



io8. — Ixt aJjcctirs icTiiiiiict par iç rurnicni leur fémiain 
en ajonum «. , 

r-\. : eaUf, rmUaire - - caUçt, takairt 
■flciç, maifif — Mtciça, nuuthv 

HxcErnoK : teUç, beiirnix, htunine, ett Jnnruble. 

Rbharque. L'orthc^aplM la plus usuelle écrit aau lieu At 
9 ilh lia des mots, ci n dex-ant « dcsïnence du féminin ; 



109. — I.e* noms terminus par If forment leur féminin 
en changeant if en j. 

Ex. : botf,/pn — b9}a,/W/r 
nif, nngt — nia, rongr 

Evcemoxs : IWf (0> '"'•'. » V°»i fûminin Ua^a (é), leitU._ 

mi%, âtmi (que l'on écrit le plus souveni wêX§), t, pour 
féminin aitja, Armit. 

cixai'iiiMi: ntcLi-: * 

nu. -- - Les adjectifs terminés par al, al, U, ol, sont inva- 
riable*. 

Ex. : ftnaral. gitiira}, g/uénilr - ■ fidal, fidile — kuail, 
humbk — qaatoarol, qufleeiiqiie. 

Exception» : Les quatre adjcaifs suivants forment leur 
fi-minin en afoutant a : 



ill, Iranquillf — traaqoila, Iraiiqiillh 
ml — «ipaiijola, espagiielf 
Bol, uul — aoU, uiih 
1a-s substantifs terminés par al, al, U, ol, forment leur 
l^inin en ajoutant a. 
Hx. : d f lair a i, k gfuiral - - la faiarala, lu ginirali 
I, kfmrbrr la pareaiala, fit fwchlre 



„,Gi)t)'^le 



SIXIÈME téCLB 
III. — Lei adjectif terminéi par ar tout iDvarîabfu. 
Ex. : ludliâr (r), familitr. fëmilièrt — rii M U f (r), 
éUmtMtairt — ngilar (r), routier, riguUèrt. 

ExCBmOHS : Lei Iroîa adjectifi inivinti fonneal leur ftoii- 
oÎD en ajoutant ■ : . 

arar (r), ovsrv — ivan, mart 
oar (r), chtr — «an, ehèn 
cUr, rtoir — elara, cimrt 
Le tulnuntîf «1 taar, U Itar, a pour féminin la taariaa, b 
Itarint. 

m. — Lct non» terminé* par ar forment lenr féminin . 
en ajoutant a. 
El. : •■ganyador (6), trompeur — •ngaxyalora (A), irom- 
peuu 
•1 laetor (6r), k kcleur — la iMÙHl (ô), /a leetria 
•1 lanjrer (ô), le monueur — la aanyora (A), ia ismt 
trebaUaior (A), travailltur — tnlwUadon (4), ira- 
vailleuu. 
ExCBFTioHs : I* Les trois sabuanlifs inivants formeal leur 
féminin eu changeant iar ou ter en tiin : 

l'acter (Ar), TaeUur — l'aatrlu, Taetrùt 
renparàdor (A), Ttn^atr — ramperatrii, timpi- 
■ratrice. 
l'IuUtatoc (6), Tùutiluiair — l'IuUtntriB, Vintti' 

a* Botar (Ar), moteur, a pour fémînini nutwt (A) et 
WrtiiB, molrict. 
y Les «louie adjecitfi luivantt (ont invarublea : 
antorior (Ar), anlirieur poateiieE (Ar), pmièieur 
«Uarior (Ar), eiUrieur nlterler (Ar), lûlérieur 

CniHiiwjn MtitnH. 4 



¥^ 



vt (in), extérieur taUrter (if), ût^^Hr 
» (Ar), lupirituT iateitor (Af), inférieur 
mat/ne (A), pim grand, mnai(it),pfiapttii,imoi»ire, 
[mâjenr, ^ni \mintiir 

■Ulor (A), màUtur ^MpK (A), ^re 

ti). — Lei nom» tcrmioéi pat «r, vr fonneni fenr fémi- 
nin en ajoutant a. 
Es, : UaalMr (^), gourmand — UamiMn (é), gourmand* 
ftlmat (i), premier — priasra (é), première 
tf Mfcatv (é), b eerdounier — |a Mknttn (é), la »r> 

denniire 
matât, mùr — Miinn, mare 
fmi{t'), pur ~-tmn, pure 

SePTlÈUE KÈGLB 

114. — Le* nonu aign* KnnÎD^t paru,M,it, h, ufor-.- 
ment leur féminin en ajoutant a. 
El. : ni, nu — nia, rdte 

francia, français — francMa, franfoise 
Srii. ;rù — friaa, grise 
pneUi, prùieux — ffaolMa (A), prkuuti 
lAtii, Mus — Alnaa, ofrfuw 
Exceptions : Lei orne non» raivantt forment kar féminin 
cnajODUntu: 

«••la, rare caléi, cciess* 

fna,grai graa, gros 

a^t», ipait . Vit, tours 

aMsHa, ej^rh roa (A), hiend 

amfa, «mû nu, rusu 

wamla,mtmit 
ht féminin de cet non» ctt donc Meana, pana, etc... 



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HUITIÈME RÈGLE 

ttj. — Let non» qui ne lont pu comprit itn» la (cpt 
Tègks pricédente* forment leur féminin en ajoutant •. 
Ex. : ganëal, partatux — gasdala, pvataat 
•1 fUl, Itjilt — U Ulla, lafillt 
wU (é), lùux — nlla (*), viàlle- 
lêm,firmt — twmM,ftrmt 
prin, mittct — prima, mina 
medara, moderne — notena, moitrnt 
Hgte, second — aagosa (ô), sttonie 
Up, raaatU — Upa, rastaiiit 
baiz, fcu — baiza, iuiK 
Goix (A), helleux — aaiia (6), Mleuu 
"Exceptions : gran, grand, granit et d bMIt, le mérlyr, 
la ■irtlr, la martyre, sont invariablei. 

d cavall, te ebeval, a pour féminin l'anga (é), /« jument. 
«1 saU, /« i-df, a pour ftmlnin U galUna, là pouU. 
al Uap (6), U kuf, a pour féminin U llota (d), la tome 
•I frtMêp,' le priute, a pour féminin la pctMtaa, Uprm- 



i.'Gooj^it; 



CHAPITRE IV 

LE NOMBRE 

FORMATION DU PLURIEL 

Le pluriel Jet nomi (lubiuntift et «djectifi) te forme 
d'âpre* let réglei taivantei: 

PRBHIÈRB IttCLB 

n6. — Ajontenlt : 
I* Les noeat gnvet ou etdriiixaU tennmit toit ptr une 

TDTelle auire que ■, «>it par une dei deux diphtongue* 

U,Wê. 

Et. : l'artre, Farirt — •!■ artne. Ut arira 
•1 «Iri, It tûrge — iU ciiii. Ut cîerga 
Mf* (i), m/tuglt — segH (i), mtugla 
U UOm, U Irihu — In tribu, la liibut 
b Mri«, la térit — lu lariu. Us stria 

IMUM, tiuH — tMMi, UtIUS 

1* Le* noms terminé* par une diphtongue décroi**ante. 
El. : l'eaial, Tt^att — «la npala. Us espaça 
U liai («), ia-M — lat IMa (é), Us Im 
tf Ml, k garçm — «la. nota, la garfoni 
a4Mm,Uéi — tU dasB, Us dés 
karaa, bMlUr — karau, MritUrs 
•I ■!■, b MÙf — ala ilu, Us vidt 
al kav, U kra/ — aU bon, Us bauft 



,,8le 



rOUUTION DU PLUUEL {] 

)* Lei nom» lennînéi par vne contonne autre que ■, (, 
1, M, rt, Ig. 

&. t «1 eork (A), U corbeau — aU COTbi (6), la orhëux 
Uaoe, Moue — bUau, bUna 
rie, ritbt — riet, rvAn 
Uqnid, liquide — Uqnida, liquides 
•1 citàlag, U (ubikfut — •!• uUkgi, Ut eatticguti 
•1 pal, le mal — •!■ p>l(, Itt mais 
•1 B&Tol, b nuage — ab aivob, bi nuages 
al nurUU (i), Zr marteau — ala ■arWU (é) Ut mar- 
teaux 
al rigim, U régime — ala rèoima, Us régimes 
al nam, b nom — ala bobi, la noms 
• 0nui< grand — gra>a, graiidt 
,- eH nia, U monde — ala nona (A), /u awitin 
al bany, U bain — ala baaya, tes bains 
.- al llap (à), b J0u^ — ala llopa (À), Ut Uufs 
par (0, pur — ptun (r), purs 
•1 carietar, U earaelire — ala carietwa, Ui caraetint 
ai gat,' le chat — ata gâta, les (bals 
l'hort, U jardin — ala horta, les jardins 
tiy. — Let aoim griTea ou ndrùÎKuit terminé! par a 
changent ■ en aa. 
Ex. : la cianeia. In stunte — lei «iaaciaa, Us teitutet 
'euu, couru — eartaa, courtes 
l'bnU(é),Fberbe — iMhMi»n(é'), Ut herbes 
U Umgu (i), U langue -^ laa Ilaivttaa (i). Ut lan- 

gués 
U Taea, la vaebe — la* nqnaa. Us whet 
U fitoica, la fabrique — laa Ubriqtua, Us fabriques 
Remarque. L'orthographe habituelle écrit cet plnrielasTec 
- aa an lien de aa : danoUa, ooitaa, Ukrleaa, eic... 



14 rouuTtw ou nutiii. 

DBUXI^B KÈCLB 

liS. — Le* nomi aigut tcrmiDé* par une vojelle on ptr 
la diphtoogae U aionteni aa. 

Es. : la ma, U mmh — 1» wmm», lu maint 

•1 flanU, U frire — aU gMvaaa, Usfrirei 
A M, Tagntâx — «la bèu, to agneaux 
fia, ^bût — plaaa, ^'w 
«■iU, buUiimt — TaitMU, builiimts 
•l^aai, ItefeMHH — alacaHlHa, la chemins 
d saU, b M(Im — ala nalou (6), ksmdêni 
d triU, fc JrîhiR — ab tribmaa, la Irlbum 
tamà, ctmmun — nnaïaiii. eommuni 
la MoM, la nalim — laa Htdnu (6), Us natimu' 
•1 nllU, b imV/ira — eli aillou (6), lu miUimi 
ExcuTtOMi. Lei nom* lulvanti n'ajoutent que a. 

•t Uatarf, U Kiloiiri — «la Uataria, Us hittaiais 
al «afè, Ue^i — éU eatta, les cnfis 
la la, lafri, Tadi — laa laa, I« aelis 
la mmk, la maman — lai M«Mia, les numms 
' U aurai, U griet — laa Maraii, Us gréas 

iittai,UbilUièmlre — tUv»§K*»,lesUlUlii 

9rirt 
alp^ Upapa — «lapapla, les papas 
•Inpi, UltÂaeipriter — ttampi; Us labaesi priser 
al twM, U ruKs — ala riUa, les rubâ 
■ al aoa, fa iqfa — da Botta, I« A^M 
alto,fa<M — atatw,faifMi 
Lei adjectiù an, eru, «t wi, mt, font •raaaa, Miaa, ^vd- 
qaefoli va.ni ma, ■«. 



n,(,i,:.=-i>, Google 



TIOUlfaUE RbOLK 

119. — Lei non» grave* ou etdifitxuU tenninét par • 
sont invarUbIci. 

Ex. : la eriaii, la eriu — laa aU», Us enta 

•1 dlnweiM (é), U mtrcndi — ab dlnaena (é), ht 

mtreniis 
al dlnndrM, U vmirtii — ato livandraa, Its vniriUs 

120. — Lei nom* aigui terminât par a ajonient oa. 
Ex. : al -iaa, U vern — ala moa. Us v€na 

tnatit, français — I ra a c aaaa, français 
al^afa, Upajs — alapafioa, la pays 
grandUa, graniuae — graadioaea (d), gmuUcsis 
al fna, Uftuem — ab foaoa, lafmtaax 
fala, faux — falioa, faux 
rinca&a, Feiicmt — ria tnaanea, Usmaiis 
al diaenra, U discours — ala Uaevaàa, la iUtt»urs 
ExcarriOMi : i« Let cinq lubiuntifii aulvanli «ont inva- 
rlaUn: 

al 41J0U, h jeudi — ali ii|ou, la jeudis 
al dlllniu, U lundi — ala dillniu, la lundis 
al diman, le mardi — rta diMara, la mardis 
•1 tan^t (é), U temps — ala taapa (é), les temps 
U toa (A). Zfl toux — laa tu (6). Utioux 
■ 2* \M non» (uivanu ajouient aoa : 

al coltfa, U tûhsse — ala coloaaoa (à), la eohssis 
al oompia, U ampat — aU «oavaaaaa, la tampas 
al «anMa, U tanfaseur — ala ae n la ai oa (é), la uaftt- 

seuri 
•1 00a, b t«rpt — ala waaaa, Us earpt ' 
•1 dania, la tenture ~ ab dMMaa«a, la Itulura 



FOUUTICm DO nutuL 

nfHê, txprù — n^ncHa (é), txprit 

•I Iraeii, riniiueis — •!■ fa*eaMa«, ta imiufit 

pUi ^lu — fnMM, gr*s 

sn», /r« — frawM, gni 

l'tMOTta, rûiJ^/f — ail taUNMM, la inUrUt 

■1 «aUUf, /( mattJta — «la ■■IiUmh. la matelas 

al Ma, Unti — ab wuaaa, Us nu 

«dl, «mû — OMiiMM, omis 

Tèa, Fts — ab taaoa, ks os 

Vit, Tours — ab taoa, la ours 

al pat, Upas — ab paaaaa, lapas 

praHa, prefis — prataiaoa (i), pnfast 

raa, riutf — nuaoa, russis 



Ajoatent également aaa: 

t« tonj lei notni terminét jtu d» (unf Irancia, frau- ' 
ftfù) et Ici partîcîpei passé*; 

3* tom lei nom* terminés par gria (unf laligria, parMS- 
mm), 

odatrième règle 

lat, — Le* noms terminés par ç, i, ac, at, ajoutent m. 

El. i al bng, k irai — ab braçaa, la bras 
Miç, bamux — laliçoa, bturtux 
al gog (6), k ehùm. — ab fagoa (A), la cbUni 
. al Udç, U Mfl-bn — ab Uiçoa, Us mtrhsHs 
•I oablx, U iimir — .ab ealaixaa, Us lirrirt 
al paix (é), UpnssoK — abp«izoa(é), lapoissom 
oolx (A), Mtux — eoixaa (6), boUtux 
BmIx, faihU — IMxea, fathUs 
•1 iita, UpUirt — aU gaizaa, UsplHm 



'8l^- 



■IbOM, le boa — «bkMOO*, Uilms 

trm9, frais — fMW«, frais 

«1 kut, ItUt^iilM kartM, la Uls 

tsBMt (6), fimesU — I Im mMi (i), funesUs 

tritt, Iriil4 — Ulstot, tristes 

A Mrt (d), le nuùl — tta WMtM (A), In MM^b 
Remarqdis. L'oitb<^T*t>lu habituelle ^ail ■ ao lîea de t 
i la fin de> mou (al bna, Mla, d 9M, al llaa) : le pluriel 
en alon écrit avec deux a (ala toaaaoa, IbUmm, élt flaaaw, 



Lef adjectif» féroinii» tenniné* par 9 ajoutent m, et la g 
te change en e. 
El. : «ndaç, audaâaiu — avdaeai, auJacieutes 

faliç, beurttue — faUeei, bturnists 
L'orthographe habituelle écrit aodia, Mdaaua; talla, 
hllaaaa. 

la poat (Ira poçt), la pUttcbe, a pour pluriel régulier las 
poata, nuit ce pluriel le prononce potç. 

Exceptions : Les lubstantifi féminins terminés par f sont 
invariabl». 
Ex. ; la faç, lafaa — laa fag, Us faces 

la falç, lafaueille — laa blç, lesfaudlles 
L'orthographe habituelle écrit la faa, laa laa ; la lala ; laafala. 
133. — Le* noms terminés par tg ont deux pluriels : l'un 
. formé 'par l'addition de as, l'autre, moins employé, formé 
par l'addition de a. La régie ett la suivante: 

Le* noma tenniné» par Ig précédé d'une voyelle changent 
g en laa. 
Ex. : al ralg, le rayon — «la rajaa. Us rayons 

tl paasalg, la promenait — ala pasaataâi Uspremtaaitt 
retg, rouge — roloi, rougts 
on anui ralga, paaaaiga, ralgi (ralt(, paceitç, roïtç). 



•I p«if , U altim, n'a qu'oD plnricl : ris falgi* (pouitç), 
Jto (wHwa. — Itoli (4), Mf, bit aa ploriel tto^M (é), quel- 
qucfoù auHi IWfi (llAtc). 

Lei nomi terminét par if ptMii d'une «Muoone chan- 
gcm f en 4m. 

El. : M 4m1|, Ir Alilr — tU êmUim, I» ^Airi 



^■i>,Go()t^le. 



CHAPITRE V 

LES ADJECTIFS 



I. COMPARATIFS 



II). -T- Le Gompiratif d'^pUilé se rend en faisant préci- 

dcr le positif de Unt, «nm; le que français se rend par oom.. 

Ex. : Pierrt est aussi fort que jtuut — Sa Nn (é) <• UM 

fort cea \an (à) 

Pierre n'est pas aussi riche que Paul — Ea P«ra (é) ao 

6t tant rie corn m Pan 
Pierre esl aussi travailleur que mm — Es Fer» (é) <• 

Uat trttallMlor (6) oob ]o 
Pierre tsl aussi inttltigtiil qu'il U parait — Ea Fer» (*) 

et tant lateUisnt (ine-tfu-li-géne) oom «aaAla 
Pierre at venu aussi lard qu'hier — Sa Pan (é) kâ 
' Tiagnt taat tard oom aUr 

COHPAUTIFS DE SUPËaiOKITÉ BT D'iHFÉlIOtnt 

134- — Le comparatif de supériorité se rend en faisant 
précéder le positif de Héa; plut; le coroparalif'd'iiiftriorité 
se rend en fiiisaot précéder le positif de taoa, «mûw. Le 
fur français se rend par qaa. 



r.-,,--^.Goo^ : 



El, : /m» ttt plus pniitnt qi^ittitlUgtnl — Ea Jaai <■ ■<■ 

indnt (é) qM taUUlgaat (é) 
Luûi id mens rubt qu'Edooëri — Sa Uifi é» bmm 

rieqMl'Eiaard 
/«H (ff plus aimable fw M — la Jmh <■ m<i >■•- 

UiqMU 
Pûrrf eil vmn moi'frf lard qu'Uer — B» tm* (é) ka 

vlapit MMM tard qw aUr 

lEHAKaUE 

laj. — Lci deux adjectifi luivanti ont deux comparatif* 
de topérioriti: 

!■ Vn régulier formé au moyen de mit et do potJiîf ; 
' 3* Un irr^alier. 

k», Itm — ■<■ te, mlllor (à), meilleur 
■al, «MUMÙ — mit mal, pitjar (ô), pire 
RBHAKQDe, aal cl aala ne t'emploient que quand ils pré~~- 
cèdent Immédiatement un labitantif; dani tau* lei antre* ca> 
on emploie lolant (é), dolanta (é). Ei. : Ëa na mal hoBM, 
Cest «K méelmiit hommt — Me eoBwi h<^ mia doleat (é), /( 
■ M annais pas £bimmt plus méchant. 



II. SUPERLATIFS 



SVmLATtP IBLATIF 



116. — Le au perlatif relatif de supériorité K rend en {al- 
lant précéder le poiitif de «I méa, le plus; U m<a, It plut; ala 
■il. Us plus: toa mit, lésions; le de françait te rend par 4a. 

Ek I Cr marehuti est U plus riche de la ville — Aqaaat 

mÊtniat (é) <e tf mia rie da u dnUl 

, 117.— Le laperlatJf relatif d'inférioTité H rend en bùaot 



Ci.xi'^le 



■UPUUT1PS (l 

précéder le poiitïf de el BaiiM, b moini; U mtê a ê, U mains, 
•Il Mes», la moit»; 1m mmm, ht mmm; [e iê françaU te 
Ttoà par i». 
El. : Paul isl U itmiis igtierant i* sa auurâits — Eb Faa 

il el DMUU IgBonab deli mu (é) ci^vu^ 
laS. — Lonqu'uQ lubttantif précède immédiatement le 
tuperlatif relatif (de aupériorité ou d'infériorité), l'article 
défini français placé devant plus OD màns ne ae traduit paa 
en catalan. 
Ex. : Ct mcusieur est l'bomme U plut ricbe it Sarctlont — 
Aqaart Mnjor (6) tfa llHwut mU rie do Barw- 
l«na(6) 
Ce sent les ouvrUra ks tnoias habiles i* Vich — ttm 
iM làavna (é) ■■noi Uliili do Tloh 
139. — Le superlatif relatif de tupérioriié det deux adjec- 
tif* bo, bon, et mal, ou dolent (é), mauvais, ae forme en 
plaçant l'article défini devant leur comparatif inégulier. 
Et. ; U millor (6) 1 U plt|ar (A) ooaa ii el eonaeU : al da 
bo, éi ol mda gran Irf; ai ia dolent (é), da il pit- 
Jor(A)mal — La màileure et la pire îes duset ^eti 
h teuseil; s'il est hm, t^esl le plus grand Um; /il est 
mauvais, àesl U pire mal 

SUratUTlF ABSOLV 

150.' — Le luperlatif abiolii peut le rendre de deus ma- 
niérée 

i«en Ëiiiant précéder le poiiiif de molt (6), 1res. Ken, fart. 
Et. ; Uano, blant — Bolt (ô) blane, très Mane 

pradent (é), pn/Jeut — molt (à) pmdwt (é), Irk 
prudent 
a' en ajoutant balm an radical du positif ftminln, ct 
en obtervanl lea modificationà ortht^^raphiqiwt indîqDéea 



.i">,GO(Hî L^ 



m % ja; ce SDperktif donne il l'iilée exprimée pin* de 

force que le pràÔMent '. 

El. : pokn, pauvre — pokrfMiH, trù paitore 
ba, ftM — bonitriM, Irh bon 
■OH, (Minwu — serlMiB, tris wtnwm 
hennt, benaile — twaralluia, fr^ ^iiA< 
hnt, Mb — brUiidn, /r& Mb 
rie, rùb — riqvlula. Iris ricbt 



dolç (6), Auu: — Jolehri», frÀ idnur 
I, iris amer 
I, (r& r«uf« 
fTM, grtt — froMliBia, trii gros 
1)1. — Le* adjectifi tenniaéi par U» forment leur lecond 
«■perbltif en changeant Ua en IiIUuIb. 
Ex. : aaaU*, ainuihU — ■—"'*—'". Irii aimablt 

nUU», remarjtiaM* — MetahlliiilB, frft rtmargiiabU' ' 
ija. ^ Le tecond luperUiif des adjeaif* luîvanti eit 
irrégnlier: 

uUe, mtUtt — uUq:nliaim, (ris meka 
brra (é), hr^ — brarliata, irh brtf 
gm, grmi — grandlniH, fris grand 
•agnt, utri — lurttlNia, 1res sacri 
naa, ^hx — nuTtoslM, Irèi doux 



I OtHl^Hbli Mhn* (I m cmphMlqne. Ce •apcrlmlf m convient |m> 
À wg> Ut ûiitah MiitlBCttnnl. Li plnpirt et ccni comprii dani In 
oMtfarifi nlvimln tarmoit lit préTértBC* tnr mpcrlatlf la BMjrcn Je 

tmttWt 

I* Ln i^lactlh ^al, i ttan it Icnr Imgonf on ds Imr ilnKtnn, h- 
MiMt IVuM ftonnaclttoM dan a« diBdlc; 

a* La plnpin la mUtcûb tatûatt pai «h dlpbwapc i 

f La plaput aciiijMlft il plu d« mil i^r"*^ **>"<'■*■ p" Ua. 



-i>, Google 



sumuTtra i$ 

i)j. — Le Kcoiid lapeHnifdctadjecttriiuivaoti en tcr- 
miRé par èrria. 

■en, iere — aeiniM, Irit itn 
cèbbra, eéUhrt — UUUatm, Iris téMn 
lUon, lihrt — OOtiaim, Irit Hhrt 
1)4. — Le tecond luperliiif de* adjectifi •aivants c« ter- 
mioé par aatlaata. 

bnltte, Utt^aitÊni — kOHUetaUialM, Irk Utt^mml 
kMèval, binmUlâMt — kMwnlMiUialB, frit UtnvtU' 

!mI 
lêKii, savant — MpInUialm, Iris smwit 



CHAPITRE VI 

AUGMENTATIFS. DIMINUTIFS 
ET PÉJORATIFS 



I)). — La plupart de* nonu (>atwUiiti& et idjectib) eau- 
lant peuvent être modifiés par l'addition de «uffixetqni leur 
donnent toit une idée d'augmentation (augmentât! Ei), mil 
une idée de diminution (diminutifs)i »it une idée de mé- 
prii (péjoratif»). 

Let diminutifs expriment très touvent une idée de gentil- - 
■eue, d'affection, de pitié. 

i}£, — Lo tuffïiei lei plui utitéi lont lei lutvaau : 

aç, pour le* jugmentatib (lei augmentatifi des tubstan- 
lib tool quelquefois nuKulins, même si le mot simple nt 
féminin); 

•t, pour les diminutifs; quelquefois aussi <, qui exprime 
presque toujours une idée de gentillette, d'aScction, de pitié ; 

ot, pour les péjoratifs. 

El. : el rao, tant — racaç, nqsflt, noet 

d goç (d), U chim — gov<>t< SMat, goçd, goçoi 



l'«M«U (é), rduau — n 
m otF. ÙUt4 — cap«t 
la fl«r, laJUur — Ooraçi 



n,r,,y=-i>, Google 



AUGKBHTATirS, DDUMUTIFS WT rÉJOUTIFI *{ 

•I fit, b chat — fliuç, latM, laU, fiUt 
«1 pM, le pied — ftmMf, p«wt. pMtf, p«Mt 
«I Bta, knid — BlHaç, atoat 

Exceptions : btan, bleu — bbtrtt 

graa, ;n»ri — gnnteç, gnaéat, graBiot 
»1b, «y — Tint 

IJ7. — Devant les suffixes augmeotatift, dimiaulift et 
péjoratifs, les mots simples sobisseot les modifications sal- 
nntes : 

1° Les noms graves ou esdrûixuls terminés par a, «, • 
élident leur voyelle finale, 
Ex. ; la caaa, la maison — caHça, cuaU, oawiU 
•1 lUbn, le livrt — lllbras, UUmt, lUtoat 
•1 earra, U char — eaiisç, oamt, oanrot 
ExcEfnoNs : l'aaa, l'âiu — aaenaç, ummI 

•1 Gora, It panier — conaag, conut, eeraBot 
Estera (é), Ëtitntu — BstoraiMt et EaUrat 
l'huma, Vbomnu — hunenaç, hosaut, hoaaMst 
lova (A),- jeune — t^maç, lovaBat, jonaot 
orle, orphelin — orlanat 
1° Les noms aigus tenninés psr m élident leur ■ finale. 
Ex, : «I boa. le bca^ — Immç, Iwat 
' Exception ; non, iwuutau — navet 

)<"Les noms aigus terminés par une voyelle ajoutent ». 
Ex. : la ni, la main — auaaça, maaaU, maaala 
•I eand, h chemin — oanlaat 
•1 Ueé, h lien — Uaoaaç, Uaoaat 
ExcBFTiOHS : e^ cru — mM 
aa, nu — aaaç, naet 
4' Les noms terminés plr e changent e en f quand leur 
féminin est terminé par f> (voir J io6). 



nyi,,-=-T,,G(Xi^ 



ié AtHatEKTATiPt, DiMHiirnn n rtjouTiFs 

El. : l'aalt, rami — iMliit 
fTM, jauHt — fragat 
U en en de m£me de quelque» rare* tubitiniîfi n'ijant 
pat de féminio ; p» exemple l'abrie, kpariasui — «Mfaç, 



y Let non» temiin£t par t changent t en é quand lear 
fàninin ett terminé par fa (voir 5S loo i loj). 
ri uAtt (ai), U neveu — Mbodai 
pMtl, «HnujvMX — p w in, paniirt 
U en ett de in^me de la plupart dei lubtiantift termiaia 
par Et, M, il. M» at, et n'ajrant pat de féminiD ; tel* loni : 
•1 tant, U Irvu — fendaç, londat 
•I TMUt, k vélemeal — nMidrt, TMtUet 
r«Hbml, Tettlounoir — «akadaç, mtadet 
£" Let nomi tennioéi par a ajoutent ■ quand leur plu- 
riel ett termmâ par aaot. 

Ex. : al aat, Untx, — uaaat, Baaaat, Bua6, aaaaot 
gna, fr» — gniaot, froaaot, graaaot * 
7* Lci nonu termina par If précédé d'une voyelle 
changent ig en g ou |. 

Ea. : koig, ftu — h^, kofH on koM. b«i<i 
ExannoM : IWg (é), Uid, dont le féminin cil Urtla (é), 
fait IMfM, lla^M. 



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CHAPITRE VII 

LES NOMS DE NOMBRE 



I. CARDINAUX 



I In (i) 
4 quU* 






ao vlat 
J7 Tint 1 ■ 
}o tranta 



jo dnqnuU 
tfo MixanU 
70 mUdU 



100 MBt (é) 

/OI E«Ilt V 

JOO dM (â) M 



• « 



jtf utia 3.000 ÛM (A) ail 

17 dbaat 100.000 eaat (é) ail 

i« «ttrail 300.000 ta (A) MMi (i) 1 

I )9. — n, nu, ne ('emploie «jne pour compter ; lî «K 1 
luivi d'un nom, on K lert de tm, r^inin ma. 



.■i>,£o()glc 



CUIMKAint 



Ex. : m kMM - 



« — un bomme 
aaa 4tea — iineftmmt 
Tint-l-aa mMcU — mtigt et un soîitUi 
btatta naa cams — Irtult tl une mâîmi 
14a — Lci nomi de nombre cardîiUDx sont iavariablci, 
MUf m, dont le féminin ettaui; iot(à'), dont lethninin 
est fcifM, et emti (£), dont le fémiain est mbIm (é). 
Ex. : JwgMi cailrai — Jttix ebaiiei 

qHuaaU vu o^m (6) — quaranU et un iwira 
tTM etntw (é) Ht coMi — Jriiù cent ttpt àmis 
dae ccatM (i) dvfM* ploBM (6) — onj «nf Jrax 

141. — Loéléroenti des noms de nombre cardinaux eau* 
Uni sont disposa dans le mâmc ordre qu'en françaî); la 
conjonction i ne se place qu'entre Tint et les unités, c'^t-l- 
dire de 3t 1 3$: on écrit les trois moU soit avec deux traits 
d'nnion, toit séparément, La t finale de viat se prononce. 
Ex. : if Tiat-l-clao, ou : Ttatlelie . 
26 Tlat-i-«i(, on : vtatiib 
4j quanaU ut 
7/0 eant (£) clnqnanta 
2j} <M (d) atnu (é) utanta traa 
f04 cino canla (é) qnatra 
1.134 vU Mut (é) Tlnt-i-fuln, ou : Mia (6) caat* 

(é) vint-i-qnatn 
t.$oo mû elne Beau (£), ou : 



a(é) 



u68o mil lia oraU (é) tbKuU, on : aatia eanta (é) 



IMii elao mil da 

30.^^3 viBt mil foatra ubU (é) neranU 4n (A) 
i-991-Aio m milU mm ewta (é) norwta aat mil ait outa 



n,r,„.=-i>, Google 



CABDINAUX $9 

},!ooÂa2 UM Milieu («) dM onU (é) aU ntt «wU (é) 
vlit-i-4M (6) 

143. — De mime qu'en françai», le* nomi de nombre 
cardioaax indiquent lei heure* : on lout^ntend le moi 
bon, et l'on fait précéder le cardinal de l'aftide défini fémi-' 
nin> Il at te traduit par éi devant unt heurt, par afa devant 
Ica autres heurei. 
Ex. ; Il al une heurt — £a la una (et non ta l'vHt) 
/{ tii dtiix heures — Sta laa dngtiM 
à Irais heures — « 1h troa 
uij quart. Irait quarts te traduitent par an qaart, tna qnaita 
- (Iionarç] tuivii de da et de l'heure qui n'est pu encore écou- 
lée; ti iemit se traduit soit par doa qnaita luivi de 4e et de 
l'heure qui n'est pat encore écoulée, toit par I mUtu que l'on 
place comme en fraoçait après la dernière heure écoulée. ~ 
Ex. : /{ est une heure uu quarl — tant qnart iê *i§am 
Il est trois heures el iemit — Sdn tfoa (6) fnaita de 

tret, ou : Sda lat irw I ■»{> 
/{ est oiiie bturts Irais quarts — Sda tnt vaaito dt 

dotaa (6) 
Il est huit heurts moins un quart — Bta traa çiarU 

daaoB 
à cinq heures et iemit — a doa qaarU de lia, on : 

a Isa eiae i mitl* 
à nei^ heurts un quart — a aa faart de dan 
à sept heurts trois quarts — a tni qaarU da nit 
Midi se traduit par : laa dotaa (6), ou lea dalM (d) dd 
dla, ou Bigdla — Minuit se traduit par : Ut doUt (A), ou 
laa dotH (A) da la ait, ou Ml^aait. 

143. — De même qu'en &ançaii| le* nomi de nombre 
cardinaux indiquent le* minute*; on exprime on Fon toua^a- . 
tend le mot adaat ou mlaMe; le nombre indiquant ka mbuiea 



e»t joiDt pir U conjonaion 1 lu nombre indiquint lei heuru. 
El. ■.Ilea4b.fs~S6BtM futn 1 trmU cIm (bImU) 

J htnret mmns / — 1m UM anM m <Mlut) 
Rbmawwb. On emploie auHJ let «preHions aig tHirt, 
■■ qwrt l Hlfl, «M (6) faart* I vlg, tm «oarto I Mlg pour 
indiquer de* périodes d'un demi-quirl d'heure. 
El. ; Êi mif qmâit *• m — // «/ (C- 7 «iwrm 

Ml UM furta I «if dt «it — // «i /^ ja ^Hivran 
144- — De mtme qu'en friRçaii, les noms de aombre 
cardinaux indiquent le* année*. 
E«. t Ùmù 1^2 — l'ay nll bor ouu (é) «m (ô) 
UJ. — De même qu'en franfait, les noms de nombre 
cardinaux indiquent les jours du mois; le premier peut aussi 
être indiqué par rordinil. Le nom du mois et k nombre 
indiquant l'année doivent «Ire précédéi ton* deux de la prè- 
poiition da. 
Ex. j h i" Mvnl tjf2 — Vm d'aMl, ou : e) f rimr (é) " 
4'akrU dt 17U. 
If If jmn if4S — «1 «ilBM de inj da lUB 
Rbmaiqub. En tète d'une lettre ou d'un acte quelconque, 
. le quantième est, en français, tantAt précédé de l'anide le, 
tanlât employé seul. En caulan, il n'est jamais précédé de 
l'article. 
El. ; Bërahm (le) ij avrij i8jf — larodena (à). Il 
d'aMl da 1«7S 

II. ORDINAUX 

146. — prtmUr se dit prlaer (é); a» aagda; )'" tareer (é) 
ou Urg; 4«< quart; ;■>< dafsè ou qnluL A partir de (<»* on 
ajoute k au nom de nombre cardinal : olaè, aaU, valtè, etc... 
. — ^ te dit Mfè et khw daat on dèelM — loa^, iooo-', 



n,;,:,;»!!, Google 



OtMNAUX 



1.000.000^ te dîtent I 
Ex. : r^ eatenft 

3imt Tiat-i-BBi, ou Tiitiuè 
3<r'*t Tiat-l-iuTè, ou TlntluTè 

</;•" nit unu (é) folui 
i.aji»' mU dM (A) eraU (é) daqnaaU nul, ou : 4atu 
(6) mbU (é) dDfMaaU noi * 

147. — Le féminin et le pluriel des ordioaui lODt r^n- 
licn : prteera (é), Mgnu (6), Ureert (é), qoarta, 

:... alaew, i U WM ; Mtau, 

148, — Lei nomi de nombre ordînaus «ont d'un auge 
beaucoup moini fr^uent en catalan qn'en fraoçaîi i lu 
vingt premiers iculi l'emploient coununment; lei autrci 
sont prctque toujoun remplacé* par Ici noms de nondire 
cardinaui. 

Bx. t It 4f^ — el fufaata eUe, ou ; •! vu b fitrula 
«iBD, ou ; al ateero quranU elae, 



149. — Oa emploie Je* ordinaux jusqu'i X induiiw 
ment jHjur déiigncr les souverains. 

Ex. : JatuM I (Janai primer) (é) — Jatqius l" 
IiaM II (babe) lagoM) (6) — ItaMit II 
J*n III <Pan (é) Urew) (é) — Wmn ÎIl 
Carte T-(Ctriea Qaint) — CharUs Qnnt 
LM X (LM Meim) — ZibiJ X 

Aunlcli de X on emploie les cardinaux. 

Ex. : UmU XI (Unie eua) (A) — Lom$ XI ' 

Jmw XXn (Joaa Tirt^-4oi) (6) — /«m XXlt 



^.•Ch-khî-1 



m. COLLECTIFS 

- Les coUcctifi Ict plus luitét lont kt (ainou : 
u pardi, une pairt 

la, urw iouiÙHt 
1, une quinxaiiu 
' viagUiiM 
le Iratlaiiu 
MM quaranlaint 
, ailé ctHqaaiitaim 
■sa MlzaaUna, mu soixatilaine 
Um ctataint w dit saa MBtaaa ou u MaUsar; un millitr, 
uall«(«}. 

JMiilMii M dit HllU; milliard se tndait par nll «Uiou (6); 
ilmx miitittrdt par 4oa (A) mil mUIobb (A), eu... 

I } 1 . — Tréi fréqucrament les coHectifs français suivis de 
^ et d'un subsuntif se traduiKut en catalan par les cardi* 
■ nani précc'dés de nu, man. 

Ex. 1 UMt builatHe de JMri — au volt dfaa 
uut iiiaiiu dt nuUs — laaa <•■ nfta 
um mngltÙHt iannia — aaa Ti>t aifa 
une etniaint ieptrtoHutt — saaa uat (é) paraaaaa (6) 

IV. PARTITIFS 

i)S. — Leipartilift Qsitii jasqti'i iom< inctasiTcmeat sont 
les uivaiita : 

■ig, UN dim 
■ al targ ou la tanaia (A) part, k lun 



!;,Gp()j^le 



el quit ou la qaarU put. Je juart 
- al fainl ou la vtaXa put, U ànquiènu 
•1 dal ou la lUau part, U taiime 
al Mtl on la Mtoaa part, U stplièmt 
al nitè ou la TBtttna part, U builUmt 
al novè ou la nonna part, U MtiaiUmt 
al diciin ou la didna part, U dixUmt 
15]. — A partir de /i<w incluiîvcment,on k Mrt loit d« or* 
dîniux, soit dei cardinaux, auxqaeU on ajoute la ditinence an 

Ex. : — an aaii, ou bb ouaa 

— dlnlt TiBt-l-aiMDt, ou 4lTiiit Tlat-1-nuu 
21 

8 — TBit (uiUU) ala aataaU «asaiia ou «aaana 
-^ Tuit eaiu (é) taUBU traa bUI «natra caBU (é) 



'- etc.. M traduîwnt par Ici ordi- 

100 j.ooo 10.000 100.000 

baux on oantilain, nu mlliaaiBi, bb das M l l èa al w , bb caat 
(i) BllèMlm, etc.; mail on pourrait dire auwi bbb cwUa- 
aiBM part, nna Mll*a»iB>a part, etc.. 

Ex- : Le mitre esl égal à la dix mlUuiiUmi partie du quart du 
niridien terrestre— El natra <a tgBal a U «an ■!' 
llBBisaima part dal quart «al BMiUlà tamatn (é) 
DiDi l'iinODCé des fractioni d&ûmale* on emploie les ordi- 
naux au firoinin : dèotaa, eaBtiaaiM, aUèntm, Um vlMt- 



Ex. ; },os traa (naiUU) dae caBt èaai Maa 

18,0029 diTBlt (BBiUU) TiBt-1-Boa daB a ril Ja ai i 
}f. 000001 travu olBO (BBluU) BBa aUlmtelwi 



CHAPITRE VIII 

LES PRONOMS 

I. PRONOMS PERSONNELS 

154. — Le pronom pertoanel •njet qui accompagae le 
Terbe françait ne te trxiuit en aulao i|uc dans ccmini c«. 
(TOtrS'fi?)- 

15J. — PREMieaC ET DBUXIËHK l-EKSONNIf} 
Singutitr !*1uriïl 



U, foi 

u, u 



noHltrM, TOMltTM, 



aOMlUTM, TOMllTM, 

nous vam 



, mus m, vous 
ha uerlt — Smu 



• complément avcci 

pripotition | 

complément Mn*i 

pfépoiïtioo [ 

Es. : RoialtrM na diam qna en Joan an 
voui dismis qui Jean nous a- écrit 
J« pariara de W i en Pan pariara de vntaltraa — Jt 

Ptrlais dt loi *t Paul parlait ie vous 
Ha dhian im as WfMl te m oaorlaro — On nu dit 
fus Mitbel vtui fétrîre 

». |aMffaaaDMpc«i^lM)aai*fc,tttinucaw«/*. 



r„„H(ic 



noHOMS riwsoinin^ 7J 

15^. -—ni ett emploj'i quand m« fraoçaii «t précMi 
d'une proposition. 

E>. : Parl« 4« ■! — Tu parles de mm 

Kl n«B (£) gémi vla^tii an ai — Uimfrèrt voya- 
ger» avec mei 
IS7- — Quand tes pronomi sujeti mut et vaut (ou moût 
autres, voui autres) sont immédiatement suivit en françtu 
d'un aubttantif mis en apposition ci d'un verbe, il* se ren- 
dent en catalan par l'article défiai, 

Bx. : Nous ou Nous aulresCatahms, nous somma Iravailleurs 
— Elt mUUu Mm (ô) troballaden (à) (mot i 
mot: Les Catalans tommes travailleur*). 
Fous, mira, vous éles boiiiits — Les marM soa 1 6) 
boiMf (mot i mot: Les mère* êtes bonnes). 

Les pronoms de la i" et de la 1* personnes complément* 
sans préposition subissent les modifications suivantes: 

158. — me et U (qae l'on prononce «urne, tutt plus fré- 
quemment que m(H, tfu) se changent en m', t' quand ils (ont 
immédiatement suivis soit d'un verbe commençant par une 
voyelle ou par h, soit d'un des deux pronom* ha, U. 
Ex. : Nlu dit ipse vladrU — // m'a dit qi^il viendrail 

Wbo Miviarra a caia — Vous m* Fetiverrix, cbe^ mot 
. retcrliré demi — Jt t'écrirai demain 
Ho t'U kam viat — Nous ne t'y avons pas vu 
i{9. — ma et te se changent en 'm, 't quand ils sont im- 
médiatement précédas d'un mot terminé par une voyelle ou 
par une diphtongue croissante, et immédiatement inivii d'un 
verbe commençant par une consonne autre que %, 
Ex. : Mo'm ven — /' ne me voit pas 

Crée qua't dwaa»» algnm» aêta — /< enit qu'il t$ do- 
mando qutifut cboit ■■ * 



Te raONOMS rERSOHNEL* 

L'arta't ni mn — GranJ'miri veut U voir 
i6o, — «u (que l'on écrit louveat bm, maii que l'on 
- prononce tonjonn amç) k change en 'u quiod il et t im- 
mMIatement précédé d'on mot tcnnîné par une voyelle ou 
par une diphtongue croiuame, quelle que toit la lettre par 
laquelle commence le verbe ou le pronom qui le suit îmmé' 
icni. 

; Ho'u fca Ut FM — Il Ht Hoiu a rien dit 
, l'kMwla'aa ko manva — L'UsMn nous TiHttigm 
QdI'h ioBui sfMit IHtooT — Qfti nota denutra et 
Km-tf 

l6l. — TtOISIËMK railONNE 





Slignlln 


Pluriel 




.U(é),/« 


dla (*).«« 


avec préposition 


•Uâ(é).*H» 


eU«i (é), elles 


complément indirect 


U, lui 


étu'jeur 










A.U 


au. les 


unt prépmition 


U,b 


ta, le, 


Ex. : Pariem 4'eU (é 


i«id»at(é)-- 


Nous parlons de lui 


et mm itUe 




Ses aoitit âiik «lia (é) — Nous sommts sortis avte lUX 


Ud«llir»p.p«T(é)lpI<HMi(«) 


-Nous lui donne. 


romdutx^UrHdaplums 




Bb kaM anvlat nn diUU (é) da firalU — Nous Itur 


mms tuvoji m panier de fruits 





I. Ccn * un fM l'oB dit Mavni ala U « que 'c nombre» «itcnn 
tohMl •!■ U (oa ta fci, l«lr { ■t4> la H«b dt ala, fur, compUmcnl 



raoNOMS rnsoNKBU 77 

Pulo é'iUn ié) — fi parU d'tlUt 

El nl|r ula dfa — Jt le vois Imu les jtmrt 

Un U eoiM — Je ne l* connais pas 

Bit nbrHi dtmi da aatl — Nous la recevrons Jemai» 

malin 
B«n ntat lu bmcubcIm: Im TtnlraB la Ntauu 

Mtnu — Nivui oîrna refu les manbanJises: rmu 

Us vendrons la semotne prochaine 

Let proaoDu de !■ j* penonne complémenti Mni prépo- 
tttion aubiMeat le» modificaiioi» suivantes: 

i£l. — «t (que l'on écrit toilTeilt U, miii que l'on pro- 
nonce toujoun «hI) et U (que l'on prooooce km) K chao- 
gent en 1' quand ils sont immédiatemeiit suivit toit d'un 
verbe commençant par une voyelle ou par k, loil du pro< - 
nom U. 

Ex. : L'MMlU (fi)— Je Féeeule 

Mo l'haï rwumtfnda — Ils m Font pas reconnue 
Ho ru bwD Tltt — Nous nt Ty avons pas vu 

16). — «1 se change en 1 quand il est immédiatenent 
précédé d'un mot lenniné par une voyelle ou par une dipb* 
longue croissante, et immédiatement luivi d'un verbe com- 
mençant par une consonne autre que k. 

Ek. : U para'l porta al bng — Ltpiri U porte dans sis iras 
l». CoBatituddl prottgaiz — La ConslituUon le protège 

ié4. — oia (que l'on écrit souvent loa, mais que l'on pro* 
nonce toujours mlç) se change en 'la quand il est immédia- 
tement précédé d'un mot terminé par une voyelle ou par 
une diphtongue croissante, quelle que toit 1^ lettre par 
laquelle commence le verbe on le pronom qui le -soit 
immédiatement. 

Ex. : Mi'ls koM dit roa — Nous n* leur avons rien dit 



•i,,GÎXH -C 



TB pkohoms peuonnels 

Qatlt dMarï aqiMiU caaou (6)? — Qui kiir don- 
nera ai CMttHSf 
L'avUla yorU |«g«liM — Za graad'mirt leur porîe 

des joHtli 
Tairai fM'U wcalUa (A) — Nom vtuhns qu'ih Us 
kouUai 
i£}. — Pmh«»i xeume. Le pronom fnnçajt U, employé 
dtm an km neutre, te traduit en catalan par be. 

Ex. :SHufuthUfsi,minauai}thfm—%\Vk-n»nt{i') 
larit, to UmM be Tai| m (é) 
Tu ■« dii que mon frire est arrivi, maà je iule crois 
pai — Ua liu qui mm (é) gmA ta urikat, 
part Ashoerw 
Pour il, pronom lujei d'an verbe nniperaonncl, voir la 
remarque du $ 169. 

rROMOMS lerLËCHis 
iM. — C^and le> pronomt penonneit compléments de 
la )• peraonne ae rapportent au tujet de ia propoiition, 
c'eit-ànlire ^uand ili expriment nn retour de l'action sur le 
■njet, on lei traduit habituellement par lei pronomt réflé- 
chis suivants : 

complément avec préposition af , ici, lui, elle, eux, elles 
complément tant prépoaltion aa, u. 

Mais, très fréquemment anssi, on se sert comme en fran- 
çais dei pronoms de la 3* personne. 
El. : L'haiM passa an af — L'btmme ptnie à lui 

Ba hoMa pmitm an af, on : an alla (é) — Les Iwm- 

ma pensent à enx . 
Gada B para af, on : part ail (é) — Chacun pour soi 
Varias aaUa al, on t anU* iOM (i) — lU parlent ■ 



n,3i,7=-i>, Google 



noNOHS pcasoMHeLS 79 

OngoM qnaBtiuti ipuls > ■■> tarean (é) lAi IgHals 
smtn d — Deux juatitiUi ^altt àunt Imriime 
sont ^ttla tulrt tilts 
U Utfm (é) a IM ils - llttlivtà six heurts 
S« canMU J'Mfwrar — Us st/êl^utnt (télttnin 

Le pronom rM^chi complément uni pr^poiilion m rabit 
lc( modificaiioni suivantei. 

1(7. — M Cqne l'on prononce «uç pin* fréquemment que 
ctu") te change en ■' quand il est immédiatement tuiTi loit 
d'un verbe commençant par une voyelle ou par k, (oh d'à» 
dea deux pronoms ko, kl. 
Ex. : B'alça a laa aat — list lèvt à stpi heures 

■ S'kfl canaat InntilBmt — // ftsi fatigué iuuliltmtnl 
no «mportni — //; rtmperlial (mol 1 mot : lia ae ~ 

l'emportent). 
8'kl banfra — lis s'y haigutnl 
168. — a« se change en '» quand il est immédiatement 
précédé d'un mot terminé par une voyelle ou par une 
diphtongue croissante, et immédiatement suivi d'un verbe 
commençant par une consonne autre que k. 
Ex. : L'koBw'a orea Ulnatoia (i-lu>iidn() — Vbemmtsterit 
dts Ululions 
Ara'a prépara pnt iortir — Mainlinant Us stprépa- 

reul à sortir 
AqvMU eoUteoid (1) 'a rendra aqnaat ■•■ (é) — 
CelU tolleeliott st vtuira a mois-ci 

EMPLOI BU PIONOM ramONHU «UJET 

i^. — On a déjà vu ($ ij^) que le pronom penonnel 
sujet qnl accompagne le verbe Tniiçais ne le traduit généra- 
lement pu en catalan. 



, n,ot,7=-',G(>tM. C 



CepetuliBi on doit k tridaîrc: 

I* tonte* le* foii que l'on vent attirer l'attention pin 
•péeialement lur le lujet. 
Ex. ; !• pario — Jt pnrlt. CtU mm qui parU 

Nonltm putaTMi — Nns parltrmt. Cal nmu f ai 
parlerma 
3* luK f* et )• pCTMnne* du tingolicr de* lemp* aai- 
queb ce* demi penonnei sont identique*, et au participe 
fwéteiit, quand il pourrait y avoir confuiïon. 
El. : ]• Ûrfa — j* diras 
dl Urfa — il diraU 
•lia dtrfa — tlU dirait 
■o ■m(A)MIç, Mb dl (é) — /( iwniù^ fou- 

reux, diiait-il 
Aaaat-M'* dis (é), l'a tw uupU a'airailarft — Eux 
parlant (S'ib partent), f affaire ^arrangtra 
}■ soit quand il y a oppoaition, toit quand H vient d'itrc 
qaeidoa de deux nom* de genre différent. 
El. ] la trakaUa i ti doraa — Mm je travaille et là lu 
dors 
Taig aaar • VMral ptn I la nara : ail (é) a*tl na- 
lalt — J'allai voir le pire é la mire : lai est malade 
Rawutctf . Il pronom injet d'un verbe unipèrsonnel ne 
■e traduit ïamai* en catalan. 
El. : /I /ni arriva an grand malbtur — U va «aceafr ma 



Ilpitta — Pion 



170. ^ Toute* le* foi* que, dana une ptirase, il y a deux 
prottomt peraonnel* complément*, on place le pronom com- 



rtoHOMs raKSOHKBis Si 

pldiuent indirect le premier et le pronom complimeni direct 
le MCond '. 
Ex.iTumt la iotintt — Ne là i6am 
Il nous h dil — Bb* ho dis 
Noas le les priions — Ttli prMtMi 
Sens vous les envoyons — Ua ait mviem 
Il la leur vtttd — Eli U to» 
Vous les leur aebèUrei — Di ait eomprtraB 
Ils se te disent — 8'taa dises 
171. — Quand iei deux pranom* complvmeni* sont tons 
deux de la troisième personne et que le pronom complément 
indirect est an aingulier, celui-ci (U) se ciiinge en U et se 
pUce après le pronom complément direct. Par conséquent : 
U al, le lui (mot i mot : lui le) devient llii 
li la, la lui (mot 1 mot : lui la) devient VU 
U eli, les lui (mot i mot : lui les) devient da U 
U iM, les lui (mot i mot : lui les) devient lie U 
Ex. : Ce livre, je le lut donne (i un homme ou X une fem- 
me) — .Aquat lUbn, m dOM (A) 
Ta maison, lu la lui vends (à un homme ou i une 

femme) — La tara (é) eaaa, lld ▼»§ 
Ses chevaux, il les lui prHe (à ■ un homme ou i une 
femme) — lit aasi (é) eavtUa, ali U pnaU (é) 
. Ces fleurs, nous tes lui enverrons (i un homme ou i 
une femme) — A^MatM Oon, laa U mviaraH 



I. ria al, fa in^ ait U II (nrr; ait ail M ab laa, iM inr, ■!■ k«, 
f Unr, Mot iMTCBi RoipUcéi tlsct p« «It U. — Di bCbc U kO, h M, 
Il Miinpl mnpild pn VU. 



Crtmiiuirt almttm 



nouant msoNNBLs 



noNom rutoHHBU cxatnHiEtm Ants u veui 

173. — Lei pronoroi compl^ents moi prépoiition doi- 
vent u pUcer tpré) le verbe et se joindre i loi par un trait 
d'nnioii ', toutes lei fois ^dc le verbe eti i rinfinitif préKnt, 
i l'impéntif ou tu participe pr<^nt. 

Ex. : /< lu veux pas la vmdre — N« nU VMdn-la 



aîtivi 



.(*) 



ta le Us dmiiMl — doBaat-ta-lM 
Prendi-le — Pmi-he 
Envoie-U nui — Eirfa-M'he 
Il en eit de mtme quand la )■ personne du singulier, les 
i" el 3* personne* du pluriel du subjonaif présent sont em- 
plojrées dans un sens impératif. 
Ex. : BM|«i-B'k» (ô) — Dùnuei-ie mn 
UguB-ka — Disons-U 
TaglB-H** — A}lt%_'Vma-ett 
>7)*-rQP*°^ '<■ pronoms compléments tans prépoti- - 
tion se placent après le verbe, il faut distinguer deax cas : 
!■ st le verbe est terminé par une voyelle on emploie 
ton|oursles forme* m, u — t,,Ba — U, la;.l, U, la, 1m — 

k» — s. 

Ex. : Oiu-m aigu — Dmiut-mei it Teau 

Ha Tri nlira-M — ïl ne veut pas nous recevoir 
AixMa-t (é) — Lhe4n 
Taig a Nai«i«-u — Ji vais vous écrire 
Zavfa-U eant (é) frassa — Envcii-lui cent francs 
Coivra-lB (6) UibrM — Aebile-Uiir des livres 
taffl ml — Paie-U aujùiird'bui 



i>, Google 



PROHOMS PntSOMHIU 8) 

Tntl Tmdn-la — ft vtux la venin 

Wn-Ii — Rtgarit-Us 

Eccolta-lM (ô) — Eeeule-ki 

S&u-ha — Donnt-U 

Ko pot maur»>a — // ne peiil u monvoir 

9ù podoB monrt-t — lit ne ptuvtnt » mouvoir 

»' si le verbe est termina par une conuinne ou par Doe 

diphUMiguc décroi»a»te, on emploie lonjonra let formet 

■t, m ~ U, TM (ao lieo de ») — U, Im; lo, la, lot, Im 

— ko — M. 

Ex. : Fei-ma 1 farar da... (féz-mnil fni-bAr dm) — JU 
roMigUHeede... 
naii7-BM — Phias-nout 
FarlaTt ■iraat-U — // parlait m U Ttgardanl 
Àmen-Tot ali du ait altrw — Aimti-wta UsunsUt^ 

Frra-U io qaa forta — Preniflui a qu'il porU 
Eacvia-lo* ana carta — Eerit-ltur uat Ulirt 
Rab-lo — r Rtçùis-h 
Hiren-la — Regardez-la 
Cnllint-los ra caan — Il tomba m Us cuàllaut 
Eaqnlnc«n-laa — Déebirex_-les 
Praa-ha — Preuis-lt 
.. 61raat-M ■n enaapegar — Il Irébueba e» se retournant 
8e Tao daipodlr donant-se laa Hana — Ils u eurent 
adieu en si serrant les mains 
■ 74 On lupprime habituel lemcnt la r finale de* infini- 
tifs grave» devant un pronom complément. L'infiaitif étant 
alon terminé par nnevoyelle, on emploie le» formet ■, 
aa — t, «a — 11, la; I, la, 1», !•• — ho — a. 
Ex. : Ha ba po(M oonrenea-iia — /{ n'A ^ ««u (»muiff«rv 
Vaig aaUoBjra-U U ni — /« fui terrai U main 



■ i'Gochî 



- // kl vaÎH^uil 
Mu cal flaoT»-* Uit — // nt/mt pas Uni u phUtidre 
I7J. — GénértlemcDt on ne lapprime p*i la t fiaaic dct 
inlinidA aignt, ouia on la prononce devant un proBoin corn- 



Ex. : Ti l«r*M« por (Bi fér-nifu p6) — // mefi feur 

Ta iir-Toa (r) isu » TMria — Il vous a dil qa'il ut 
mmiraitpas 
. TiU d«r-U (r) «faaat dlccfanart — Jt veux luiporltr 

C4 iictiemiairt 
So pM portar-ls (r), im ■»«• pannl — Je ne puis 
U porter, e'ttt trop lourd 
Pourtant, quand l'infinitif ett luivi d'un des iroia pronoms 
con)[démentt laa, Toa, loa, suivis euK-mimes d'un second 
pronom complément, on supprime parfois la r finale : bm, 
TM, iM, se changent alors en na, tu, la. 
' Ex. : T« «iTii-u-«b, ou : Ta •STiar-noa-^la (r) — /{ 
nous ta etnioya 
?od0B aai-u-an, ou : Podan aiiar>Tas-«n (r) — 

Fous pouvez wut eii aller 
TkU Uvfi'U-ta naa plana, ou : Toll Uaglr-Ias-aa (r) 
■sa pUaa — /e veux leur tu lire une page 
176. — Quand la deuxième personne du singulier de l'im- 
pfratlf est terminée par gwa ' et qu'elle est suivie d'un 
pronom complément, on change habitue lleraeni fnaa en fa. 
L'impératif étant alors tenniné par une voyelle, 00 emploie 
les formes m, aa ' — t — U, la; I, U, U, )•• — ho. 
Bx. : Dlsa-m aixt, ou : Mgiaa-BM alsi — Dis-moi cela 
Diga-Ii la qM laba, ou : DigMa-U la quo aaba — 
Dis-lui et que lu stàs. 



-i>, Google 



. , ntamats mtoxNBLS 8) 

177. — Qgand li j' pcnonnc do pluriel du lubjonctît 
- prêtent en employée dan* uu moi impintîf et est suivie do 

pronom complémcal k*. on intercaie t eoire le verbe et le 
pronom. 

Ex. : FadB-t-bo — FatUt-U 

Opclqnci penoiiiie* n'écrivent pu cette t tout en la pro- 
nonçant: Pads-bo. 

178. — Quand le participe prêtent est luivi du proncnn 
complément bo, on prononce la t finale du participe prêtent. 

El. : ysrtaat-be (pour^tane-tou) — m UporUmt 
Mbtat-ha (c«ii-l>éne-ton) — tuU lâchant 

RtoÉTITION DES PROKOMS FERSOmiELS COHFLÊUEKTS 

179. — Pour donner i la phrate plut de foTcej>u plus de ' 
précition, on peut, en catalan, exprimer deux fois le pro- 
nom personnel complément désignant une personne; une 
fois sans préposition (■•, «u, tt, etc.), une antre fois pré- 
cédé de la prépoiiiion a (a mi, a aaaaUraa, a ti, etc.). Il peut 
en être ainsi ijuciquefois. du reste, en françaii. 

El. : ;Jm«r<iiiV(Moiitmoi:llmeraditinMi) — ITho 
ha dit a ad. 
Jt le dit ^lu cela m un pas (Mot à mot: Je te dit 
.■ i toi qnc cela ne sera pas) — Jo't dis a U qua 
aix& 10 (ô) larà 
Ils cbercbtHl à nons tromper (Mot i mot; Ils cherdienl 
i nous tromper i nom) '— Tnatna d'aagaarar- 
ww (r) a MaaltoM 
Il mt stmblt f M... (Mot à mot: Il me semble i moi 
que,..) — Me a^iUa a al que... 
Cela est encore plus fréquent dan* les phrases où deux 
pronoms personncb, tout deux compléments (directt ou lo> 



86 AOjBCnFS rKONOXINAUX POUBISIFS 

direcu) «la m£mc verbe, le tronreDt opposé» I'dii i 
l'auM. 

Ex. : On U t* doané à foi el mm à moi — Tte hu 4out 

• U i M (6) a ni 
RstuiauE. Ceil de celte dernière manière que l'on traduit 
presque toujonn Ict phraKi françaiiet analogue» dam les- 
qoellc* >c trouve le verbe unipenonnel itr* précédé de et et 
' aaiTi du premier pronom penonnel complément et de quf. 
(Voir la remarque du $ aij.) 
Es. ; C'ta à «m qu'il ta dit tt uim à /« (Mot i mot ; 
A moi il l'a dit et non i toi) — 1 mi m'a» ha dU 
I M (d) • U 
Cerf miiu fu'ji rtgarêe tt «m veut (Mot i mot: A 
noua il noui eit regardant et non i vont) — 1 
oaU mirait I m (d) a t 



UIJBCriFS PROHOUINAUX POSSESSIFS 



iSo. — Le* adjectlfi pronominaaa posteisifs si 



SIng. ' 



l" nUOKKI 


1* raKSONHS 


y PE«S0NHI1 


Ammii) 


•IM(«) 


««.«) 


mm.limlM 


Imjtttn 


«Il, tilir, It tita, 
kUur 


li>m(i) 


uim(d) 


Il ««(4) 


ma, la miàini 


ta, la titam 


ta, ttar, la tirant, 
latnr 


•IBMU* 


•Iran 


•lUn 


w/rc, le nèln 


votn. Il vHn 


tiur, k l„r 


liiMtn 


Urain 


laltar 


mlri, ta nUri 


Mri, U vHri 


/«r, la Uur 



ujBcnn rKOKOHiiMux t 



tnmSOMKE 


3* PBUOKHB 


J* PnStNINB 


.biMuCé) 


d.U»(«) 


•UM«(é) 


mei, Its mhtt 


Us, Us iims 


sa. leurs, la àent, 
UsUurs 


iMBmi(é) 


l-UT-Cé) 


to.MT«.(c) 


mes, les mitnim 


ta. Us litnnes 


«f. leurs. Us sUn- 
«a. Us leurs 


«UKMtTM 


OUYOMTM 


•UUan 


nos. Us uHni 


vos. la vUra 


leurs, Us leurs 


IwmMtn 


IMTOMTM 


ImUm» 


««, les tiâlres 


tm, la voira 


leurs. Us Uun 



Es. : El mra (i) pan mU Malalt— Mm ptrt al màUidt ■ 
iM BOTM (é) phMMa (d) 1 «ta tNS (é) Uàpt« — mes 

plumes el les crayons 
IQbIu iôb âqoMta wnlla? Mb •!■ moatm — QHfb 
wn/ ea ebtvaux? Ce sont Us nôtres 
Rehakque. Uar, llnra ne t'emploient que dini le style 
iAxvi; dans U converution on te icrt toujoun de ■•■ (é), 
Sm (é), MU (é), MTM (é). 

tSi. — Let adjectift proaominaax pottetiift tont rem- 
plicût par let irticlet définit toutei lei fois que le kdi di la 
phraie ne laisse place i aucune Oqutvoque. 
Ex. I Qtt'aS'tu fait de Im mauleauf — iQii ku M éa U 
eapaT 
Tu as perdu leigauti — Haa pardnt aU ganta 
Il en est de mftme quand la phrase contient un pronom 
personnel compUment de la même personne. 
Ex. : irhaa raktt •) noeaAar (à) (Mot i mot: On m'a 

volé le mouchoir) — Ou «ft wlé mm moucMr 
iSa. — Au singulier, employés dans un teni neutre, la 
mm (é), signifie m fw' «( A MW';.lt tat (é), u fui ut à 



88 , ADJECTIFS PItONOItlIlAlIX KKSBSSITS 

/m; io Ma (é), et qui est i lui, à ilU, à eux, i elles, etc.. 

i8). — Dant les membrci de ptirut exclunitift, pour 

iadiquer uae id£e d'affection ou de familiarité, on emploie 

lei adjectifi pronominaux poncHifi lani article aprïi le 



Ex. : nil MB (£)l — MoH cberfiUI 

pttria mtn (i) I — O mu ebirt patrie I 
Il en est de marne dani le* en-tOïc de lettres: 
Ex. : Holt (à) Saror (6) ■« (0) : — Monsieur, 

BatlBat aafc at» (i) : ~- Mou eber ami, 
184. — Les expressions fraoçaiscs à mm, i amis, à loi, à 
wut, i lui, A elle, à eux, A elles, placi^s après le verbe ilre 
signifiant a^arltnir m traduisent en catalan par les a^jeciils 
pronominaux possessifs. 
Ex. : Ce livre est A moi — Iqnaat Illbrt fc mn (i) (Ce 
livre est mien) 
Ces maisons seul à M — iq«Mt«s ctiM ain Um (0) 
. (Ces maisons sont tiennes) 
i8j. — Les expressions françaises uu ou uue dt mes, de là, 
dtiet.id mt, de vos, d* leurs se traduisent de deux manières: 
■ ■ ^nand on veut désigner plus particulièrement telle ou 
telle personne ou telle ou telle chose entre les autres, 
quand on a en vue en soi-même une certaine personne ou 
une certaine chose, on les traduit mot i mot. 
Ex. : // laissa sa maisoit à ua de ses amis et sa biUiotbèque 
aux autres — Ta 4aix>r la Mn (() w» a u delà 
MU (é) aitf M I la aan (é) UUleUoa ab altrta 
3" quand on n'indique qu'une idée vague et générale, 
on traduit ce* expressions françaises soit en plaçant an ou 
■Bt avant k nma, et l'adjectif pronominal possessif après, 
•oit en plaçant ■■ ou luu avant l'adjectif pronominal pos- 
sessif placé immédiatement avant le nom. 



ADJECTIFS raOMOIIlXAUX KM 


sEssin 


»> 


mât ma ausiui, un mien eoiuin 


— ■■•«IBM 


(*). 


au : nii mon (â) eotf 






tiiu it les tanrs — ua ftmau 


Un(i),ou: 


MUl 


un (é) ggrmuu 






HO de IMS eempagnoiii — on eoapur aottn, ou 


:wi 



utt de Uurs mail — nnaHiOMm (â))'oii: >» ■•■(<() 
wk 
Cette deruière façon de traduire ne peut itrc employée 
quand le f ubstantîf pluriel est accompagné d'un adjeaif. 
Et. : un de mes mtilUuri amis — n data ■••• (é) rni- 
Uora (à) udci 
une de les maisons Us plus jolies — ■&■ do In Utm (é) 



Lorsque nn ou naa est remplacé par «Igis, «IgsM, eapi ~ 

ou n'est pas exprimé, on traduit comme précédemment (l") 

Ex. : algAa anie tn (é) — ua de tts amis, quelqu'un de les 

cap eoMpany un (é) — ««fun de ses eanuradts 
Ho Uno Mtietoa mtm (é) — Je n'ai pas de sa ou: 
de leurs nouvelles 



i8(. — Devant les noms de famille et dans quelques nret 
cas, on peut employer les faimes suivantes (quelques écri- 
vains ménK n'emploient que ces formes devant le nom) : 
NI, bur 
ta, /K 

t, votre 
TMtra, wire 
t09, ta 
tat,Us. 



Sing. i 



Plur. 



BoaUa, uoirt 
aoslra, nofrf 



, nwtna, M 



sa, sa, leur 



Uht, leur 
MO», ses, leurs 
sas, sa, leurs 
ou : Uon, kun 



•Gno;^ 



90 us roiHVLes db folitesm 

Es. : Ta* part I'mk ntl liû a Luidrat (6) — Ton père et 

son tounn sont à Londrit 

MoaUM gnwuu 1 Tortn* eeaiu arrlkaria àmà — 

Nk frères et vus cousins arriveront demain 

Rnuaaui. Itar, Ilm ne s'emploient que dtnt le «yle 

éle\'é; daiu la converulion on se sert toojoars de Ma, aa, 

LE riURIEL DB MAJESTÉ 

187. — Hoc l'emploie comme pronom «ujet (au lieu de 
aoatltraa) dans les mimes cas qge le franfiis Nciu, plariel 
de BMJeité. 

El. : Mof, al Rai (é) — Nous, le Jb» 

Hoa, al rrMUast (é) — Nous, U Prisiâeat 

Un auteur, parlinl de lui, dira cependant Boaaltna. 

ToB (ô) l'emploie comme pronom sujet (au lieu de naal- 
Uw) dan* les mêmes cas que Hoa. 

L'adjcaîf qui se rapporte i Hoa et à Tos (A), pluriels de 
majesté, te met toujours au singulier; on l'emploie au mas- 
culin ou au féminin, suivant qu'il s'agit d'un homme ou 
d'une femme. Le verbe dont Hoa ou Toa (6) est le sujet te 
met toujour* au pluriel. 

LES FOKKULES t>B POUTGS&B 

188. — En catalan, quand on s'adresse i quelqu'un que 
l'on ne tutoie pu, on emploie MntAt Toa, untAt thU. 

189. — TOB (bôç) t'emploie comme sujet ■ et comme 
coroplénieat avec préposition; il devient na (ouç) ou.tob 
(bouc) quand II est complément sans prépoution (voir le* 

I. Hiii M M l'MTriM fit diBl iM CI* Minvh n S 169 <i* «t )•). 



!,G(X)j^le 



LES rOUlULBS DR rOUTBSSB 9I 

5$ t J4 et 170- Tm et u correapondeot exacienent lu fraii> 
çait TOMi; les verbes, pronoms personncli et adjectifs pro- 
nominaux poHCHÏfs se mettent comme en français i la a* 
personne du pluriel. 
Ex. : Toa (6) tnbaUta 1 aU (é) dtMuaa — Feus Irm^illn. 
tl lui M répète 
nia (é) paiiaven Ao vos (ô) t Ma Têatrea leraaH 

vous — Ht parittUnt 4e vous et de vot frira 
Toi Taort-aa 1 paiUr-na (r) -— Il veut vaut voir tl 
parler 
190. — Toatè (bouf-té), pluriel ToaUa (bouç-téç) s'écri> 
vent tri* fiëquemment en abr^ T. au singulieft et Ta, an 
pluriel. Les verbes, pronoms pcnonnels et adjectifs prono- . 
mtnaux possessifs ijui sont en français i la a* personne dn 
pluriel, sont, en catalan, i la )• du singulier on du pluriel, ' 
selon que l'on s'adresse i une ou 1 plus d'une personne. 
Ex. : Vous avei une eatme — T. U «B baaU 

Hier vous avei vu voire pire — AUr T. va rartl a«« 

COpMi 
Vous pourrez veut premetier jutqu'à midi, mtttieurt — 
Ta. poiiAa paasejar-ao (r) Haa a laa Mn (A), 
B«a]rors(à) 

' Vous, sujet 
' 191. — Quand la mime phrase française ren&niie deux 
ou plusieurs verbes i la a* personne du pluriel se rapportant 
i la personne ou aux personnes i qui l'on parle, le premier 
verbe est seul accompagné de voatè ou vmUi; les aatics 
verbes ne sont accompagna d'aucun sujet, . 

Ex. ; Hier vous iiùi malait; aujeuribui veutallet mieux—' 
AUr T. aaUvi malait; ara! aati mfltw (6) 
Fous «tv^ ivyiy/ etitt »nnit, Metsûurs, d veut «vt 



•Gq<« 



fl LES FOtyULES DB POLITESSB 

viiiU ta CalulagHt — Vi. haa Tfa4it «fMat txj, i 
hu Tlaiut CaUlttBjra 
Qiiand li clarté l'op'potc 1 la lupprcsiion du prODom fujet 
devant an verbe, on rfpéte vmU ou tmUi; on ne peut 
januii remplacer toiU ou tmUi par ail, alla, «lia, allei. 

tleiuKQUBi. A rimpjratif on n'exprime généralement ni 
TMtè ni natii. Ex. : ZmoIU (A), ff 0iiJ«t — rarUs, aaiTM* (A) 
Pflti, Mtaiiurs. Il en eat de même dans lei phraiet intcr- 
rogaiivét. Ex. : Tel anar-UT (r) PmIii-vûus y alUrf — Qui 
partMT Qut porlu-vousf 
Cependant on exprime TOMè et tmUi ; 
I* toutei kl foi* i)ne l'on veut attirer l'attention plut 
. tpédalement inr le aujet. 
El, : Parti naU -r- Parki. Qm a itàl vota quiparliti 
Faola-t-ho voitlt -k Faila-lt. Qut ce icil wnt qui U 

Bo lari voiUt — Lt ferti-vausf Esl-te wtm f ■ t* 
ftreif 
3* <|uand il y a opposition, 
Ex. : TaaU tnrtl, ta'a qnadarj — Sorlii, jt resterai 

Parila TDitèa, aosaltraa eieolUrsH — Partti. nous 

écottltrons 
Tlndris voaUa o aUtt (é) — Esl-ct vous qui vittiirti 
eu tuxf 

VùuSi complément indirect avec préposition 
191. — Vous complément indirect avec préposition se ira- 
dnil par vmU ou voaUt. 

Ex. 1 (à une pcrionnc) Jt pars avtc vous — lla'a vaif am 
vaaU 
(i deux ou pluiicnri personnes) /( voudrais iisfuttr 
aU me vous — TaMrfa lianUr tlxb am TDitii 



LES FOBMULBS Dl rOUTBSSE 9) 

Vous, complément indirect moi prépouiion,, 
et vous, complément direct 
19}. — Vous, compUment indirect unr^répoiition, m 
traduit par 11 ou «li. 
Esc. ! (i un homme ou i une femme) Je vous park ava 
franeinsi — U pirlo •■ Innqnaw' 
(i des liommes ou i des femmes) Jt vous dit U virù 
/iF — Eli lie U variut. 

194. — Vous, complément dirccti se traduit par el, U, 
flU, lei. 

Ex. : (i un hommt) Jt vous vtrrai demain — ElvurideBi 
(à une femme) Mon grand-pèrt vous verra aujourj'bui 

— El Heu (é) sTi la rari anl 
(à des liommes) Nous vous verrons iiins un mois — ' 

Els TMraa dintra on mu (é) 
(ii des femmes) Mes parents vous verront la semaine 

prochaine — EU mau (é) ptraa laa Tanrla la 

aatmann aatrant 

195. — Les pronoms compléments indirects et les pro- 
noms compléments directs qui traduisent vous (^ 19J et 194) 
se placent après le verbe et se joignent i lui par un trait 
d'union, dans les cas indiqué* au % 17a; al et «la subissent 
alors ks modiÇcations indiquées au J i7J) et le verbe subit 
naturellement les modiBcations indiquées aux ^ 174 et 17J. 

El, : — (verbe terminé par une vo)xIle) 

(à un homme ou i une femme) Ta «ioriwv-ll la 

aatmaBâ païaada — Il vrnis ierivit ta stmaint 

ieruiire , , 

(1 des homme* ou i des femmes) Ta Merlut-la U 

aaUaaia paaaaia — Jl vous écrivit la semaine 

dernière 



n.,i ■■kGlTp; L- 



94. 1J>* FMHVLES DE MUTESSB . 

(à un honmie) DmI^O tmu«-I afoNU Unto — Jt 

iiiin vous vmr cet tprlt-midi 
(i une fcDinie) DikU qna p«f<>l coiT«M-la — Jt 

Joule f M jt puitst vout coHvaiticrt 
(i det hommes) DMi^c TMur»-li aqaMU tard» — 

/( dùire vous vmr cd aprit-mUi 
(i dn femmes) DvMa qu pagni cootvrm-Im — 

/( Joutt fut jt puistt wmi coHvtÛHcrt 
— (verbe terminé par une consonne) 
(i un homme on 1 une femme) — Tall parlar-ll (r) 

ml — Jt veux vous parler aujourtbui 
(1 dcf hommes ou i des femmes) — Tall parlu- 

Ih (r) KWÉl — Je veux vous parkr aujourj'biii 
(t un homme) Parianv mlnuit-lo — Ils partaÙMl 

m vous r^rJant 
(A une femme) FtrkTni MiTut-U — Us porhienl^ 

en vous regaréanl 
(i des hommes) Ttlf nponr-lu (r) Ifu • tes 

foatn — Jt vous nileudis jusqu'à quatre heures ■ 
^ (i de* femmes) Ttif Mperar-lM (r) flnt a In q«ali* 

— /( twiu tlltnàii jusqu'à quatre heurts 
ifi, — Lorsque «I, la, compléments directs, ati, compli* - 
ment direct ou indirect, sont places avant le verbe, ils subis- 
sent les modifications indiquées aus SS '''' ^ '^* 
Ex. ; (A un homme ou i une femme) EU (é) m l'MealU 

(6) — // m vous écoule pas 
(1 un homme) H* l'kaa nooMgit — Ih nt vous ont 

(i une femme) ■• m ham TitU — Kous ne vous y~ 

nous pat vue 
(i un homme) Ifel veig aaTiit — Je "' vous vois pas 



vGocij^le 



Lcs rowuLes de foutksi 9^ 

(1 on 'homme) U CmitltuUl pnUfdx — l* 

ConitiluluM vouipreligt 
(i d« homme») Moli ▼•!•■ Mrlat — Nom tu VMtf 

vojom pat loiaifil 
(i det hommei oti i det fcmmci) La sm (é) arii. 

•Il doBârà la fM denaBU — Ma granimirt vtur 

dontitr» « f M( vous itmanitx_ 

197. — U, compivment indirect, M change en U dans le 
cai indiqué au 5 171* 

Ex. : Ct livre, jt vous U douitt (i un homme ou i nne 

femme) ~ AfBMt Uibre, lU dma (6) 
N^t maison, nous vous ta vendant (i un homme ou 

i une femme) — La noatra eaaa, IV TanaM 
Ses chevaux, il vous Us préit (i un homme ou i une 

femme) — Bla aana (é) earalli, tU U praMt (<> 
CesJUurs, nous vous Us enverrons (i un homme ou L - 

une femme) — Iqtuataa flon, lu U anTiaram 

198. — On a vu précédemment ($ 179) que pour doa> 
ncr i la phraie plus de force ou plus de précision, on pou-" 
vait, en catalan, exprimer deux fois le pronom personnel 
complément désignant une penonne : une fois sans prépo- 
sition, une autre fois précédé de la proposition a. Cette répé- 
tition a lieu dans les mêmes cas quand on traduit le vont 
français de politesse, complément indirect sans préposition 
ou complément direct : si le vous français est complément: 
indirect sans préposition, le verbe, catalan est précédé ou 
suivi de U ou ala (modifiés s'il y a lieu, voir JJ 171 et i£4)- 
et inivi, Immédiatement ou non, de a ToaU ou a nsUai st 
le vous français est complément direct, le verbe catalan est 
précédé ou suivi de al, la, ala, lai (les trots premiers modl- . 
fiés s'il y a lieu, voir ^ 16% i 164) et.*nivi, immédiatement 
on non, de a voaU ou a veatia. 



9» us FOUUUt OB MUTCSSE 

Ex. : (i un hooimc ou i une femme) Je voui parle 
avec francbia — U parlo a Toali am tran- 

- VUÊM 

(i un homme ou à une femme) Ce livre, je wnis le 

émmt — AfHMt llitea, IW *na (à) a toaI 
(i det hommes ou i des femmes) /( vaut dis U virile 

— Bla dlo a TMtèi la Ttritat 
(i un homme) Je veut verrai demahi — D mai 

tasi a tmU 
(i une femme) Hier nous n'avons pas pu vous vàr — 

AUr a» vam podar vaara-la a twU 
(1 det hommes) Sous ne pourrons voiit voir avant 

Fannie prochaine — Ho'U podraa Ttara a tmUi 

Hbi l'aajr Tiaaat (c) 
(1 des femmes) Mes parents vous verront la semaine 

prochaine — Bla mmvm (c) parât lat Taaria a TaaUi 

la laUMna «abaiit 

Vous, complément d'un verbe pronominal 
■99. — Vous, complcment direct ou indirect d'un verbe 
pronominal, se traduit par la. 
Ex. : (i un homme ou i une iemme) Comment vous nom' 
me^-'oous} — Coniadiat 
(i des hommes ou i des femmes) Comment vous nom' 
mei-vous ? — Cas ta dlntal 
•• subit les modifications îndiquies d'une part aux §§ 167 
et 168, d'autre part aux ^S l?^ ^ '7i- 
Es. ; (i un homme ou i une femme) Fous vous Hes retiré 
(ou : relira) avant cinq heures — ToaU alla TtUnt 
akaaa da la* dnc. 
(1 dei hommes ou i des femmes) Ne vous faîtes pas 
titJusiont — Ha't (acta Ulufaut (i-lou-ii&nç) 



,,Gi)t)^lc 



' 


noKOHs En tsr Y - 97 




(i un homme) Oicb<x-vi>u% avaul qui Jean ne vous 




vwe — Asagii-t akana fu m iMa m1 nfi. 




En et Y 




. — «1 se traduit par n (pron. *«ne). 


Ex. 


: CombUn as-tu di frira f ftii ai qualrt -^ QuaU ft- 




mana Mna (é)l !■ Une qiati* 




Coinims'ltt e<t homme fftitfarhii — CVMixmuptM 




kOBiaT En parUTa 




poUaTEiiTiu 






Fonlti-wmi du pain f J'en veux— Jtl 9ml tu nO. 


loi 


— an subit Ici modifications tuivantei: 


I 




«oit d'ua verbe commençant par une voj'elle oa par k, toit . ^ 


<lu 


ironom hi. 


Eï. 


: A quellt iMurt es-lu revenu de Barcelone f J'en suis 




revem à j beurti — k «lina hora haa Unat d« 




Barealou (A)T n-h» Uniat a 1m i«t. 




/■« affris eel événemeni, uuiis feu ignore Us consiqueti- 




. ca — Bt aabnt tqiut nccda, pwfe a'i^man Iw 








Parmi ces tableaux, j'en vois de bous, mais H y tu 




« de bien mauvais — Entra aqnaaU qnalna. 




an nia da bona, port nlil ha de Molt (&) 




M^muii) 


1 


m te change en 'a quand il e*t immUiatemcnt pré- 


cédi d'un mot tcnilinê par une voyelle ou par une diph- - 1 


longue croiuantc, et immétliatcmeat luivi d'ua \tïht | 
commettant par une conionnc autre ^oe k. . | 


El. 


! U ebercbt des ouvriers, mais il n'eu trouve pot — BaMt 




obrara (é), pwft ao'n tnbt 


Cm 


miatlnttMm 7 - . ' 




n,„„..,.;Goo3l 



yS noNOi» £» ET y 

L'bàloire n parU avtc ntotmatoana — L'Uitorli'it 
piria tMb afrataMst (é) 
)■ fli fC traduîi par m OD mt que l'on place après le verbe 
et que l'oa joint i lui par un trait d'uuioa, dans les cas 
indiqués au J 172. 

■ l'emploie dans les cas indiqués au $ 171) !■; ne s'em- 
ploie dans les cas indiquésan J 171, i*. Le verbe subit les 
modifications indiquées aux §§ 174 et 175. 

Ex. : Capemmrs »mt tris bonnes; porlei-m mie àtmi-doii- 
laine à voirt frire — IquMtes pomea (à) sdn molt 
(A) bonos; perti-u mitla datuna al lan (£) garml 
Ses aiiéifeiirs ilaienl crédules : H en eonvaiiiquil la plu- 
Pnrl — XIaMmB (£) oinU (é) ermi (é) erUnk : 
Ta eoBvmce-B U major (A) part 
Si lu désirais des livres, Ih pourrais eu avmr — Si 
<aii4aTai lUbm, podrlei tnlr-u 
301. — 11 "l, traduction régulière de lui en ett sauvent 
reropbcé par «'U '. 
&[. : ■•■ rabnt prétaecs i U 'b (on : n'U) doDaram nna 
toUeaa — Nous avons reçu des piebts il uotu lui en 
deimermis nue douyiiue 
Ttn se traduit toujours par Vwm 

Ex, : Il se trouve dans une siliialioa dangereuse, mais nous 

l'eu lirerous — Se Uoha en nna aitaaoltf parlUoM 

(A), part lUMaltraa l'an traturem 

lO). — en apot le sens des tdjeaifs pronominaux pos- 

seiiîfi sou. sa, leur, ses, leurs se traduit habituellement par al 

aaa (é). la aava (é), aU ■•■■ (é), las aam (é). 

Ex. î Celle maison est Iris jolie, la situation eu est agréable. 

(Mot A mot ; sa situation est agréable.) — AqnaiU 

I. daan,(nirM,«HfMliMMtrnnp1sc<,mi(tltBtt,F*ralaaBU. 



n,r,,i,7=-i>,.GooglC: 



piomnn Eu n Y 

MU éi Bolt (6) tenin, la Mra (f) t 

agntfihU 
Nolrt vilU al graiiJi et les rua m iohI hrga. (Mot i 
mot ; et te* mes wnt largei.) — la MUra dalat 
et gran i «U mu (£) canan (£) lén aaplaa 

— jf M traduit loujoun par U. 

: yai-lu au hal? Jt n'y vais fms — Taa al kaUT Mo U 



Peiisa-lu à hu pin? fy /"W' - 



« ai al taa (£) 



jtvi^-vous fini mes icuiun? Non, fj fritvaillt — la 
aealiat laa ataraa (é) aaJMtaal Ha, U UabaUa 
3o;. — U se place après le verbe et se joint i lui par un 
trait d'union, dans les cas indiqués au § 171. Le verbe subit 
les modifications indiquées aux ^§ 174 à 176. 

Ex. : Fai-lu au bal? Je tu veux pas y aller — Taa al kalll 
Ha Tull anar-U (r) 
J'eiiltudh du bruit dans le jardin et fj courus — Taif 

■aiiUr aanll (6) al tari! t vaig cornai 
Je lie vais pas à Tarragout : vas-y, si lu veux — la »9 
. vaif a Tarragona (d), vai-U (é) al fob 
AujouriCbui nous nous Irouvereas ebe^ mm père; sois-y 
à quatre beura — Aval aaa trobaram t caaa 1 maa 
(i) para, ilga-U (ou : rigoat-U) a loi qaatro 
3o£. — Quand ta troiiième personne du pluriel du sub- 
jonctif est employée dans un sens impératif et est suivie de U, . 
on intercale l entre le verbe et U, 
Ex. : Nous n'allons pas m France, Messieurs, mais alle^-y 
— RoMllrai M aaaai a Fraaga, part raglB-t-U 
Toatia 
Quelques personnes n'écrivent pas cette t tout en la pro- 
nonçant: vagin-U Toatèa. 



h,Go(Hî •- 



100 raOKOKS DËMOXnUkTIFS , 

307. — Qfiand le participe pr^nt eit tuivi de kl, on 
prononce la t fioale du ptn'tcipc présent. 

Ex. : En y petisauliouveni, lu finirai par comprendre — Pan- 

MWt-U HTiat, BBiliarii par «npeadrt-ko 
208. — )p m K traduit toujour* par nlU. 
Ex. ; Combitu y a-l-il de chevaux dans rieur»? Il y tu a 

quatre — QuiU earalli U ba a l'aïUbleT H'U 

ha fut» 
Il n'y aptude ebaites daai U jardin ; il fauâmU y ni 

mellre trois ou quatre — Mo U ha eadirat al lardf; 

ealdria poiar-n'hi (t) tna fMtn 



II. PRONOMS DÉMONSTRATIFS 



309. — aqaeit, ce, cehii-â; aqaaiU 
reux-i'i — aqataU, telle, eelle-ei; aquataa, ces, celles-ci. On 
emploie auisi, mais moins friquemmcnt ; attaais, a<taein»; 
aqaaixa, aqMixa*. 

, afidl, et, celui-là; aqMlla, ces, ceux-fà — afulUr celle, 
erllelà; afaaUat, ces, celles-ià. 

afst, ceci — alU, cela. 

KaMABdUB. aqiMt ic prononce presque toujours tuVèu 
quand il précède imm£dUicmcnt un nom commençant par 
une consonne, ou quand il est employé comme pronom, et 
fi/kéçt quand il procède immédiatement un nom commençant 
par une voyelle ou par h. 

Ex. : Iqaait earall (euHlt kcuball) — ce cheval 

IfnaU (mU») éi oiaïaa petit — Ctlui-ei est trop petit 
afMft aaa (nikéçtauti) — cet int 
afaaat haMa (rakèçtomtu) — ut homme 

BfMati K prononce toujours tnkétç. 



■i>, Google 



rtoNous DCuoMtTunn lot 

MtOMOMS DiWWSnUTlFS FUMÇUS SUIV» DE 

Jt, Joui, dt fut, iuqutl, dt tsqiulU, iti^ueb, iaqutUes. 
110. — tilui, uiU, 'etux, etIJes luivii dt dl tt traduîtent 
ginénilemcni par let articlet définit al, la. «la, Im. 
Ex. ; hs lolduls iEtpagnt tl etux et PtrlugaJ — di idtau 
itÊfÊMjt i «U d« Portogi] 
ktftuilki du chini et ctUa du ptuplîtr — 1« fiUat M 
ro«n (d) 1 IM id » 



an. — ulai, celte, ceux, ailes inivii de dont on de du^utl, 
de loqutiU, desquels, desquelles et disigiunt de* chotet, m tra- 
duiicnt par lei articles àt&nit A, la, ala, lai. 
Ex. : fài deux livres : celui dent je veux le parler isl le petil 
— Tino doa (à) llltoaa : al da qaVt nU pailar fa 
•IpaUt 
113. — celui, cille, ceux, alla lùivia de itul, de dt qui ou - 
de duquel, de laquelle, desquels, desquelles et déiignini de* 
penonaei ic traduiaeiit plutAi par aqnall, aqulla, aqoaUa, 



Ex. : J'ai dtiix frira : ctlai dent Je li parle isl m Italie — > 
Tino doi (A) ganuu ; afwll da «il't pai1« da 
a Italia. 
313, -^ ce dont ou cedtqumte traduit paralsidafsè on 
par allk da qml suivant le ca*. 

Ex. ; et dont je le parle — «M d« fsèt pari» 
et dont lu Me parles — alxk da !■)'■ pariaa 
et doHi tu mt parlais — alU da qni'n pailarea 
et doHi mus lui parlions — alU da o' U pariina 
Mail aixft da fnè et allé da qui «Ait (omcat icmplacéa 
par la da fat. 



G^H« r 



DËKOKnHATIFS 



PRONOMS DÉMOHSTRitTIFS FIAXÇAIS SUIVIS DB qui OU qUC 

314, — ''''"', ctlU, ciHX, ctlles suivit de ^hi' ou de que se 
uaJuiseni par les articles définis al, la, «ta, lu. 
Rx. : Celui qui a feil (tiatst uH vùiUari — Blfwnbr(£) 

•Ixft <t U T0U (&) 

Celle qui a dit eela a menli — li fu bt dit aixft ha 

■MlUt 

Ceux qui soiil uminleuaiil pris de moi uni mes amis — 
EU qpu ada ara aprop mm (i) a6B ela mau (é) 
anlea 
KEitftiaUB. En pirlani des personnel, celui qui, celle qui, 
tttfx qui, exiles qui, et eeluiqut, celle que, ceux que, telles que, 
peuvent aussi se traduire par qii (Voir Ç 33;). 
Ex. : QrI n lar («) alx6 <i u rail (é) 

Qil ha éit abt ba BWMUt 
>t J. — Ce qui, te que se traduit par lo qM. 
Ex. : Ct qui péri cet Inmuie c'est Fwgufil — Lo fM p«rd 
u aqwit hoaa éi l'orivll 
Ce que jt dénre, t'est un thtval — Lo qia i»AVfi, <a 
MeavaU 

LB PiOHOM raAKÇAis ce devant lb veaiE ilre 

EMPLOYÉ tJKIPBtSOKKBLLBHEKT 

3t6. — Le pronom français ct placi de\'ani le verbe itit 
-employé unipersonnellcmeot se traduit de telle ou'tellc ma- 
nière, selon que Hre est ou n'est pas suivi d'un pronom 
personnel. 

I. DEVANT UK IVONOH PEKSONHEL 

S17. — Quand le Terbe nnipenoonel itre est simplement 
suivi d'un pronom personnel, le pronom françai* « ne se 



nOHOHS DËHOMtTMnra 10) 

(raduit pa», et k verbe ilre l'accorde avec k proaoïu peraon- 
nel qtii te place indiffércmmeni aviot ou apré* lui. 
Ex. : Ctà mm (Mot k mot : Suit nrai) — Uc io ou : 
Josfo 
Cal mut (Mot i mot : Somme» nout) — Soa (ô) 

noullm, ou : HoMltm mm (6) . 
Célail lui (Mot à mot: Ëuil lui) — In (é) «U (i), 

ou : BU (d) en (ù) 
Ce strettt eux (Mot i mut : Serout eux) — 8«ràt lHU 
(£), ou : EUi (é) Mii> 
Dan» ks rûpontet, on ne traduit généralement ni a, ni le 
verbe tire. 
Ex. : Qui frappe? Ctti moi — Qui tnmt Jo 
llS. — Qfiand k verbe unipcnonnel ilre est suivi d'un 
pronom penonnel luivi lui-même d'un pronom relatif et 
d'un verbe autre que lire, on traduit comme précédemment. 
Ex. : Cesl moi qui ai u ebeval (Mot 1 mot : Moi >uii qui 
ai ce cheval) — Jo >te qm Uac aqMtt «naU 
Ceil Im tftti fat fait (Mot à mot: Toi es celui qui 
l'a fait) — Tu iU (é) al 4iia ho ha lat (é) 
i[9. -;- Quand le verbe uiiipenonnel iirt en tuivî d'un 
pronom pertonnel luivi lui-même d'un pronom relatif et du 
verbe èirt, on traduit limplemeot k pronom penonnel et le 
tecoud- verbe Ure. et on ne traduit di ee, ni ruaipcnonncl 
ilre, ni k rektif. 

' Kx. ; Cesl Im qui a U premier (Mot i mot: Toiei le pre- 
mier) — Tn au (é) al primer (é) 
Ceit nous qui m lammtt la taux (Mot si mol : Nout en 
lommet la cauie) — Soaaltres an aan (à) la eaua 
Rbhasqub. Q^iand k verbe unipenoaneltEfrteittuivid'un 
pronom penonnel complément (direct ou indirect), lUivi 
tAtqmtx d'un verbe quelconque, on ne induit ni 



j 

i 104 PROMOIIS DËHONSTlUTin 

■\ ' o, ni l'nnîpenonnel Un, ni gut, (Voir la remirqae du' $ 

i 179) 

'p " Ex. : Cul à Hui qu'il Fa dit (Mot à mot : A moi il l'a dit) 

— 1 mi ■>«• hâ Ait 
Cat vous qut je rtgarde (Mot i mot : Je inU r^r- 

«Unt 1 Tout) — Ertle mirant a T. 
C*st par lui qiu f appris ala (Mol i mol : Par lut je 
int cela) — Par aU (i) ka nlf aakar 

n. WVANT TOUT AUTtK MOT au'oX MtOKOM PBUOmiEL 

3)0. — Qfiand le verbe unipcnonnel &rt eit laivi de tout, 
autre mot qu'uu pronom pcrtonacl, le plui souvent le pro- 
nom M ne le traduit p». 
Es. : Cist un homme — fia m koma 
Ce S9ut dnftmma — tim Unaa 
Ce Ht Krait yu jusie — Ho Un jnat 
Ceil a qne nous vaiihiit — Éa lo qna volom 
Dan» les réponse*, oa ne traduit génértkment ni a, ni le 
. wAtHre. 

Es. : Qui fa Jontié utie moulrt? Cesl Jean — Qui t'ha 

A»at aqnaat rallotgaT Bi Jaaa 
311. — Quand le verbe unipersonnel Urt est suivi en 
françaia d'un des adverbes ici on là, le pronom « peut ttre 
imlnit par un pronom démonitratif que l'on bit accorder 



Ex. i Cl fut là ur^u (Mot- ^ mot: Celle-U fut sa r<ï- 

poDie) — AqMata va aar (j) la aeva (i) raspoiU 

Çiit iei ma hmùmi (Mot 1 moi: Ma maison est 

cdle^, on ; Celle-ci est ma maison) — La meva 

; (é) oaaa <a «fMaU, ou : AfwaU 4» la mara (i) 



: , Gix^i^le 



riunnnis DËxoNSritATiFS toj 

Célaùiil IAIaiiMifiJttMr^us(Uotimm Ctm\i 
itMieat let matifs de loii refut) — lfMlli«mi(c) 
0li uoUtu da la mtc (é) ngaUra 
133. — On peut également k lervir de* pronomi dimon- 
itnibfi toutes les foii que la phrase s'y prête. 
Ex. : Ct smit la ihUhius (Mot i moi : Cellet^i aoni les 
miennes) — AqiwtM «in 1m mmm (é) 
Cett le Hitilhur Jt loin (Mot â root : Celni-U e« le 
meilleur de tout) — Aqidl tft «1 ■<■ b« oa al 
■UlM (à) de tou (à) 
33). — Mais dans la pinpart des cas, pourvu que le verbe 
unipenonnel être ne loit pas suivi' d'nn pronom personnel, 
on pent ne pas traduire le pronom français a. 
Ex. ;' Ta MT la Mva (é) mporta — Sfa 1m MarM (é) 
— etc.. 
. 314. — Le plus souvent, dans les phrases contenant le 
verbe unipersonnel iirt et qn* ou qut it, on ne traduit ni et 
ni fM ni qut et et l'on modifie la construction de la phrase 
ainsi que l'indiqueront le« exemples 'suivants ; 

CtsI eu vain que In marebtt — Em va (.aalaM 
Ctsf untfolii qiu Uftu — El foc il uu tegarfa 
Cal un devoir giu dt k faire — fia na inwr (r) 

br-bo (fé-rou) 
C* tint fins chose facile que dt glaner di targtHt -~ N* 

<■ ooM liell gnanjar dlaan (é) 
C* u'tsl pas aimer set amis que Je îetJiaUtr — QnL 
adalali wn» (i) aaiM loli aaUaa 
33t. — Quand le verbe nniperaoonel ilre tn suivi d un 
substantif soi vï Ini-mjme d'un pronom relatif et d un verbe 
autre que ilre, on a recoun i une invenion. 

Ex. : CtfurtuI les Romains qui couquirenl FEipague — Eto 
roasaaa fom (A) «la «aa e 



(Mot à mot : Let RonuJt» furent ceux qui con- 
quircnt l'Espagne) 



116. — Esl-ce qut...} te Induit par Fir TtBtBn.-.l ou 
plut limplcmcnt en donnant i la phrase une Tonne iDierro* 
gaii\-c. 

ArH/-M^f(w...^ te traduit par Hoit T«riUtfM...1 

Qu'al-et qut c'ttlf et Qu'esl-ct qitt c'til qut cefaf »c traduis 
sent par Qai t» alx&l 

Qn'at-fé que c'a! qut.,.f te traduit par Qnè U...7 

.337. — Ce dan* dt ce que, à ce que, ne k traduit pa>. 

El. : Tii le phhii it te que lu ts malade — Ta fMisM (é) 
d* fu hUb Bulalt 

Mais ti que est relatif, on traduit re par lo. 

El. ! Ptnu à re que lu fait — tnu» n lo qw ba 



III. PRONOMS RFXATIFS 



aaS. — fM (i^'") que, qui, in\'ariabl«, s'emploie pour les 
pertoniies et Ici choses; avec une préposition, il devient 
meà et ne peut s'employer pour les pertonncs. — Do qaè 
peut M traduire par dmil; • fiè et an qnè par oii. 
£k. : lluma qna paria — Tbomme qui parle 

ab kasai q«a trakallei — tes hommes qui Iravailleal 
ail qie mm (ô) cataUna — uous qui sommes Catalans 
rk^H qu T. va tnbar — Fbemme que vous avet, 

rnicmilré 
la «ota qaa vaiu — la chose qtit tu vends . 
ti Ulkra 4t fal pariaTM — k livre dont lu parlais 



I07 

lu liqiMM ia qnè akniMi — la ricbetta dont Ht 

«butent 
«1 ti a fni tradlB — U but où vout laiiU;, 
■1 pint M fnè MbHK — sH {mut eu unis tu tommn 
RiiHARQUE. ToutM Ics foîs qu'il poumil y avoir ^uivo- 
que (par exemple dam une phraie trop longue), ou quand 
l'euphonie l'exige, on remplace fM par al fMl, la ful. ala 
fnala, lai «mala. Il faut touiefois renurquer que cet pronoma 
lont peu usttét dans U convertation. 

ia9. — Dans les phrases interrogativci, exclamativea ou 
dubitatives, fnl traduit qut ou quri français. 

Ex. : Que ku fat (£), daaFadatt ~- Qm'ap4M /mI. mal- 
iMureuxf 
Qaè dhiî — Que iUtt-wittf 
Qoè Tol dlr — Qfit voutti^iwis àirtT 
Ho b4 fai panaar — Jt m tait que penser . 
De qui parlai — De quai par\e;_-w«tf 
2b fsè pMsal — A quoi peuui-wuif 
Ab qai haa fat (£) «ixil — Àvecqumat'tufiiUttkf 
Qu'eil-ce qne se traduit par fnl. 
Ex. : Qu'ett-te qu'il vaut a dit f — Que h n 4itl 
Qu'esl-te qu'une nalimi? — Qaè ia Kia ladil 



ajo. — q«i traduit qui français, mais ne l'emploie que 
■pour le* personnes. — de qil peut se traduire par étui. 
El. : lluB* de qnl pario — fliemme'ii qui jt pM-le, ou : 
tbammt êml jt parle 
ela baUtamU da fol 'a traoU — les bahtlanU êml U 

s'agit 
a«aaU da fii <a aqaaaU caaa, ~- celui à qui est ttlle 



■ C.ai^fll 



10« 



PRONOMS KELATIFS 



l'knw an qil io 0ra (é) — Fbomnu avec qui filai 
Qo) iil — Qui tsl-ctf 
Qil <■ ■qtutt boniT — Qui eit ctl bomiuef 
Qui bo hnim it pouarl — Qui Ftturail tru f 
Qil buqnial — Qui cbercbenl-Hif 
Dt qnl fa aqiMt llUinl — A qui tst ce livre f 
DaqnlkuMtat alsAT — D*quiitp4tt affiritethf 
A qnl ptrlaTMt — ^ qui parlnis-luf 
3)1. — ini... qui... tignific ritii... l'autre... quand 
•'agit d'un nombre indétenninf de personne*. 
. El, : Q«l din al, qni din m — (ou : Qsi dln q» af, <[ 
dln qva bo) — L'uu iU oui. Vautre dit uou. 
3)3. — qai signifie <|aet^uefoit quelqu'un qui, surto 
après les mou signifiant wùi, voilà. 
Ex. : Tall-aqil (ou ; Aqil U ha) foi'aa en doaari nsUoi 
— Vùei qutlqu'uu qui «oui eu donnera êei nouvell 
3)). — lai sig.iifiani celui qui, celle qui, ceux qui, ctl 
qui on celui que, celle que, unx que, ctllei que, et dûiigna 
des personnes se rend par qnl ou par arqna, la qna, ab qn 
-ItaqMCVoirSiM) 

. El. : Qui voyage tippreni — Qnl via^a aprèn, ou ; Bl qi 
Tia^aaprta 
Euvoyei qui vous veudrei — Enrii qnl vnlgnl 
Parmi ma amis cbtitiiui qui vous voudrez — BiiUa' 
Matta(é}uriea,MoaUlqnl(ou : alqM)T. raif 
3)4- — Q<*> fl-f* qti *e iradnil jiàr qn), quelquefois aus 
par qnf da qna, 
Ea, ; Qui est-ce quï/ra/^f — Qnl tmoaT ou : Qnl es qne tmo 

quin 

a)j. — qilB, qniwi, qnina, qntBaa s'emploient dans 1< 

phrases inierrogatlvcs, «clamatives ou dubitatives ponr tn 



MOKOMS lELATIFS IO9 

(luire Im pronoms françaitfiwf, quilk, quels, qtitllei ou lequel, 
laquelle, lesqueb, lesquelles. 
Ex. : Quia éa i<taMt hemal — Quel tsl ett homme f 
Qnln amtlnnt (c)l — QutI rtgrell 
Qoina eoial — QutI/« cbmef 
Qniai goçoi (ô) lin aqvaiUl — Qaib stnl ctt elàeni ? 
Ho té qnlu lllkm p«t Uslr — Jt itt sah qtuh livret 

il peut avoir 
QaiuM caM* méa bonlquai I — Quellrs jalia maisons l 
QoinM adn lai millen (6) paiaaa (A) T — Quelles 

sorti les weilleures pomma? 
Mo ié qui»! adn aqaoaUa cotaa — /( ue sais pas 

quelles sont ces choses 
Da QBin keme 'm jailMi—^Dequel bommt auparta-lu? 
Far ^in camf tiaa vlngut aqilT '— Par quel chemin 

es-lu ivfin tri? 
En qvinai fibiiiiiMa han trakalUtt — Dont quelles^ 

usines aveiinus Iramilléf 
Para (piliidalitaiu(é)BamBii«coapr«i(A)alzftT — 

Pour lequel Je Ittfrirts acbèles-lu cela? 
Ha mort nn laU «en* (é) HUa. QainT — Un de sa 

fils est mort. Lequel? 
QDiMt w6a iM TOMnal — Laquella sont Us vHresf 

el quai 
3)6. — al qnal, la qnal, ela qmaU, lai quia, traduÏKnt let 
pronom) françait lequel, laquelle, lesquels, lesquelles précédés 
il'une préposition, dans des phrases non interrogalîves. — 
dal qoat, da la qnal, dala «mala, da laa quia se traduisent 
fréquemment par icnt. 

Ex. : al mhI pal qnal lu vlngut — le chemin par lequel jt 
suis venu 



.■i>,Cob^l 



IIO nOKOSIS RELATIFS 

la UM da la fual parl« — la utaiuit âoiil jt parle 
ati'patMM m ali qoala aqoaaU liai (ù) azUtalx — ht 

pays dans Itfqtieis aile loi exisle 
•la M>U aab ala qnala aiu paaaafaa — les enfaiils avec 
ItsqiieU MUS nous proiiieiioiis 
' laa Mnaa para lai foala adn aqmitaa falai — Us 
femmes pour ItsqnelUs sont cts bijoux 
aqnaat noi par U rtda 4el v>al denaria ja la vara 
(c) — ctl tiifaul pour la vie duquel je donnerais la 
mieiint 
d aux an laa profondltata del fnal la UoImb UnU 
vaixalla anflaUU — U mer dans les profondeurs dt 
laquelle se Inmvenl tant de vaitstanx tugbulis 
3}7. — Quand nn lubstintif est plic^ en Trançais immé- 
diatement ipr^g denl, il k place en catalan immfdiatemeni 
avant M qaal, da la qval, dali (ptala, da laa qnala. 
Ex. ; la eaaa al propiiaurf de U quai aealia da norir — k 
maison dont le propriltairt vieul de mourir 
ala Ulbraa ala antara (ù) delà qttaU adn tant conegnU 

— les liwts detit les ailleurs sont li connus 

l'edlffail la p«la dal «nal «a da farra — t édifice dont 

la-porle est en fer 

Si le verbe ait suivi en français d'un substantif auquel 

ital se rapporte, ce substantif se place avant le verbe catalan. 

Ex. ; tbemme dont mus admirons Ut uUnct — l'hona la 



It minislrt dont nous blâmons Us idées — 9t miniitra 



REMMàUB. Dans les deux cas faisant l'objet du préMnt 
paragraphe, dml e« trCs fréquemment, mais i tort, iraduit' 
nit par foal, quia, toit par qala, qalu, qalna, qniaaa, ei 
l'article qui précède le lubitaniif français n'est pas exprima. 



PIOXOIIS ET ADJlCTin INDeTEMlINeS III 

: la Mta f«al (ou qiln) propriatui seata it aorir 
ail Ulbraa quli (ou qniu) anUtn ata tant eraasaU 
rMlUicI qui (ou qilwi) parla éa da far» 
llwaa fiai (ou qilwi) oiaMla adniraa 
al mlnlatra <piaU (ou qaiMt) Idaaa oaaanMi 



IV. PRONOMS ET ADJECTIFS INDÉTERMINÉS 



RÈGLES GÈNËULES 

3}8. — Quand un pronom ou un adjectif îndétermioi 
cxpriniaiii une idie UL^tive le trouve dam une phrate 
Trançaisc coutenaot la ni-gaiion nt, on peut, en catalan, pla- 
cer ce pronom ou cet adjectif 

soit avant le verbe et ne pas traduire la nigaiion (c'est ce 
qui a lieu le plut frC-qucmment), 

toit aprOs le verbe et faire pr^^dcr le verbe de la n^-ga- 
tion 10. 
Ex. : Personne ne parle — Xlngfi parla, ou ; Ha parla itegi 
Àiiain £tux ue viendra — Cap d'alli {i) Tlndrà, ou : 

Ho Tiidri sap d'alla (é) 
Rien ti'cst impossible — Raa éa liapeaaiUa, ou : Ho U 

lia raa ImpoaalUa 
M tua ni feulre ne peuvent mus aider — Hl Yvm il 
l'altra'na po4a> a|mdar, ou : Ho'na po4n ajnter 
ni l'un ni l'allra 
339. — Dam une phrase interrogative op dubitative, 
algdn, quelque — algfi, gaeîqu'un — algvat 00^, quelque 
chose, peuvent iae remplacés par leurt natifs cap, aucun 
— mivft, personne — raa, rien, qui se placent Immédiate- 
ment aprit le verbe. * 



_,„&) 



III nOMCMIS WT ADJECTIFS INDETEUHKÉS 

El. : Ji-lu quelque roman f ■— Tant (£) cap wtrelaT 

/( Joule qu'il y ail qiitiqii'iiu dam etile maison ~ 

DnUo fu U hagi alnffi an aqnatU eaia 
Ltti oal-ih iil quelque ebose? — Lt haa dit rail 



■Igiia 

340. — tlgéa, tlfnu, algsiu, alguiaa, lignirient qud» 
qu'un, quelqu'une, quelques-uns, quelques-nnei, quelqiu, quel- 
ques. Cei pronomt t'emploiciit dans un Knt rcilreint; il» 
«lignent dei penonne* ou dei choseï d'une certaine catC- 
gorifl : lli peuvent donc toit ftrc luivii d'un non) OU de i» 
et d'un nom, toit te rapporter 1 un nom précédemment 
eiprîmé. 

Ex. t algùn delà fomen (é) — quelqu'un f entre les bou- 
la tiger s 
■]|uu anici — quelques amis 
algnnaa d'ailai — quelques-unes Centre elles 
n lllkTMl 8i, «a Um almna — Ave^-vous des livresf 
Oui, feu ai quelquei-uns 

cap 

341. — aap signifie aucun, aucune. Ce pronom ne désigne 
que dci personnel ou des choies d'une certaine catégorie : 
il ctt oppoié 1 algia. 

Ek. : cap d'afvaaU ^actea (é) — mucuh de cts objels 
•ap d'allaa (é) — aucune belles 
Ho Um aap fnadani — Je n'ai aucun cahier 
Tau (é) niteaat Ho'b Ubo aap — As-tu des livresf Je 
n'en al aucun 



n,3i,7=-i>,Google_ 



34>. — Bi u, ni mai ligaifienl ptu un on pas utt teul, pas 
une ou pas une teille. Ces loculioni pronominalet indignent 
ont négation plut Jortcque up. 
Ex. : Kl nn anlo mt qiuda (é), on : ■o'b qaada (é) al 
an aiaio — // «e mt reitt pas uii uul ami 
Té UnmflMl Kl aaa — tivr^imis éts enngtif Pas 
une sente 

•Igâ 

I4i' —• algA, quelqu'un, c*t invarublc. Il déiigne une 
pcraonne quelconque dans un teni indétemiiDé, dtni Ici 
phratei affirmatives ou interrogatives. 

Eit : AI9Û ha TiagntT ou : Ha viagat algdT — Quelqu'un 
tsi-ilveuuf 
Algd ka Tlagiit a baMar-lo(r} — QutJqu'ua esi venu 
le clmcber 
Remarque. On oc doit emplo)*er algû ni devant un nom 
ni devant de suivi d'un pluriel : algd d'alli (é) lenit incor- 
rect; on doit dire âlgAa d'alla (é), Vun d'eux. 

ningû — dingâ. 

344. — Bisgi ou dlsgd, personne, est invariable. Cest le 
'u^atif dealgû. 

Ex. ; Ha Tiagat algdT Niagi (ou : Diagé) — jju'/^n''"' 
esl-iî venu f Personne 
Hiagt (ou : Dlagd) val fer (é) alzfti — Personne ut 

veiil-il faire celaf 
Ho ho lum dit a aingi — lit ut TonI Mt à personne ' 



a4î. 



pertonm 
- parsonnt signifiant quelqu'un et employa mii* 



o^ifiatioo le traduit : l> par nlngi s'il ne l'agit d'aucune ca- 

t^rie détcnninte de pereonnes ; 3' par cap ou eap altrt', 

Mf «Un, l'il t'agit d'une certaine cai%orie de pcrtonnes. 

Ei; : Y a-l-il peruniu plus aimtibU que lui? — Hi ka alngA 

■<ianaU«^«aU(é)? 

Cmmmae^^vous ptnenue de plus fort f — CvBtfx singA 

9w llBffMl aéa forçat 

/( iouU que ptrumut ieU aussi graud que cet homme — 

OskU fM ilngli ilgni Uni ait wm a^oMl bon* 

/( doute qnt penonne pqrmi ses frères scit aussi grande 

que lui — DoUaqna cap, ou: DiHo fucapallni 

Mi m» (£) B*nB*iu >ivnl Unt ait cou aU (v) 

Je ioult qnt perscune parmi ses laurs scit aussi grande 

qu'elle — II«Me.qu up, ou : DoUo qva eap altra 

d« iM Mna Çé) ganMMa atg*! Unt alU ean 

346. — Personne employé uns négation, dans te sens de 
f HÏ que ce toit ou de lOut autre, se traduit par ilngi on par 
fulasYrt altra, qaalacrol altra. 

Ex. ! Cel emploi lui fonvieul mieux qu'à personne — Afoeat 
•^■•a U tumri oia an ail (é) ^a» a liagA, ou ; 
fM a fulaavol altrt 

nul 

347. — nul, nulle, dans un scm indétenniné, se tradut- 
•Ml par BiDoti, et dans un sens déterminé par eap. 

El. : Nul n'est plus aimablt que lui — Nlngi éa mé» anaU* ~ 

«M*ll(é) 

ATmI d^ VMU H'of MfiifJrit — Cap te Ta. lati aatlsfat (é> 



■ i>i Google 



nOKO» BT ADJBCnn 



348. — rittt K traduit par m ou par n. 

. Ex. : /< ut veux le rien itnntr — H« nll loHr-U (r) m, '. 

ou : ra 

7/ n'y a ritii it meilleur, ou : Ken n'ai meilleur pour 

la lanli — Ho U ba rai KlUor (6) pan la aalat 

Ou h'h îamait vu rien Je stmilaUe — liai a1u Tiat 



// M m'a rien ^orli — %t'm m paitar m 
349. — Rien à luivi d'un infinitif *e traduit par raa qia. 
Ex. : Le pareiteiix n'a jamah rien à faire — Bl fmata no 
M mai raa qne far (é) 
fe n'ai rien à dire à cela — Ho Uao raa fu dlr an 
ftiK6 

quKlwvol 

3J0. — qualaoTol, invariable, empioyi leul en parlant de* ' 
personnes dans un sens gënfral (comme algi et ai>gi), 
signifie tUmporU qui, tant le monde. cbeiatH, 

Ex. ; Aizà, qnalaaTol ho aab — Cela, ebaeun le sait 

351, — qualMTOl, pluriel qnalwrola, s'emploie aussi en - 
parlant du perionnes et des choses dans un sens restreint 
(comme algAa et cap). Employé avec un substantif, il- 
sigoifie quelconque, quelecnquei, 
• Ex. ; un honta fnalaard — un homme qnekoitqu» 

nna lUbraa qnalaarala — dei Hvret quelconque! 

qnalaaral peut te placer immédiatement avant un nom; 
dans ce cas, on n'exprime pas l'article va, ■u. 

Ex. : qnalaaral ooaa — une chose quelconque, 

3J1. — qnalaarol <pM signifie fuJRWfua. 



. Go.c^cii 



tl« 



noKote ET AOjEcnn motmiuKts 



Ex, : QuiMTid fu bo bgi dit <■ u oaliaBiaiu' (ô) — 

Qnieonqae ta iU al un calomtiialtur 
tint quiconque peut mut te traduire p«r ilgvi qui ilsii. 
Es. : St|«i qnl dgMl qu he lugl dit <■ tm cilunUador (6). 
ajj. — qtulwTol q« ilgii, fwdH*vto qia liiBia sigoi- 
fient fuW fiw mn7, qiuîk que «ni, qutls que leiail, qmVtS 
fiWHWHf ou qiiti qu'il soil, quelle qu'elle Ml, qutlt qu'ihttieiil, 
qudles qu'elUt tntnl. 
Et. ; fulMTol qu ilgnl •! an (£) ratrit — f ri«/ jiu tml 
am mlrilt 
qulwTole ^u dgain 1m mtm (£) preUnolau (A) 
— quelles que soient ses prilenlions 
Mais f itf/ 4«« soit ou f nrl jn'iJ mm/, quelle jue soit on f »;//« 
qu'tlU mm'/, etc.. peuvcDt auisi te traduire par iliBi') qM 
■igil ou aignll qva'i nlgvi, ilflBi la qM etg*! ou tigii l« 
qw'B Tvlgmi, ligsia ali qu algsla ou dgnla sla qqa'a nlgaln, ' 
■%i1b 1m qu ilgnla ou ligaia Im qu'a nlgnia '. 

El. : algal al qaa aigni, ou : aigai ri qu'a valgnl al hu 
(^} vèrit — qutl que soil son mérile 
■igain Im ^m ilgniii, ou : ilgnia in qu'a Tilgnla 
Im aavM (i) protaneiona (6) — quelles que soie»! 
ses prilentions. 



Il qu Im (A), on : toa (A) al qu bw (6), Im (ô) la 
qm Im (6), «a r Im (6) «I qu'a Toignfa, Im (ô) la q ' 



(A), m: iMalB (A) ala 
■ .^A), ce : loaalB (A) 



H8 qu naaii 
^u toaaia (A), laaalB (A) Im fu 
ala qu'a vàïnaaaU (i), leaala (A) . 
fwdfiJH, pMtfat fli, fwlr f m /aimli f Mlln fui faanl, «a fwt'f' 
/U,«K... 

M «lui ià MiM poot k lablMictir publl (|mI fiWl VU) tt le Mbiou 
pta».fH-pirCiii (f m/ f"'*" M). 



n,„i,,-i>, Google 



PSOKOMt n ADJECTIFS tHDÊimUNÉS 117 

On pourrait aaui modifier la phrmae ta employant mvir 
au lien de iirt et te tervir dea mtmei expreuioni que pour 
la traduction de qutiqut... que tuiri d'un lubatantif ($ afS). 

■tgnl ^ «igil corrcapond >uui i qui qut u uil. 
'Ex, : ■o'« Uard 4i alngû aigvl f«l «Ifai — fentmtftraî 
à qui qiit et soit 
Ho parlaié d'aixft a Miagi aigii fsi iliil — Jt tftm 
parlerai i qui giuatei! 
3S4. — qulMTSl altn, vulatrçl altn lignifient tout 
autrt, ttult tiulr*, employés dans un ccrtaiu teni (voir % 374)- 

quttqtu 

155. — qutiquts K traduit, ainii qu'on l'a di|l tu (5 a^o) 
par atgona, alguiM. On peut «nui le traduire par m. Mat, 
ou par nsa foantf, um qiantM. • 
Ex. : // y avait quelques uavira dans It port — H) kiTfa 
algniiM (ou: Hua, on: uoa fMBtet) um n 
«Ipoit 
1^6' — Ui qiulquti lignifiant le peu de t traduit par di 
' poea, iMpoquM. 

Ex. : Jù quelques jours que noiu passiines avec lui — 'éU 
pMi dfea qno na puaar anb tll {i) 
les quelques r^Uxieut qut je lui fit— iMto^oMmi»- 
sioBi (A) vu 11 Talg far (é) 
. 1J7. — quelque précMant un nom de nombre et aignifiant 
emnrc». à peu près, peut ae traduire par «u, um. 
Ex. : il y a quelque six mois — la vas aia «aaoa (i) 

il y a quelque Irais teuls maismit — U ha uam tna 
eaataa (é) ••••• 
Si quelques tull on nom de nombre, on le traduit par 



. G("^(HîJ( 



Ex. I J'ai emapté quariuttt et quelqua mmieHS — Taif 



quelque... que 

aj S. ^ quelque, quelques, précédant un lubsUntif qui in- 
dique une idée de qualité ou de choii luivi de que, k ira- 
duÏMiiide la iDCnie manière que fw/jiwm/ (S 153). 
Ex; : quelque rés^ulim qu'il adepte (^quelle que toil la risohi- 
lioH qu'il adepte) — fultcnl fM llgii la retolaelA 
qne tdopU (A), au : ligvi U fM aigvi I> ruoIueU 
fm adopU (6), ou : dgnl la qna'a Tvlgnl la mo- 
lw>M qm ûi»pU (ô) 
)}9. — quelque, quelques, précédant un «ubtlaatif qui in- 
dique urne idée de quantité on de nombre luivi de que, k 
traiduiaent patfrméa... que, toit par p«rMelt(ô)... que, par 
Mtttâ (à)... que, per molu (A)... fu, per molUi (A)... quo. 
Es. ; quelque argeni que lu aies — per nia dfnara (é) que 
tiaguli, ou : pw noIU (6) disert (é) ^^t UngnU 
quelque mfiuence que nous ayous — per méa Inanenoia 
que Unguau, ou ; par aaelU (A) inQuaneia que . 
Uagnam 
quelqua eforis qi^il fasse — par aaéa aalarçoa qtte^ 
Ud, ou : pe>' nolU (A) aalorçM qna lael 
260. — Mais quand le lubitintif peut rentrer auHi bien 
dant l'une qne dan* l'autre de ces deux catégories, on emploie 
Indifléiemment l'une des cinq traductions. 
El. : quelque méril» que lu aies — qaalaavol q« alfui '1 - 
Un (é) Bèrit, pu : algull qaa dflvil Un (é) 
■Mt, on : Btmdl qu'a vnlgnil tan (é) mktii. 
ou : fr met mèrit qna Ungstor ou : par Malt (A) 
aaMtqwtlagnta 



:,Got)i^)e 



noNous KT ÂDjtcnn ihdétiuiuiCs 119 

s£t. — qmlqui, précédant an adjectif, un participe on nn 
ad verbe (uivit de 41M, «e traduit loit par far, loit par p«r Méii 
•oit par par Bolt (6). Dam cci divcr* caa, f mlftw est adverbe 
. Cl é4]uîvaut i fi, 
• Ex. i qutlqut génirtux qa'il teU (si giaértux qu'il toil) — - 
par flHurtfa q« iigil, ou : par «fa |«Mria fu - 
aifii, ou ; par awlt (A) gaurde fu Big«l 
quelqut eéUbriaqu'elUtioietil (si céUhrits qu'àltt smtnl) 
— par calebradaa, ou : par méa ealabraiaa, ou : 
par Bolt (ô) oalakradaa qù algalm 
qutlqut Mil qutusoil (si Imnqut et seil") — parlluar. ~ 
ou : par mil llnaf, ou ; par aiolt(6) Dur qaa algal 
atii. — qutlqut, qiulqaa, précédant ud tulistaiitif et un ad- 
jectif, ou un adjectif et un inbitaiiiîf suivis de qut, le tradui- 
sent par par... que algai, par... qu aigsta et l'article défini. 
Ex. : qutlqut l^ilimtsi^irêttcts qu'il ait confuts-^^tt M»- 
SfUaaa 9M aigiU IM aqaraïuaa qoa hagi MBcakal 
On traduit comme a'il y avait ; qutlqutj Uplimis quismtnt 
ia ttpérantts qu'il ail tetifuts. 

ati}. — Qtttà qui, quoi qut a scH qut, qutlqut cbost qut K 
traduisent par par Mfa qoa. 
Ex. : Quoi qut voiu fasiiti, il stra vainqueur — par mi» 
fua T. taol, aari Taaeader (A) 
Quoi qut a soU qu'il fasu, ou : Quilqut tboft qu'il 
fasu, /« /( àirià — Par aéa qna lad, ha dlrtf 

■lire 

3£4. — l'âllre, Vaulrt; l'albra, V»uln — da allraa, I» 
aulra; laa altrat, bi aulrts„ 
BU altra, un autrt; ■■■ altrai uiu aiitrt — altraa, ffautrts. 
£k. .: u altra lUbr* — m eulrt Ihn. • 



, GCK^gJ 



ISO moNOio tr ADjecnFS iHDËniMixfis 

■Bl iitn ngida — uiu eulrefm 

altm pabw — Gaufres payi 

CrUa un altra astga (é) — jifiptUe iia autrt mUtem 

Ho Uni (i) m altra tintar (é)T — îTas-lu pas un 

aulre encrier} 
l'un oantata, l'altra eridara — L'un chaulail, Faulre 

criait 
EU nna adn da lairo, ali altraa dt luit — Iji uns 
jchI m fer, la anlret en boii 
36{. — 7au/ «ùf» ac traduit par qnalaanri altn, qnalMTol 
aHra, ou fwr tM (6) altra, tou (A) altra (5 374). 

tM. — Expreuiont diversci : 
Ftttt à Taiîln na i altra, ou : l'an i l'altra 

Tune it ttiutre ana i altra, ou : l'ona i l'altra 

les uns el les autres au 1 altraa, ou : ala mu i «li altraa 
Us unes tt les autres nnaa I altraa, on : lai nnia i laa altraa 
m' f lin Rt Fttulrt ' ni nn ni altra, ou : ni l'un ni l'altra 
n! tutti ni Fautre ni nna ni altra, ou : nt l'ona ni l'altra 

HÎ tes uns ni tes aittrts ni nni ni altraa, ou,: nlla ana ntli 
[altraa 
ni Us unes ni tes autres ni nnai ni altrai, ou : ni lia nui ni 
[lai altraa 
Twii du Fûttlre na a altra, ou : l'an a l'altra 

Futte ou Feutre nna e altra, ou : l'nna a l'altn 

Us sitts on Us autres ana titrai, ou : ala nna a 'la altraa 
Us unes au tes autres nnai a altraa, ou : laa uai a laa titrai 
Tua Fai^rt l'an a l'tltr* 

Fbnt Fantrt l'ut a l'altra 

les MHS les Mires ala nni ala alUai 

les nues la antres loa nnaa a M altraa 

a<7, — Les autra, dan* le mm de U rate, te traduit loit 
par «la df<i, laa daaii, ■oit par «la tltna, lai altraa. 



PtONOMl ET ADJICnn IXDtmilINtl tai 

Es, : CihI teliatt et et régiment stnl à TMnagtni; Its mulrtt 
(c'cit-iiiirc le rote) uni à Barahiie — Gnt (é) 
MUata d'aqoMt ragbant (é) lim ■ TkiTaB*u (A). 
tU iami» (on: «Il «IUm) wtm « UnOta» (6) 
- lo ëMi<t l'emptoic dam le lent neutre de U ndt. 



268, — tmlmi M traduit par altri. 

Ex. : Ne fait pas et mal i autrui -— Ho taaia wd a alUi 
Ni vous milti fias Jts agairtt £aulr»i — Ifa'l fifil 

<m •■■ Bagodi d'altrl 
Itpain t autrui — ol pa d'altri 
travailhr pour ouïrai — tratallar pwa altri 



269, — le même, la mémt, U$ mimes le traduiseor par 
•I matalz (é), la Mtaixa (é), da BaUlua (é), lia aa- 
tataaa (é). 
Ex. : Cesl It même — Ba tf natals (i) 

Ce sont les mimts ~ Sdn ato nataina (é) 
370. — lo natalz (£) employé dans un mbi ncutret tignilîe 
la mime chou et autant ou totU autant. 
Ex. : Ul»au.Mx(é)— Cesl ht mime eboie 

la autais (é) 11 aucalrl a V. — // veut tu arrivera ■ 
autant, ou totit autanl 
Autant, oa tout autant, peut aniri se traduiie per altr* 
taat. 
Ex. : Naui vaut en iireas autant — JJlra taat U 4i- 
ran a T. 



noKOMS rr utjtcnn iMDEnEuuKts 



171. — tM (6), UU (6), Urta (6), toUi (A) si^ifienl 
Imt, iMft, tous, louUi. 

Ex. : W (6) d SM (£) i» joMr (i) — leul le niais de janvUr 
UU (à) la Bua — toult la tmaisott 
toU (ô) aqmaiU Mtranftn (é) — ieus cet ilratigtrt 
UUs (6) In mwUm pwanlM — loulet nos farolts 
Ut (6) boBM Muat — hut bommt imié 
UU (Â) panona (à) — fouit persoime 
S73. — ItHl, proaom neutre indétenniné opp<»é i riai 
(ni) M tradoit par Ut (6) ^uand il ctt sujet ou complément 
inilirect; mai) <)uaad il est complément direct, il (c traduit 
par ho... Ut (6). 
Ex. : Tout a iU inulile —■ T«t (6) ha «aUt laAtU 

n préittti parUr de loul — FraUn parlar de Ut (6) 

/«' /owf vu — Ha ho Tiat tôt (6) 

// pouvait loul Mltndre — Pedia aaaUr-te (r) 

37). — tout h monde se tndoil par tatboia' (proo. lou< 

Ex. : Tout le monde uît ttia — Tothom aap alzâ 

fmif autre 

374. — tout autre, toute attire, employés dans le sens de 
n'imferlt juel autre, n'imparti quelle autre (c'est-à-dire lorsque 
ioHl Ctt adjectif et modifie le lubsuntif apke «primé ou 
ious.«aiendn), M traduisent soit par tnalaarol altra, qoalaa- 
m altra, soit par tôt (ô) Utra, toU (A) alln. ■ 

Ex. t De tout êulT* bmme je ne tolérerais pas eela — Do 



ET ADJECnn IMDftnUUHtS la) 

«mIm»! alUa koai (on ; Da tôt (6) alln hona) 
M toltnurft •1x6 

Celle libirlé » ut bonus commt taule autre liberté — 
AqiMU UlbarUt Uli MM (é) UulU eott qulMTol 
allni lUtarUt (ou : cob toU (ô) altn lUtorUt) 
175. -^ tout nuire, cmployi dant le sens de Hffireul, Àiffi 
rente (c'esM-dire lorsque tout ttt adverbe et modifie autre), 
se Induit soit pir Mrit (6) dUamt (é), loii par une atpres> 
sion équivalente. 
Ex. : Ceil une tout autre affaire — Es nna ooaa aelt (4y) 
difanat (é) 
Je vous demande foui autre ebose — U diBino nu 
OOH sait (d) dUermt (é), on : «it«n«Mt(«itiic* 
li-teu-mtat) dUanat (é) 



176. — cada, invariable, signifie chaque et t'emploie dans 
le» mêmes cas que ebaque en français. ' 

377. — eada ■, ou : wdascA, iovariabk, signifie eharun, 
et ne s'emploie que pour les personnes, dans un sens indé- 
terminé. 

El. : Tan donar on pn a eada ■, ou : a eadaset — On don 
na un pain à tbacun 
' uda nn, eada nna signifient chacun, ebacuue et s'emploient 
pour les personne* et les choses. 

plusieurs 

378. — pluàeurs se traduit par Atranoa, dinriH ou par 
dUereau (é), quelquefois aussi par HotU (A), BtltM (A), 
ou par basluti, k 



raONOMS ET ADJECnFS IMDlrmMINÉS 

:. : mpluneurs àrtmtsiaiuts — n itnnm, on : « 41f»- 



/"m plttsUurt mMifi pour agir aimi — Tiao di 

OD : 41IwmU (é) hMIbi ptni ^nr Bisf 
ptutitun pert&tma — soltM (A) psnoBM (ô), ou : 
•(*)■ 



179. •— iw Iti, mu Mit te traduitent «n UI, «1 il'ataft, 
rt Sr. tal, la tal, la faixi, la Sra. tal. 

UH là et un Ut, ma telle et uut telle m traduiieat «n Ul 1 
ta'vul, M 4'alzft 1 m d'allfe, la tal I la «nal, U d'aizft i la 
d'al». 

180. — rirn ie lel m inidait par tal ooia ou par m d'alzt, 
et l'on plice la négation avant le verbe. 

Ex. : Je n'ai vu rien de lel — K* ka Tirt tal «wa, ou ; Ra 
ka vlrt raa d'aixb 

18t. — tal peut précéder immédiatement an inbsUuiif 
peur traduire tel on un lel. 

Sx. : tal aaaa»pU — Ulle eiffain, une telle affaire 

3S2. — (M toll signifie Qu'en pentei-wusf Que iUis-wms 
àteswjel? 

El. : OhI taltfa al vit — Le vin est^l bon ou mouvait f 

Qaè tflll CM tré> fréquemment employé dam le teai de 
CMMMni vous porte\-vouif 

■ i8j. — Tel qui lignifiant Celui qui te traduit par Qal ou 
par n 4u. 

Es. t Tel qui rit vendredi dimanche pleurera — Qtl ou U 

■ (<) 



ibuUnt, buUnU — butanta, bMlutM 



nouons rr Acjccnn iKoentiiiKis iij 

184. — Ceruint adverbei fnnçaii (de «juintité) >Divii de 
Il prepoiition di »at (raduitt par de« ad)ectifi aUlaot qui 
.('accordent avec le tubitaatif auquel ils *e rapportcni. Le dt 
français ne se traduit pas. Ce sont : 

»,.,„,,f t. {-j;^w.-j«|P)— ■"(*).-»-(») 

/xti de poe, poca — posa, p«qBaB 

Irof de 

itss/i d» 

eombitH de, vunt, ^uani 

aulml de, Uml dt taat, tanta — tanu, taslea 

El. : Nom aroiii beaucoup d'ami! tt peu iemitmil — TailM 
melta (ô) auloa i pooa «uàdea 
Combien de jours y a-l-il dans une umatue? — QnaBU 

dlea U uaa lataaul 
Il y avait tant de ptrtomiei que jt suis torti — Bika^ 
taatas panonaa (à) qna valg sortir 

185, — Les nuKulins pluriels de quatre des adjectift pré- 
cédemment cités peuvent être employé* pour désigner une 
réunion de personnes. Ce sont : 

■Bolta (6) — bien dts gens, plusieurs ptrtMtitt 
foet -^ peu de gens, peu dt personnel. 
qnanU — tembieu y eu a-l-il qui 
taits — tant de gens, lanl dt personnes 



i8é. — Outre les acceptions indiquées dans les deni pa- 
ragraphes précédents, l'adjectif tut s'emploie aussi après un 
nom de nombre auquel il est joint par la conjonction I dan* 
le sens du français quelques on laal. 



tl< raONOMS n- ADJECTIFS IXDCmMIMtl 

El. : da^MBtt i Unta njt — cinqumU et ^utl^iwi auiiùi 
ou ciiiqiumU tl tant tTantiùi 
4m «mU (é) nlUBU 1 UnU tnuwi — deux ttiit 
quatre-vingt et quelqua fruna 
aS?. — Bltn tant l'eniploîc fonvent pour esprîmcT ane 
qiUDtili égale 1 une «juantiti précédemmeai îadîqafe, loit 
au MiK propre, toit in mi» figuré. 
Ex. : nlg Utra *» IM (é) aak alM Uat t'aixsrep — 
un iemi-Utre âe lait ava mitant de tinp 
9im «IUm Uata ■•tliu — Ce mit aiilatil de motifs 
Sfa altiM taDtM raou (à) — Ce mil Mutmil de 



On 

388. — Le pronom françaii e» ■ pour équivalent catalan 
«I kow, mail cet équivalent ett peu employé; la iiaductiun 
de M exige preique toujours une modification de la con- 
Mfiictioa de la phrase. 

t* On peut faire do verbe français un v^rbe pronominal; 
le compléineni direct français devient le sujet de la phrase 
catalane. — Sekm que le complément direct français est 
an aingnller on an plurid, le verbe catalan se maintient i 
la )• personne du singulier ou se met i la )■ personne du 
pluriel. 

Ex. : On parle ealahm (Mot i mol : Le catalan se parle) — 
Sapaila eataU 
Oh liste beaucoup de soie dans eetlecmitrie (Mot i mot: 
Beaucoup de soie se tisse dans cette contrée) — 
U Ubabt Mita (A) seda an «qnaaU ngid 
On twK heMutoup de mendituiU dans aile ville (Mot i 
moli Beaucoup de mendianù se voient dans cette 



noKom n Mjtcnn iHotmiuKis 137 



ville) — B« THW HolU (à) m 
daut 
Oii croil faciUmmt et qiu Von iàin (Mot i mot : Ce 
^ul M désire le croît facilement) — le cm bti)- 
■nt (é) lo ««•'■ ledtja 

Rehaique. La mfiroc manière de traduire peut 
£lre employée quand le verbe françaii e$t (iiivi d'une 
phrase incidente commençant par qu*. 
Ex, : Oa dit qiu Paul ut nutladt — Be dia qaa es Pas 
•itinclalt 
On voit hien qui vous ilts rkbt — )■'• Tes qa» 
ToaU <• ilo 
a* Au lien de faire du verbe fnnçait on verbe prono- 
minal, on peut en bire un verbe paiiif; ci de même qne 
précédemment (i"), le complément direct françait devient 
le lujet de la phraïc catabne. 

Es. ; On fit une pnpetilimt (Mot i mot; Une proposition 
fut faite) ~ Ta MT (é) faU (é) aaa propoaioU 
Ou eenvoqita les Chamhres (Mot i mot: Let Chambre* 
fnrent convoquées) — Farta (é) «•avactdee laa 
CarU(A) 
On dml respecter Ut laisQiol i mot: Le* loii doivent 
éiré respectées) — Lm UoU (é) haa la wm (é) iw 



}•> Toutes les foi* que le pronom français m a un seni 
absolument général, il peut être traduit par une des «• . 
pressions suivantes: 

aa hona, un hemmt — llMwe, fbemmt — da ho- 

mii. Us hemma 
aaa panaaa (A), «m personnt — faalianl p«r> 

tamt (à), tine ptrstnm qutkttHqut 



. Go(HjJ. 



laS noHDMs ET ADjBcnre 

« MkMi, /ouf U mniét 

U iml (i). Us gtnis, U monit 

t»t» «, eadueft, cbvtun 

fulMTsI, n'imporl* ^ui 

«■1, f VI, etlui qui — •! 9M, ttlai qui (sunout ti m 
est précédé de quaiti) 

tl|A, quelqu'un (lurtout (i o» c>t précéda de si) 

miagi, persenut (dam let phrases négatK'ei) 

La phrase catalane ne doit naturel lemcnt pii être la tra- 

dnction mot i mot de la phrase francise, tnais te modifier 

■nivant <]ue l'on emploie l'une ou l'autre de ces expressions. . 

Es. t On n« peut unnr dtux maîtres à U fois — Un no pet 

■arrlT a Aoa (ô) anoa al aatalx (é) tampa (é) 

On treil fadlemttit ce que Ton distrt (Mot à mot : Un 
homme, ou : L'homme croit facilement ce qu'il - 
désire, ou : Les hommes croient facilement ce 
qu'ils délirent) — Dd taoRW, ou : L'hama oraa lacil- 
■nit (é) lo qoa dtdtja, ou : Ela homaa eranealt- 
dînant (é) lo q» Awitgen 

// Ta dit et Tm im soumeni (Mot à mot : U l'a dit ei 
tout te monde s'en souvient) — Ho ha dit i tot- 
hOB la'B raconU 

Oh ne peut ïempicber ii U remarquer (Mot i mot : Le 
monde ne peut s'empêcher de le remarquer) — 
La g«Bt (é) M pot dalxar da >atar-ho (r) 

Q/taui oHadu trédil, on tCa pas besoin fargetil (Mot 
i mot: Q^i, ou : Celui qui a du crédit n'a pas 
besoin d'a^nt) — Qnl, ou : Il fu té srèdlt do 
■•oanlU dlMta (é) 

Si ton me disait que Jean est iei, je m U croirait pas 
, . (Mol à mot: Si qnclqtk'un me disait...) — U 

■ al|A'n Ma fna «■ )o«a *a «vof, Ml craorU 



-r!,r,i,;Tri>, Google 



noiKHo rr Asjwnra DnArmnirts tay 

Ott m'a dit... (Mot à mot: Qnelqa'an m*« dit...) — 

ilgti ■*&■ 4it... 
Oh ntptut tin bturtux mw h travail (Mot à mot: 

Peraonnc ne peut ttrc henreiu uns le mnil) — 

Mia|« pot MT («} Mie IMM («) 1 U^fctn 
4* Qpand le pronom français m n'a pa* un «eni absolu^ 
meoi ginéral, maii désigne seulement une certaine caté- 
gorie de personnes, il peut être rendu en lAettant le verbe 
i la }* personne du pluriel et en n'exprimant aucnn injet. 
(On sons^ntend comme injet le pronom Us.) 
El. t Data a tivrt oti^ qu$ Us ttrfs mvtnl Iris iM^emft 

(Mot t mot : Dan* ce livre, ils disent qne...) — 

Sa afiMit llllira dlnaa quali came (é) viHf 

w>lt (6) tMva (<) 
On tut* berna pat à uia; m fit plus: mi FatUa (Mot k 

mot: lit ne se bornèrent pas i cela; ils firent plus: 

11* l'cxilirent) .— Xo'a liaiUrwii tm aitft; bran (é) 

aéêi aléMURaran 
j* Quand la personne qui parle fait partie de cellea <U> 
signées par le pronom français m, ce pronom peut être . 
rendu en mettant le verbe i la i* personne du pluriel et en 
n'exprimant aucun sujet. (On soos^niend comme .sujM le 
pronom imiu.) 
Ex. : Oa a iijà raeetUi fui ptriUt la baille Qiot à mot : 

Nous ayons diji raconté.») :7-Ja,TUi,eMiUrtRl 

v^ parin 1> hMalta 



CHAPITRE IX 
LES TEMPS DES VERBES 



I. FORMATION 

S89. — Le* temps limplet dci vcrbei riguHtn cauhnt le' 
forment en ajoutant au radical du verbe Ici désinencct indi- 
quées plui loin (§ )>})■ 

190. — Le* temps composés des Tcrbes catalans actifs,. 
neutres et pronominf ux, ré|;uliers et irréguliers, se forment 
en ajoutant aui tempi simples du verbe kavar, avoir, le par- 
ticipe passé du verbe que l'on conjugue. Ce participe passé est 
généralement invariable (pour l'accord, voir chapitre XVI). 
L'indicatif prétérit composé »e forme en faitant précéder 
l'infinitif présent du verbe que l'on conjugue de certaines 
personnes du verbe anar, alUr (^ 294). 

Les temps composés d^ verbes catalans passifs, réguliers 
et irr^lien, se forment en ajoutant aux temps simples du 
verbe tar (é), tire, le participe passé du verbe que l'on con- 
JDgue. Ce [ûrticipe passé s'accorde en genre et en nombre 
tvec le iDjet. 

IL SIGNinCATION ET EMPLOI 

iyt. — Les temps catalans équivalent aux temps français 
corrcapondanti. Il y a cependant nn ceruin nombre de cas 






un min on. mm 



où Ici tempt do verbes ^taUni ne Mot pu let iquivalentt 
auca de* lempi coireipondann dei vcrbei fnnçaù. 



393, — PAin^n pKtsDfT. — Le participe préMM traduit 
le plus souvent le participe présent français piicidé on non 
de*». 



19}. — Indicatif ptfritiUT. — Ce temps catalan ne s'em- 
ploie jamais dans h convenation ; dans le style élcTi il 
s'emploie quand l'action qu'il «prime a eu lieu à une époque 
indiquée et entièrement écoulée an moment où l'on parle. 
. En. t La Mintmls eiilrirtnt dam la agitai* à bifin itjuUUl. 
— Ela enemlei eutnifa •■ la capital a la H te 

jnllol 
394. — Indicatif prët£rit composa. — Ce temps se t«g- 
me en faisant précéder l'infinitif présent dn verbeqne l'on 
conjugue soit de valg, tu, t«. Tan, Tan, Tan, soit de Tareig, 
Tares, Ta, Taran, Taran, Tares (du verbe aaarr alltr). On 
emploie ce temps quand l'action qu'il exprime a eu lien à 
une époque indiquée et entièrement écoulée au moment où 
l'on parle. 
Ex. : Hier j'ai éijeuni avec mm pirt —^ lUr Talf aanorar 

ank al aan (ë) par* (Mot 1 mot ; Hier je. Jéjen- 

nai avec mon père) 
' llyaitux ma, j'aiiijeuni fva mm pirtU/mrdt 

Noit — h dos (6) anya, Talg «ewonar uA al 

maa (é) parel dla da Hadal (Mot i inot : I) y a 

deux ans, je déjeunai.,.^ 
■ ' 395. —1 iKDiCATir FARFAir. — Ce temps catalan _doIl être ' 
employé r . .-.,.,', 



iji LES riurs uâ Véaiiâ 

1* quand l'àttiao qu'il «xprinie a en lieu i une époque 
qui n'ot pai iniliquée. 
Es. : J'ai beaucoup voyagé — 8a Tla^at mAK (6) 

s* quand l'action qu'il expriine a eu lieu à une époque 
qui n'nt pat encore entUrement écoulée an roomeut oii 
l'on parle. 

Es, : Aujouribui j'ai d^iuni avte mon père — Anl h» 
aanonat amb tl nus (é) par* 
Cdlt umaiiie j'ai vendu ma maùoH — IqwaU aat- 

■ina hi TMint la aara (é) oau 
CttU anni* j'ai vu Henri — Aquat àny h* Tiat 
l'Bnrlé 
}■ quand on veut indiquer que l'action a été répétée 
ou qu'elle a'eit prolongée jusqu'au moment où l'on parle. 
Ex. : J'ai i^euni avec mm pire presque tous Us jourt de celle . 
temaine — Ha aaaamtaHk d■•n(é)f■r•gal^*- 
M toU eb dtet d'aqMiU aatnuu 
Cttlt année j'ai vu mou frire une/m par semaine' — 
Iquaat anj ha vlat al mau (é) gan^ una TagtU 

396. — Indicatif rirrua. — Ce temps catalan correspond 

A l'indicatif futur franfaii; il remplace anui quelqucfoit 

l'indicatif prêtent quand la phraie eat inlerrogative et esprl* 

me rétoonemeni on la curiotitë. 

Ex. i Qil aari aquaat boBuT — Quel al tel homme? Quel 

peut hienUrecet homme f 

QuiMdrtT — Queveul'ilf Qùeptul4l hitn vouloir? 



197, -^ L'Impératif ne comprend en réalité qii'nne (éiile 
penoiuw t la deinlénw. Lca diver* tableaux du prèMtft 



n,„i,,-i>, Google 



^M rmt DES vous fj) 

^tttoÈ Di cuuuRB indiquent donc simplemoU ]$ V per- 
- sonac do tingulier et U a* pcnonnc du pluriel de ce temps. 
Mail 'i\ est useï fréquent en français de voir la )■ personne 
du singulier. U i" et la y du pluriel du subjonctif prisent 
employées dans un sens im|>ératif. Ei. : Qft'il r^trdt — Se- 
garioHt — Qu'iU ngirâtitl. II en est de mCme en catalan. 
J&. : Dm nlri — IHran — Qh nliin. — Le que qui 
précède U }■ personne da singulier et U )• personne du 
pluriel se supprime quand et» deux personnes sont emplo- 
yées par politesse (avec T«^* sous-entoidn). Ex. : (à nne 
personne) Virl, JUgardt^ — (à plusieurs personnes) Mbtai 

398, — L'impératif caUlan ne peut jamai» être employé 
négativement : l'impératif français négatif doit se traduire par 
le s^bjonctif présent catalan ; mais qut ne s'exprime {smais. 
Ne crains rUn se traduira S* craints rien : Ho .^>>^ (i) 



SUIJOKCTIF 

799. — SuBjOHcrtF PRÉSENT, — Le aubjonctif présent ca- 
t«Un correspond au subjonctif présent fran^is; il sert en 
outre : 

;i* i traduire l'impératif qégatif ($ 298) 
^' à traduire l'indicatif futur français précédé de quand, 
.dans .une phrase non interrogatire. 
Dans une ptirase non interrogative l'indicatif futur fran- 
9iis précédé de qumid se traduit soit par .l'indicatif futur 
.catalan) soit par le subjonctif présent caôlan. 
,Ex. I Nous aehiotrom a travail demain quand tu vitndras — 
i^oatarwaqwattnball.dMsl qnan vlngali (Mot à 
root I quand tu viennes) on /qnan viadiia 



1)4 1^ TBtn SES TBues 

- Ji ferai etla plus Inrd, quand jt serai à Paris — Fai^ 
aixb Bel tari, qvan dgnl a Parft (Mot i moi t 
quand je toit i Paris) ou : qnan taré a Paria. 
300. — StJBjONcnF iMMaFAiT, — Ce temps catalan corres- 
pond au lubjonctif imparfait françaii. I! sert en outre i tra- 
duire l'indicatif imparfait français précédé de n et indiquant 
nnc action conditionnelle 00 un désir; maison peut autiiie 
lervir de l'indicatif imparfait catalan. 

' Ex> : Si j'avais de Targent, j'achèterais ont maison — Si Ub- 
goéa (ou : 81 tanla) diaara (é), confraifa uu eaia 
. /( mangerais du pain si je U pouvais — Haalaria pa 
ai poguéa (ou : ai podia) 
Ah 1 si j'avais de f argent} — Ihl al Ungnfa (ou : il 
tanla) diBara(é)l 
■ )oi. — Subjonctif pARFArr. — Le subjonctif partit cata- 
lan correspond au subjonctif parfait français; il sert en outre 
à traduire quelquefoit l'indicatif futur antérieur français pré- 
cédé de qttani dani une phrase non interrogative. 

Dans tine phrase non interrogative l'indicatif futur anté- 
rieur français précédé de quand te traduit toit par l'indicatif 
futur antérieur catalan toit par le subjonctif parfait catalan, 
■ Ex. ! Quand j'aurai achevé ce travail, nous irons nous prâ- 
mener — Quas hagi acabat aqnaat traball ou : QoÊn 
luMii acabat aqnaat treball, anlren a paasejar 
Quand j'aurai fait It tour du monde, nous reparleront 
décela — Qnan hagi lat la toIU al nlSn ou : Qnan 
kavi M la TOlta al min, tomartm a patlar d'alzb 
}02. ^ SoijOHCTiF PLUa-QUE-PAaFAiT. — Ce temps cata- 
lan correspond au subjonctif plus-que-parfait français. Il 
•ert en outre à traduire l'indicatif plus-qne-parfill français 
précédé de W et indiquant une action conditionnelle on un 



El. : Si fmaii tu i* l'argml, j'aurni êcMi un* mmtm — 
U hagnét Uioat Itatn (i), luu 



JUurMÙ mangi du pain àjt l'mmipu — Hiaiia ara- 
lât pa il lugmtfi MRt 

Ah I si j'avais tu dt l'argiHtt — kkl titmgubVaaIt 



CHAPITRE X 

AVOIR El ÊTRE 



1. AFom 

}0}. — Av«ir, Terbc luxilliire, u traduit par htTar 
(..►bé). 

Le verbe hirer ten d'auxiliaire 1 tout le* vcrbei catalans 
(actib, neulrei, pronominaux, etc...) régulicn ou iirigu- 
lieri, tanf aux veA>ei paulft dont l'auxiliaire etl, comme oo 
r« ™ (S ajo), ur (<). 

Le verbe baver a deux condiiîonnelt présents: lunifa et_. 
bafwn (i), mais le second ne peut s'employer que suivi 
■d'un participe passé; il forme alors tu second conditionnel - 
antérieur. 

Le participe pnsi d'un verbe «juelconqae, précédé de 
ktvw. ne s'accorde que dans les cas indiqué* au chapitre 
XVI avec le complément. Le plus souvent il est invariable. 

Ex. : lea etrU* «u bt Merit — Us Idtra qtu j'ù éerila. 

Les temps composés du verbe havar ne sont employés 
que dam la conjupison de bator fa. 

J04. ^ Avoir, verbe actif signifiant pesséJer, se traduit 
tonjonrs par tratr. 

Ex. : J'ai une maisM — TUc sna easa 
' )0j. — Baver de, tenir qu (ou tenir do) suivi* d'un infi- 
nitif, forment une sorte de conjugaison indiquant nécessité, 



ÀFcan sr ÈTXE 



IÏ7 



obilgilioii, pntjeti M corrcipoDdiiii wit iux verbe* IniiçtU 

.noir à oa itooir luivii d'an infinitif, «oit encore au vnbe 

frailçili /)/{«> ou i <]uclquei lutrci. 

Ex. 1 la <• Mrtlr, ou t Tbu fu Mttlr — J'tà i teriir, 

Jt dnt teriir, ïlfaul qm js tortt. Il nuftvt urtir 

■• do RUmr ■ IM qutn, ou i Tbu %u mêxtàx ■ 

Ut fBâtra — // fml qui jt parlt i 4 biura 
XtTla i» pulw, ou : Tealt fu perlar — /«wt à 

parltr, Jt itvaù pttrUr, Il mt/altdU parler 
Bflvla d'abaBiuur-toT — FtlUil-il l'aimimnurf 
Kau< d'Mertn», ou TliM d'Morinrt — J'turm à 
icrirt, Jt dtorai éerirt. Il fouir» fiu féaivt. Il mt ■ 
faudra ierirt 
Ttm haT«r i« nodmr t la lorga — Ntut dùma 

avoir rtcmrt à la fora 
Ba ia ploore aqoaaU ait — Il va pbiamr etilt nuit 
lu «a aar (é) laa tbU — /J AiiJ iirt S bturu. Il 
ptuî itre 8 bturti 
)oé. — Quand l'infinitif est accompagné d'un complément 
direct qui, en français, »e place tantit aprét l'infifflitif, tanlAt 
après le verl» avoir, en catalan, ce complément occupe b 
même place' qu'en français quand on emploie tailr qia; 
mais il ne peut iamaïs être placé entre havnr et da^ 
Ex. : Nous avoat à vmirt ieax d)eoaax ~ Taalm fma Taa- 
dra dea (ô) cavalla, ou : Haram da Tandn daa 
(6) eaTBlla 
Ib maifttl htaucoup i fairt — 'Barlaa da far (i) 
malt (A), ou : Taaiaa malt (A) faa lar (é) 
)07. — Quand l'infinitif qui suit harar da a pour com- 
plément (direct ou indirect) un pronom personnel, ce 
pronom personnel se place Immédiatement après l'infinitif 
ou immédiatement avant le verbe auxilialic* -H •«» «tt da ' 



i)S jm* HT strs 

■nénte *1 l'iafialtîf a deux pronon» penonoeb pour cQDir 
"meiit*. 
lx,iItdMt m'eavojer un /fin ^ la d'Mvlar-HO m lUkn, 
oa : ma 4'niTlar n lUbro 
. Neuî dtvtiu U lui ammuniqutr — EaTCM Aa OHn> 
tfaw-na, on : L-U k 



joS. — GmjngaiKni det verbei harar et Uilr. 
INFINITIF, BTC... 

.tItriNITIF PKtSENT 

«fm'r 
karar taalr 

• PAITiaFB PASSt 



mnitlTIP PARIAIT 

mmr tu 

haTar tlogal 

PAimapB ntsBxn 
{tn) »ym$t 



t PAIFAIT 

(m) aymit tu 



,„Gi) 



krOIK et ÉTME 

INDICATIF 

IMIHC4TIF néUKT 

i'tU, eu... 



Um 

U»(é) 

U 



tau UMB(é) 

ramCATIP WpiktFAIT 

hartt UBfa 

havfM - ■ UbIn 

taaTfi tmta 

kaTfstt tnfiH 

haTf «n tMin 

taarfm UalM 

■ ixtuuTiF ntrpar «uns 
/'au, etc.. 
bagnl Ungnl 

hagasTM (é) Ungntrei (i) 



btgnCrm - Uagnfcia . 

a (é) Uagunn (é) 



t. Ha raM d'oa participa puié m praaoac* (tDfnhBoit L Duu b 
4<plMD 11 taftfW ée. h* <• Mt iMnlnwai MidÉCJ pv ktig 4». 



■n ...„Gf 





dropL ta ÊTKs 


INMCATtr ntltUT COHKOt 




i'm, etc... 


n^feSTM- 


TilglMir 


nibarcr 


niUilr 


nhant 


ntnlr 


nMham 


TUMtnlr 


vuhmr 


TtnUBlr 


nakiTK 


TUtMir 




niDiuTiF rtxiàxt 




j'ai tu, «te... 


k«hâg>t 


hatlngut 


kâikigot 


. , haïUBipit 


bakmit 


kiUngut 


bmabagnt 


hinm Usgat 


haTMitagat 


liâTnitliigiit 


bubagnt 


htaUngnt 



INDICATir KUC-QUB'PAItFAn- ' 

j'mmt tu, etc... 

lùrlâ htgat fenU Ungilt 

iMvfM btgat knfN Ungot 

btrfk kagiil hnfi Uiigat 

kâTlMi k«g«t hnlai Ungnl 

klTlMbvlt hflTfMtlBSBt 

^avfMkKtt havlMJlagMt 



■ I,, Google 



dPtMK Sns 



j'êuni, etc... 



hàjui 


UbM 


UtaiM 


Uadrit 


kUTi 


U>M 


baorm 


tlndrwi 


inm 


tladTM 


kanrin 


U>«ri> 


INDICATIF PUTUK iMTftUBDK 


j'aurai tu 


, etc... 


iuxiiasM 


hittréUsgst 


kanrislMgnt 


h«aisUiia«t 


hivàbtont 


kinritliigM 


k>iir»]>âgi)t 


banrmlliifftt 


inmthagut 


bum tlBOit 


kaniabqM 


ktnriuiU^prt 


œNDmONNEL 


CONDinOHHBL ntSENT 


rainb. 


«c... 


hanrfa 


u><rf« 


klOrfN 


Uadriu 


banrU 


tiadrta 


btDrfm 


Undrfw 


kawfM 


tlBdrfM 



COKDlTtOimL AMTÉlIEUt 



hinriabagit. 
kuufMfeagnt 
haarialMgtit 
banrlai hagnt 



I, eu... 

kaiirft Ungnt 
kinrlN Ungut 
hanrli Uagst 
haorlMl UagKl 



hMMXùm tapHt hairfM Un 

SBCOXD COHTtOHNEL ANTiUEUE 

î'âurmt tu, eu... 



bagnirmi bagnt 



(i)k 



a (é) Ungnt 
• (é) Uagnt 
a (é) Ungnt 
hngnéram tlngnt 
lugn<nn tiagst 
hagn«nn-(é) Ungnt 



gDBJpNCTIF 

tUlJOHCTIF PRÉSBKT 

(fw) /"«M, eu... 



n,3i,7=-i>, Google 






(*) 



iDijONcnr niFAiT 
Cji«) ;■*«« «(, etc.. 
hagl bgnt hagl Ungnl 

lugii btgnt . hagli Uagnt 

bagi basnt hagl .tlag^t 

bagnsDi lugnt hagMa Ungnt 

hagnan liagnt hagnaa Ungit 

kagiii bagat kagio Uagat 

EUBJOHCnr rLUS-aUB-niFAIT 

. . . . (jfui) j't^ss€ iu,jac... _ 

hagnéi bigot hagnéi UagHi 

(é) kagnt baguuii (é) Uagst 

ignt hagvfa Ungnt 

it . hagniialB tingnt 

kagnt hagnéiilB tingnt 

(é> hagut fcagHida (<) tingM 



^.„Ge 



)09> — Let TCfbo tcnninèi par tnir, tels que abrtnlr 
M, ^abstenir; ooBtralr, eonltnir; ietnir, arrêter, etc.. » 
coaJQgaent de la même maiiiire ^ue le verbe tnJr, meir. 

IL Y A — IL EST 
)I0. — Le Tcibe unipenoaael il y $, il y avait, etc.. « 
traduit par la )■ penonae da tlngnlier de diaque tempi di 
verbe hanr précédée de U. 
Ex. t II y a un bomtiu dam eellt satU — Et ka on bine « 
aqMiUaaIa 
Il y avah itux tnfanU dans ht nu — Ht luvia diM (6| 

dqIb m *\ etnw (é) 
Jipmtats li^ily aurait eudtla nt^e — Puiava qni 
U kanrfa hagit mm (i) 
Remakives. L'indicatif présent français il y a te tradui 
quelquefois par l'indicatif fntnr catalan, surtout si la phrasi 
est i b fois interrogative et dubitative. 
Es. : Y a-t-il quelqu'un qui mt cmlrtiiuf r— 11 baori algH 

qm'a oonUadlindt 
■I ha «H. U bavfa «M, etc. correspondçnt i il faut, 

ilfalUût, etc.. 
Ex. : Bl ha fM trahaUar — H faut Iravailkr 
jit. — Lorsque le verbe nnipersounelï/j'a est suivi d'un 
mot indiquant la durée, on le traduit le plus souvent par la )■ 
personne du singulier de chaque temps du verbe tar(i), faire '. 

t. LcmfettK(t)./sirr, tsr irr^Hcrl tait Ut tmp* « appiiticdl 
I. VdU m avojBplMa amipenonpclle duu Lbiom it^ily a, 



ilya\ 



Ia.fl7< 
Ma, ilr<»fl 

Juà, fiyMn 



larfi, HfënU 
faaal, (rOUyU 



n,3i,7=-i>,G00'>^lc 



jnWJt KT ÊTIIE XiS 

tx.îllja eiHjudule mi — Fa olmqttaBU aajs' 

H y tui Ûer quiuxf jours — Tate(é)aUrfilBMdfM 
Qfielquefoîi aaui on plice ]■ )• peraonne dn lingnlier 
d'un Ump* du verbe feanr après les mots indiquant h 
durée. 
Es. : TMtpa (£) ka — Il y a jutlqut lempt 
Ttm aajra havla — IlyttuiUlrnsmi 
)ii. — Une légère invenioD permet fréquemment de tra- 
duire i7j> a, il y avait, etc.. parle verbe ter (i),Jtrt. • 
Ex. : /( Ht treyms pai qu'il y tûl tant it maibturtux (Mot i 
mot : Je ne croyait pas que les malbenreui fas- 
sent si nombreux.) — Mo paaaam qae ftnlB (6) 
tuta aïs desgraeiata, ou ; Ko p«Bi«T« qaa U 
hagufs tanta daignoltu. 
. )I3. — Le verbe untpersonnel il «5/, (7 élail, etc.. em* . 
ployé dans le teni de i7 y a, il y avait, etc... te traduit corn- ' 
me ce dernier par la )• personne du singulier de chaque 
temps du verbe kavw précédée de U. 
Ex. ^ // tsl un pays qut fatmt — Si ha u pals qm astlMO 
Il tsl ia gens instruits — Hi ba pananaa inatraidae 
Iljul urfitmps où... — Hi m turar na Imv* (è) ai 



II. ÊTRE 
ÊIrt, verbe auxiliaire 
)I4. — Êtrt, verbe auxiliaire, te traduit.par aar (é); avec 
le participe passé d'un verbe sciif, il forme un verbe passif: 
ce participe passé s'accorde toujours avec le sujet. 
Ex. ; AqnaaU mar» is iwpeoUda — Cetlt mire ta rtiptetJt 
EU ananloa kan aignt vançuta — Les tnutmis eut iti 
vaincus * - 

Cnmmirin ttiMmi, le 



146 



jrorit n étks 



Le ptrticipe paué ctt donc coniidéré, dans la con{Dgai- 
(on dei verbei puitff, comme un véritable adjectif. 

Remuque. Le verbe ur (i) a deux conditionncli piéteatt: 
Mrfa et Mn: l'un cit ausii fréquemment employé qae l'autre. 

Êlrt, verbe non auxiliaire 
ji|. — Longue le verbe français élit ne lert paa d auii> 
liaire, on te traduit lanidl par mt (é), lantdt par aitar, d'a- 
pré* let régies suivantes. 

)i6. — 8w (é) désigne en général les attribnts perma- 
neots d'une personne ou d'une chose, sans comparaison 
avec un état, antérieur ou futur, différent de l'état actuel; 
par conséquent, les qualités, physiques ou morales, essen- 
tielles au sujet; ses dimensions, ses propriétés, son état 
habituel, son Ige, sa provenance, sa situation, sa destina- 
tion; un séjour, une résidence, l'endroit ou quelqu'un on 
quelque chose se trouve, temporairement on non; la natio- 
nalité; une dignité, un emploi, un métier, etc.. 

On emploierait donc ser (é) pour traduire le verbe éirt " 
daiM les exemples suivants: 

élrt bommer mortel, /mm. Anglais, grandi Im, ferl, instruit , 
hloud, mliitin, ptintri, comlt, duc — ht (é) koms, morUI, 
tore, Inglii, gran, bo, lort, iiulrvlt, ru, »atgt, pintor (à), 
UHto (6), du 

étrf tn argtnl, m boh, liquide, bleu, large, bas — (sr (é) d« 
plaU, de taiU, IffuM, Uau, tapie, baix 

An tur h table — ht (é) Mbn la Uila 

être de Fatenet — mt (é) de TalaioU ^ 

ilre ebei m, à Paris, tu France,' ta Europe — aer (é) t 
«an, ■ Parfi, a Fraaça, a Sarepa 

Bart^Mt lit MT la bords de As MUUemmit - 
da a la Tara dd MadUanaal 



.■i>, Google 



jrOlM KT ÉTME . I47 

Ct ebaml al peur mon fis — Aqiwt emU it fml ■•■ 

«un 

{17. — btar Attifpt en ginfral kl aitribuii accidcntdt 
ou traatitoire* du lujet; un état ou une qualité d'acquuition 
récente; l'état de la tanlé; une émotion on use tentation 
•ubite et patiagére. * 

On emploierait donc wUr pour tradnire le mbe Un 
dani Ict exemple* tuivaatt : 
- Un fatigué, uU'ufeil — mUut ouatt, mUsM 
llrt tnttmbU — attar ]anta 
itrt maUdt, m bonne sanU — uur Halalt, bo 
3 (8. — Let d^finitiooi préccdcntct indiquent que l'en»* 
ploi de aar (é) ou de «atar peut modifier complètement le . 
tent d'nne cxpretsion. En voici quelquet exemplei i 

ta (é) bo, Un bon — aatar be, iirt in tonni tanli 
ter (é) oago, iIrt avtugU — attar eaga. Un devenu ' 

aveugle. Un aveuglé 
tar (é) pobra, aar (é) lia. Un pauvre. Un riebt — 
aitar pobra, taUr rie, Ure Jevtuu depuis peu pau- 
vre, riche 
tar (c) bonté, Un toujours on haWutiiement joli — 
aitar bonio, Urt joli au memtal où feu parle. Un 
■ en beauté 

aar (é) alagra. Un jovial — aaUr alaira. Un gai 
■ar (é) borratu, Ure ivrogne — aatar bomtxo, étreivre 
aar (é) eallal, Un disent — aatar eallat, Urt m/m* 
eieux, etc., etc.. 
J19. — Cenoini ]»rticipci piiièi conji^ét pattlvement 
avec tar (é) peinent recevoir un complément indirect; nuit 
quand ils indiquent un état accidentel, paitager, et qu'ili ne 
font pas accompagné! d'un complément indirect, ib tCHÎt 
précédéi de aatar comme de vèritablct adjectif. 



ns .,..,„& 



. t4i . Aron KT ÊTME 

: El. : Jtfos hUssi par un t»ntmi — Ttig mt (é) terlt par 

UWiBfO 

J'ilais bksti quand Jtan arriva '— Bitm toit qui 
•n Joa> Ta arribir 
)»>• — EfUr est touyent employé devant k putkîpe' 
prisent d'un autre verbe pour indiquer, d'une manière plui 
prédM qne ne le ferait le verbe «mple, que l'aaion k fait, ' 
t'en faite ou *e fera au moment mCmc oli l'on parle ou au 
moment m£me dont on parle. 
Cette toamure exprime donc : 

,i un tempt présent : la continuité d'une action; 
i un tempa passé ou futur : soit la continuité d'une 
. action, soit la concomitance de deux actions 
r <]uand une phrase incidente- indique qu'une ac- 
tion s'est faite ou se fera en même temps qu'une 
autre action. 
L« catalan rend ainsi très exactement l'expression fran- 
çaise Un (fl IrtihitÂe suivie d'un infinitif. 
- El. : BiUo •fcrivlnt (Moti mot : Je suts'écrivant) — ~ 
fierii, J'écris m u mommt mime, Je suis en train . 
£i(rirt 
litiTtm riant quas va arribar — Nout riions, Nous 

éHoHS eu Irain dt rire quan il arriva 
Fa TBit dlaa, aatan bdlaiit — Il y a huit jours, il 

damait, il Hait en train de danser 
latarà Maajaat qoaa arribaram — // dînera. Il sera 
en Irain de dîner quand nous arriverons 
RekaUque. Quelquefois aitar est remplacé devant un par- 
ticipe présent par le verbe aur, elltr. Ce verbe est irrégu* 
lier (7* groupe). 



AVOlIt.rt ÉTKB 
)ai. — Onjugaiioa det Tcrbei mt (é) cl Mttr. 
mFINITIF, iTC 
mmimF nts&HT 



MrCé)' 



tire 



PAKnapB Tjott 



INnNITV FAKMIT 

avoir ifi 
k«TW Mtat ou rignt kavt^ MUt 

PARTiara nAsBNT 
(m) Oanl 

Mit (4) * MUlt 

VUmaPB PARFAIT 

(«) ayata éi/ 
hnwt (é) wut ou ilSBt hinat (é) • 

INDICATIF 

INDICATIF PRÉSENT 



•00(4) 



MUe 



m (fi) 



•itii 

niDIUTlF IMPARrAIT 

i'Htb, etc.. 

mUvm 



WM (i) «Uns 

, INDICATIF PKÈrtUT 

je fus, tic... 

M mtlsBl 

Irm (A) MtigMTN (è) 

tmt(fi) HtigB< 

MrMi MUgoérMi , 

WiM MtlgnfeM 

IMM (A) wUgBWM (é) 

INMCATIF PttTtUT COMPOSÉ 

je fus, etc... 
TalfNr(j) YSlfeaUr 

vu MT (é), eu... wMUr, etc.. 

nmCATIF FAKFAIT 

/"•u A/, etc.. 
ku eeut on eifit, eu... Ihh eeut, eu... 



4ra* n tTKB 

III1MC4T1F PtW*<Dl*fAlP»rT 

i'avtii éU, etc... 
kcTft «rtrt 00 ilfBt, etc... fc»Tf« mM, «te... 

IKMCATir FUTUR 

ft uni, etc.. 



UDiGA-nr ptmit »trrt«iioR 
j'aurai M, etc. 



kanré Mtrt, CK..^ 



kaiir< MUt ou Ofat, 

, CONDITIONNEL 

CUMDrnOKKU FBtSENT 

^ . . ft mais, etc... 

Mriet «««^ 

urf. «Urla 



JFOIR Vr. ÊTKE 

MCOMD COMMTKnmU PttSENT 
jt MTMÎf, ÇtC... 



»(*) 



.(4) ■ 

ccntDmomiBL AintiiBut 
j'éurms m, etc... 
rtiMUtouiignt, etc.. feaarfaMUt, etc... 

MOOIID COHDrnONKEL AlfTÉMCUl 

l'aurais M, tu... 
ra(é)MUtouilg«t,etc...bâgwra (é) MUt, eu... 

IMPÉRATIF : 

■IffM*, sois Mil OU MUgBM, SM 

•i|M« ', A>)n Mtm 00 MtigiMK, ttyex 

SUBJONCTIF 
suijtnicnF n£SENT 
(f w) /»««», etc.. . 



.gic 



Arm* rt tniE 



lUBjtwcnv muMkit 

{qiu)ftJàat,tK... 

lM(«) MUfB<l 

toi (A) - 



loulB (A) ■ttlgaiiln (i) 

■UBJOHCnr PAUAIT ' 

(fiw) i'ali M, etc.. 
tagl Ntat on ligBt, etc.;. kigl mUI, etc... 

iD>j(»icnp PLUi-Qira-PAWAn 

.CfO /"««« "W, etc... 
hHi<i eetat ou ilial, etc... hiaifc Mtal, ett..< 



^^ :;Guo 



^gM> ii i i , \ mim m 



CHAPITRE XI 
LÈS VERBES RÉGULIERS 



jii. -T- U 7 a, en catalan, trou conjugaiioM que l'on 
distingue d'^irèa let deus derniérei lettre* de leur infinitif 
prisent. 

L'infinitif présent de la i" conjugaison eM lerminé par ar; 
celui de la 1* par ar '; celui de la }• par (r. Ainsi qu'il a éli 
dit au S 15, r finale est muette dam les infinitifs. 

Les înfiniti& présents d-: b i" et de la )■ conjugaisons 
ont pour syllabe tonique la dernière syllabe; les infinitifs - 
présents réguliers de la a* conjugaison ont pour syllabe loni* 
que l'avant-demiAre syllabe (tinar). 

)!}. — En supprimant 1« deux dernières lettres de l'infi- 
nitif présent (ar, ar, tr), on obtient te radical du verbe. 

Les temps simples des verbes r^uliers se forment en 
ajoutant au radical les désinences suivantes. (Dans la a* 
conjugaison, b )• personne du singulier de l'indicatif pré- 
UDt et la a* personne du singolter de l'impératif n'ayant pas 
de désinence, ces personnes se compolcnt simplement du 
radiad.) 

1, UadsIliUUrdMwbMiekf coDJtipiMnitksaBniat, 
. •iMpilluslMBows]rU«bMMr(t),AM;ftf(t),>A». 



ogte 



.iMriHiTir pUsext 




UdMCATir 


nmjt 


■ tr ir 


ut 
arii 


mt 
«il 


Iré 
Iiii 


rARTian nAsrar 


ari 


ati 


Iri 


Mi M 


anm 


«•■ 


irm 


runara fus* 


■làa 


«A> 


llM 


«t It 


commoHint, pKt$nrr 


UDlClTir PIÉSEKT 


■rU 

•rfM 


•rfa 

•rfM 


irf> 

IrfM 


«In 


■rU 


•rf> 


trft 


■ tisM 


arfHi 


•ifaa 


irfu 


•Iz 


arfN 


nfmi 


Irfw 


•B ta 


ufra 


•rfM 


IrfM 



inm 


fMI 


Im 


im 


IM 


fm 


kTM 


iM 


fM 


INDtCAnF PIÉTÉWT 


t 


•«•(é) 


iTM 


i 


t 


ï 


ànm 


tnm 


Iran 


iTM 


tfTM 


ITM 



SOtiOHCnr ntSBKT 






tUBJONCnr DIV&UÀIT 

fc . fl 

■If (é) muU (é) Ud« . 

t» U 



B(«)«Mia(é)li 



IJ« 



s VZKBES KfiCULIEU 



314. — ReiiAiaoes sus i^ désinences 

Lt i" penonnc du tingulîer est terminée par une TOyclle, 
Muf an lubjODCtif imparfait. 

La 3* penoane du liogulier cit tcrmiaée par •, Muf i 
l'impiratif 

I^ )*.penonDe du lingulier est terminée par une voyelle, 
Muf à l'indicatif préMnt (1" conjngaiton exceptée) et an 
inbjonctif imparfait. 

La I" penonne du pluriel eit toujoun terminée par h. 

La a* penonne dn pluriel eit terminée par une de* deux 
diphloi^ei «■,!■. 

La )• perMmae du pluriel eit toujoun terminée par ■■ 



}35. — Peuohhes seububles 

Dan* chaque conjugaison, sont temUaUes : 

I* la i" et la ]• du singulier de l'indicatif imparfait ; 

1* - ^ . . du conditionnel présent; 

}* , . . du subjonctif présent; 

4* , . dn subjonctif impartit ; 

j* la j* du lingulier de l'indicatif présent et l> a* du 
singulier de l'impératif. 

î^ k I* du pluriel de l'indicatif présent et celle du sub- 
jonctif présent. 

7" la s* du pluriel de l'indicatif présent, celle de l'im* 
pératif et celle dn subjonctif présent. 



)lé. — MODtU OES'VEUBS KfiGUUSU 

' !•* CDni.agaisoa. , .1* conjugaîiou. 



. Coogk 



INFINITIF, ne.: 

IKFtKlTlF PKltEKT 

■inr, r^éfitr timar, crmndrt païUr, partafw 

PAiTian fàstt . 

rtgariU crûint P*riagi 

nlrat tMuit partit 





INRHITIF rUFATT 


avoir, rtgarii 
tanrnirai 


avoir craint atmrparlMgi 
kaTtr tnwl bmr partit 



(en) rtgari*Ht (tii) craignant (m) parlagiant 

■innt tenait (é) parttet 



PAKTiapE PAWArr 



(m) ayant r^anU (en) ayaul craint (m) ayant partagé 
hnm adrat hanat tawU haraat pailU 



je rtgêrit, etc.. je cnwit, txc... 


joparlago.ete 


■ira •/■ 


:. »««(*) 


partaixa. 


■ira* * 


■ taa»(é) 


partaiiaa 


■Ira 


, t"W 


partalx 


Diiran 


taB«B 


parti. 


nlran ' 


■■■■■■ taDwa; ■■■ . ■■,■■ 


-partta- ■;; 


Mina - 


• t.«a.(é) ■ 


partalm. ■ 



c,, .,:,,„ GoiHJl 



ixDtc&nr npAiruT 

jt rtgënUb, tic... jt cra^nais, tte... jt parloguùt, tte... 

■litTa Unit pûua 

■iram UbIm puUM 

■Irm tanfa partit 

■trivaa Umfm partfam 

Mlrim Unin putlmi 

■InTN t«>ln partln 

iMMcaTtF ntrtaTT mrLz 
jt r^»nU,.ttc,. jt craignU, etc.. ji parlagtd, etc.» 
Mlrf ttnl pmf 

« (é) partiTM 

parti 

piftiraB 

parttTM 

1 .'é) partirai 

iNMOiTir PHtTËarr compose 
jt r^eriti, etc... jt traiguis, etc... jt pariageai, etc... 
nl|Hlnr , vaifttaer raig partir 

fUBirar, etc... tu Uaer, etc... ne partir, etc.. 

IMMCATir PARrAIT 

i'ttt rtgarii, etc.. j'aitraini, etc.. j'ai partagé, etc.. 

k» alrat ke tout ba partit 

hH ■fret, etc.. kMtaHat,eK... ku partit, etc.. 

â(l>tCtnF PLUS-QUE-PAIFAIT 

i'amartgKfii,tM.,.i'€Vmtcraint,txc,..f'm)â$pariagi,txt.,, 
ktfto aim, tte... ktrfi UwA, etc.. hnfi itrtll, etc.. 



!-,Go()j^le 



^ ' DtDlClTlP PUTtlS 

jt r^ardtrai, ttc... jt cmiiiirù, txc,.. je parlâgtna, tX£ . 

mlnri teaurf putbi 

'mlraria Murli partiili 

mlrari Umarà pwtiri 

mirami Ubkwi putina 

■iraran UBfrmi ptrUraii 

mlrarin UbmIii putiria 

IHDtCATlF PUm AHTfiMEVK 

j'aiirairigiirdi,ac...i'attrMcrainl,ttc,.. j'aurai parlagé,etc , 
hmai alral, etc.. kanr< taaat, etc.. kanrd pirtit, eu . 

CONDITIONNEL 

CONDinOHKeL PRtSBllT 

jt regaritraU, etc.. Jt traiudrais, etc.. jtparlagtraa, etc . 

Biirarfa teagarfa partirfa 

mirattu tenerfu partlrfW 

mlnrfa tamaria partiria 

■nirarfam teatariem partlrfant 

Mirarian UmarfaB partlrfan 

ntrarfai t aM a rt an partlrfaa 

COKDITIONMËL ANTÉaiBCX 

j'aurais rteardi,*K.. j'auraît eraînl, tic. j' aurait pariagi ete 
kavrlaBuat,etc.. haorfa tanrt, etc. kanrfa yaïUt, cic . 

SBCOKD COXDinOHMEl AKltUBUK 

j'tiuraiir^ardé.ttc j'aurais eraint,tu..j'attniiparlagi, tu. 
ha|Mn(Oalnt, ktfDaia («) Uni, btgun (<) pnttt, 
etc.. etc.. etc.. 



n,r,i,,"-i>,G(>0'j ; 



i6a m Yrain iéouubm 

IMPÉRATIF 
min, nggrii Um (é), crnns fêiMT, parti^e • 

■In*, r^arJei Umm, craignti putiR. parlagei 
SUBJONCTIF 
iu>joKcnr nÉUMT 
(ipu) ji rigâtit, eK. qut jt eraignt, tK...(iitti)ji partage, iXC. 
Mlri tul(é) parUixl 

■Ml UmU(é) parteldi 

■M tMl(0 ptrUlil 

BlifB UBin (é) partia 

■IfM temitt (i) partU 

■Iria tealB (é) putalsia 

■UBJOKCnF IKFAUAIT 

(f m) ;> ripwiâut, qiu je eraignisu, qm je parhgetue, ■ 

etc... etc., ^ eic„. 

■Ms Une* pattb 

MlnMb(é) t«ituU(0 puUuli 

«Ms Umfi partfi 

■ir<MlM ; tmiMim putfuln 

alrteta tuiéHfa parUiclH 

tÊtmtiM (é) taauwia (é) ptrtUila 

lUijoxcrir PAiFAiT 
iUt/'ëUr^r44,tK,,qiiej'aieer^nl,ttc.. que j'aie parli^,tte. 
kaglBlnt,etc,.. kat^Uait, etc... kagl partit, etc.. 

■CBiOKCTIF PLVS-QUl-PAXFAIT 

dfiu) j'euae rtprdd, que j'eusu eraitil, qiu j'eutst partagé, 
.-etc;.> etc. . etc.. 

ki«i4a iiUnit« etc... Iuf«<i UbbI, etc.. bafitfa partit, eu.» 

■i L .i\-i,, Google 



LU vtun ittoDum lét 

}37. — Dini 1m veibei régulier* de U i" ou de la a* 
omïugaiioD, la lyllibe tonique eti la deroiire tyllabe du 
radical du verbe ; i* aui troli perKonei du aiDgiilier « i la 
troiiiéme du pluriel de l'indicatif prêtent et do lubjouctif 
pr^KUt; 3* 1 la deuiiime pertoaue du lingnlier de l'inpf- 
ratif. Partout ailleuri, la lyllabc tonique e*t la lyllabe on 
une dei deux lyllabct de la djiiaence. 

Qjiand la dernière lyllabc du radical d'un verbe de la i"' 
on de la a* conjugalion contient nne dei ToyeUet i, •, a, la 
prononciation de cette voyelle varie Datnielleinent anivant 
qu'elle eit ou qu'elle n'eit pas voyelle tonique. 

Ccat ainii que l'on prononcera proolanar (pron-klm-ma), 
procJamtr — proeluun (prou-klw-ma-biu) — pneUurt 
(prou-kl«i-n»ii-rè), etc.,,, mail pneltaw (prou-kla-mou) — . 
preebaiB (prou-kla<minc), etc.. De mOme ifunt (igve- 
nou-ra), igaerer — Ifloeram (igue-nou-r^mc), maia Isneraa 
(iguc-no>rMç) — Igvorl (igno-ao>rl) ; de mimt Unib {ttw 
m\-tu) — tanieriii (Uu-nuK-rane), malt timtr (i^mm) — 
Umo (té'Diou), etc. 

))8, — Dana Ica vcrbet régulien de U )■ conjogaiioa, la 
tyllabe Ionique eit, i tons lea tempt et i toutct Ici penon- 
nci, la tyllabe ou une det deux tyllabei de la détinence; la 
prononciation de la dcmiiîre tyllabe du radical eil donc 
invariable, puitquc ccttt irlUbc n'en jamoit tonique. 



MODIHCATIONS ORTHOGRAPHIQ.UES DES VERBES 

}a9. — Le ton indiqué par la .demiirc cootonne ou par 
let deux derniiret lettrei dn radical d'un verbe doit, i ton- , 
tel 4ei penonnet de tout let tempt de ce verbe, être le mine 
qn'i rinlînitif prêtent, ■ t 



pi(k ■ 



lis Lit VEun Kficounu- 

) jo. — Ccrtiiiici conioDDes et cemint groupei de lettres 
ne te prononçint pai de la mime manière devant lei vojrel- 
ki a^ •, a que devant let voyello •> 1 (SS S' ^ I^)) <■■> 
doit remplacer CCi contoanei ou ce* groupe* de lettres par 
d'autre* contoanet ou d'aiitrct groupes de lettres. Il en est 
de même, dans ccrtaïuf eu, ^nand la consonne o, dernière 
lettre du radical d'un verbe, n'est suivie d'aucune désinence 
(a* conjugaison, i la }■ personne du singulier de l'indicatif 
présent et i la 3* du singulier de l'impératif). 

Le* verbes de la i" conjugaison ont des désinences 
commentant par une des voyelles a, », a, I; ceux de la 
a* coaJDgàison ' ont des désinences commençant par une 
des voyelles », «, •, i. Let modifications suivantes sont donc 
néceiMires; 

t** OONJUGUSOM 

3)1. — Devant les désinsnces commençant par a ou t, 

les verbes terminés par car changent ç en c; 

les verbes terminés par car changent c cii qn; 

les verbes terminés par faar changent (pi en ql; 

les verbes terminés par gar changent g en fs; 

les verbes terminés par gur changent ga en gft.' 

Ainsi que l'indique le tableau dei désinences (5 i^j), les 

désinences de la i" coniugaison commençant par a on I sont 

celles de la i' personne du singulier et des trois personnes 

dn ploricl de l'indicatif préMnl, la i« du singulier de l'indi- 



t, Ltt TcrWl i* Il )* MB}Dplwa a'mt qnt dct iètiataai commcatinl 
pw • M I; lit M MMucnt donc innM modlficitiim onhognphiqnc. 
I. <ïmIimi krlnUi Auitai ] en | diat Im vcrbo Ithniné* par 



.■i>, Google 



calîf prétérit, la a* du pluriel de l'impéntU', et toute* ccUo 
du tubjonctif prèMnt et du tabjoBCtif imparfiit 
Exemple*: 



tommtHttr fkhtr ilmtfftr vinfitr 

INtHUTIP n£SEMT 

jecommtuci.txc. jepitbt.tt^ j'itniffi,ttc jtvinfit.nt, 

conienco pcico , ofego avcriguo 




INDICATIF PKËTËKIT 



je comttitiifai, Ac. jt péchai, ttc- j'éloufftii,tiç )tvènfiM,tK, 



d*giif 

coraençaru pescirc* ofegaict avcri^uarei 

corne n^ peici ofcgi a^engul 

començirem peicircm or^rcm avenguirem 

comenfireu pctcireu ofegircu iTenguirea 

començaren peicaren ofegann avengoarea 



tommtnee, etc>. 
coméiiça . - 



pitbt,K 

pCKS 



ileuffi, etc vinfU, etc . 
ofega avengua 



SUBJOKCTIF PatSEMT 

(91W) jt eommtH' (que) j* pitht, (f iw) j'tloufft, (f lu) f vinfit, 
«, etc... etc... eic... eK 




SUIJOHCTIF IKPAIFAIT 

(_qut) jt commtth (_qut) je pichas- (jru) j'ifetiffas- {qut) je vérifiât- 
tasse, etc., se, etc.. se, etc.. se, etc.. 




pMqiiéMia olsgnfuiii BTsrigDJMlM 
la (é) pMftMulnCO oftgoaHli {i) anrlgttMtiii (ù) 

1* CONJUGAISON 

113, — Devant la acule détincnce commençtot, par s 
(l" penonne du liagnlier de l'indicatif présent), 
devant la Kiile d^ineocc commençant par a (parti- 
cipe passé), et aussi quand le radical n'est suivi 
d'aucune désinence (a' personne du singulier de 
l'indicatif prêtent et !• personne du singulier de 
l'impératiQ, le* verbes terminés par e«r changent 
en ç. La désinence de la 3* personne dn lingnlier 
de l'indicatif présent est m an lieu de a. 

Ex, : TteNT, vmnert. 



mDtOITIF riËSENT IMrttATir PAmOPE rAMt 

jêvaina.txt,.. mines, txc... vaincu ■' 



■ i>, Google 



vencM 

' veacem 
vencen 



VERBES NEUTRES 
>)].— La Tcrbct Dcntrci cttolani u 
avec te verbe kam, mair; oa dit donc, moi i mol, j'ai 
tomhi, tu tmiu arrivi, et nou /( tmt tombé, tu Hais anwi. Le 
participe paué dei verbes neutre* est toujours invariable. 



ÎJ4. 



VERBES PASSIFS 
- Les verbei passifs catalani, comme on l'a d^ dît 



$ 390, sont formés du verbe MT (i), suivi du participe 
psué d'un verbe actif qui s'accorde toujours avec le sujet. 
Le participe pissé est donc considéré, dans la conjugaison 
des verbes passifs, comme un vériuUe adjectif. 



VERBES PRONOMINAUX 

})j. — Les verbes pionominaui catalans se conjuguent 

tous avec le verbe havar, «twïr. Le participe passé des verbe* 

pronominaux est toujours invariable. On dit donc, mot i 

mot, )t m'ai promtni, mas nous atma «mus/, et noti jt mt 



]]6. — Le pronom complément se traduit; dans lu temps 
simples, sauf A l'infinitif présent, au partidpe présent et i 
l'impératif, il se place avuit le verbe, et anbit les modifica- 
tions indiquées aux %% t jS ki6o«tiUk iM. — A Tinfi* 



l6( LESTE! 

nitif préMnl, m participe présent et i rim[>éritif, le pronom 
complément se place apré* le verbe et le joint 1 lui par un 
trait d'union ; il subit alors, dans certains cas, les roodifica- 
4îoni indiquées aux $$ 173 i 175. Il en est de même lorsque 
la j* penonne du singulier, les r" et )* personnes du pluriel 
do subjonctif présent catalan sont employées dans un sens 
impératif sans négation '. 

Dans les temps composés, sauf 1 l'infinitif parfait et au 
participe par&it, le pronom complément se place avant l'au- 
siliaire, et subit les modifications indiquées ans $^iii ii6o 
et 166-167. — 'A l'infinitif parfait et an participe parfait, le 
pronom complénient se place après l'auxiliaire (htm, Im* 
*mt) et se joint i lui par un trait d'union ; il subit alors, dana 
certains cas, les modifications indiquées aux JJ 171 A i7{. 



))7. — CoHjuoAisox d'itn ver 

ImmiTtr PRèscnt ; passeju-se (r), upromaier. 
IxpDitnr PAtFArr ; btTar-M (r) pasa«)at, t'étre promtni. 
PAmaPB prSseht : msaaJMl-w. (m) u pronunanf. 
PAKTiarE PARFAIT : kamt-s* psM^at, (en) l'ilant pnmiui. 



INDICATIF PRÉSENT 



INIHCATIF PARFAIT 

jt m* suis promaié, etc.., 
■1M (é) paaitiat 

•IttpaMaltl 



t Qyi>4li ubfoocUrprtMnl citili;iM«niplaf4 pmttminlit l'Inpé- 
ladt Di|Mi( ftaifib, I* pRMÉom compUmml conMrr* u plue tiMtodla, 

M M MB** p*[ WOX^BtBt MM It BtgItlOB Cl 1« ttrbt I ||«t gMai 

nkfHmrmpti — Ho'li glrtBi, Nt mu rthtrmm ftt, 
-s. 0>«cmMMlpMM)M<VrirS||tMM). 



ogie 



U* VBUB ItCDUElS 




•MktnarMMtM 



■t, pnmhiê-tei 
qu'H s$ prumhu 

i-VH, prtmtiuitmu 
qu'ib M prtmhmil 



CHAPITRE XII 
LES VERBES IRRÉGULIERS 



j}8. —Le* verbei irrégulien ont tti divifét en quatre 
cluMi et en lepi groupes. 

Chaque cluse comprciid une série de verbes se conju- 
'guant d'après un même modèle; ces vcriwi n'ont que des 
irré^liritès presque régulière* et fomMot, en quelque sorte, 
de nouTelles conjugaisons. 

Chaque groupe comprend deux, quatre ou cinq verbes, 
assemblés suivant leur plus ou moins d'analogie dansleun 
irrégularités, et ne serrant de modèles i aucun autre verbe, 
si ce n'est à leun composés. 

Les composés d'un verbe ont toujours les même* irrégu- 
larités que ce verbe. 

,1)9- ~-' Q)i*ud l'Indicatif présent a une ou plusieurs pcr- 
sonnes in^ulièrca, le subjonctif présent et l'impératif sont 
irrégulien, en tout ou en partie. 

L'irrégularité de l'Indicatif prétérit se retrouve au sub- 
jonctif imparfait. 

L'irrégularité de l'indicatif futur se retrouve au condition' 
nel présent. 

' Ce*t- dan* cet ordre que figurent, plu* loin, les temps 
Irrégulicts. 

Les ligne* pointUlées ... indiquent le* personnes règu- 



„,Gt>i:)^le 



I^REMIËRE SECTION — CLASSES 

j" CLASSE 

}40. — Let mbei lermini) par aln, Mn, t^pn, et le* 
verbes pwin, ptrirt, nkrt, Ttttvdr, le eonjugoent d'apfé* 
. le mod^ luiTant ' : 
batn, lnMrt 



jt bats, tu... 
bato 



(f lu) jt hallt, etc.- boit, etc..! 



ittMunp 


suBjONCnr 


PIÉIÉIIIT 


INPAHFAIT 


. ;. Mit, 1 


■ (p,0/.Wi<».MC 


taU 


kaUi 


kaurM(0 


b>uuU(i) 


' klU 


klO 


-tel^n. 


btttofii 


M<m 


kuWi 


b«ura(i) 


: bu«i.(é) 



, CctTiibtipMmMétMnppoAfodMVwbwftMtiiiUndBliin^ 



^.,„Gi 



ittmcàTiF coNomomiEL indicativ PAmara 

rUTDK niÉSDIT IMFARFAIT rttSIHT 

;' jthallrti, eu... j* baUrmi, etc... jt balUâs, tu,., (en) ImUImI 

] ... tatrf kaUii batia ]MtMt(i) 

babla katrlM baUM 

bitci iMlria batU 

' bflUMi haUfaa hattoa 

birtrM tatriMi kaUM 

katria ' batriai batfaM 

Le participe paué de* rerbei terminéi par atn oa e^tf 
et celui dct verbei périra et rakra le forme eo changeant ra 
enat. 
Ex. : batra, ballrt — batnt, baitu 

raiipra, rompre — nmpat, rompu 
pKttra, perdrt — pordat, perdu 
rabra, ricoMiir — rabat, reçu 
Le participe paué de* verbea termiait par atra te forme 
en changeant at» en ia. 

El. : rMWtra, rtmtUrt — ramia, remis 
* Rehaiqui. parerai perdre, change 4 en l i la 3* et i la 
J< penoanct «lu liagulier de l'indicatif prêtent (parta, paît) 
et à la S* peraonne dn aingulicr de l'impératif (part). 



J4I. — Trente-iix vertiei de U j* eoii|iigatioii m conjo- 
gucnt d'apréa le modèle anivant i 
tmmtaiitrmir 



■ n ,-i,,Gpogk- 



iNMctTiP tuajoMcnF impSutip 

' rstsEin- pilsmiT 

jtiûrs.ac.., {qui) je iermt, tt£... iort 



On obMTven donc, pour la prononciation di k dernière 
■yllabc du radical. Ici riglet ^oi ont été énoncéa an $ J17. 

Ont le* mimei irrégulaihét : 
hwUt, ncMunr faglr,/inV 

aenlUr, aaïuitlir grwirir, gr^tr 

adormlr,, «iKJomuV )\vix,VrilUr 

ajnplr, dompter mentir, mtntir 

■■MnUr, asseitlir moilr, mourir 

airamlr, assumir mmjiT, Irmn 

bolllr, bouillir obrir, ouvrir - ' 

eanuntlr, cotistiUir ompUr, remplir 

eontninir, eonsumer prewenUr, presuutir 

preininlr, pritumer 
pndlr, ^iwr 
reooalr, recoudre 
\ nonlllr, recueillir . . 

tir reaninlr, résumer 

Mntir, lenlir 
Mttlr, torlir 
Muoir, ploHgir ■,. • 
iapper toaalr, teusier > 



h Go()^le 



LU TBIUS lUËGUUnS 



RDMIQUES 



Midir change 4eatibi*etila)* penonnci du tingu- 
lier de l'indicatif prisent (mhU, âoat) et & b 1* dn lingulier 
de l'impiraiif (»nt). Ce verbe peut *e conji^erauMi comme 
un verbe régulier (ceoMxa, etc.). 

(■gir fait aux perionnei du tingulier de l'indicatif prisent 
Ivjo, fugM, fsig, et i la j* pertonne du lingulier de ]'impé> 
ratifhiig. 

llalr peut te conjnguer aussi comme nu verbe rigniier 
(Untiu, etc...)- 

■•bUt et dtnumUr peuvent te conjuguer anui comme 
dei verbe* r^liers (lamteizo, deuuBUlio, etc.). 

Obrir et ompUr font obm, oaplM, à la i* personne du 
•ingulier de l'indicatif prêtent, et obra, ompl» i la a* pef- 
tonne du singulier du l'impiratif ; cet verbei sont en outre 
Irréguliert au participe passé ; obot, oaplert. 

podir change ë en I aux mêmes pertonnet qu'aendlr 
(fiu. p«). 

nnlr peut se conjuguer autsi comme un verbe relier ' 
' (■nwiu, eu...)- 

f CLASSE 

i4». — Les verbes terminés par in (uuf perin) te con- 
juguent d'après le modèle suivant : 
Mtaadra, wm^riHin 



PtCSBUT nUbSHT 

jitMi^Mit, etc. (^qae) 14 eempnHat, ttc.„ ttmprtuds, ttc... 



.■i>, Google 



i^iii) je comptittt, etc.. 



NOrnONKBL IKDICATIP PARTian 

ntSEKT MPARPAIT PASSA 

DmprtnirùSijt eemprtmià, camprU 
Me... etc... 

«ndrfa mUiiâ «lUt 

«ndrfM enUnlM 
«ndrfa mtolâ 
«ndrfam •bUbImb 
«Kditev nitralaH (<«) compmumt 

MBdrfm MUnlatt MUamt (i) . 

■ Tcrbe* terminé* par oldn fonncnt kar 
I changeant oUn en M. Ex. .; àk i éUn, 
,. Mail le participe passé «le iaiUn,féin 
I), eu dolgat. 

doit être ratuché le verbe ttllit,mmr 
onjuguç comme ioUn. Il bit donc MlOt 
fa, ■•Igut. 



!, Google 



174 i^ vnBES iMteDuas 

Let puticipci pûtes da verbci «aUra, falloir; pMdn, 
ptndrt; raUn ', vahnr, «ont ealgnt, port, nlinl (Voir ^ 
Îî8 et jfo). 

)4}. — pMin, prmirt. et lei compote* le conjuguent 
comme tait : 

IXDlUTtP ntSKHT SUIJOKCnr rKËSEHT UIPÉaATlF 

jtprends, etc... (^ui) je prtnm, etc.. prmis, etc.. 



jtprit, etc.. {que) jt pHtst, etc.. 
«•agaf prengirfi 

(é) prengneuU (£) 

prengnft 



prengiiéuln 
pnB|«ren (é) prengoMain (i) 



COHDfnOKNBL 



/f prendrai, etc. jeprenirais, etc. ;< prenais, etc. 
peniré pradife prêafâ 



I. Lw iNiaiiUt it nldre, d'«t«lnMn «i i» preraUn oat iomI 
k Inm Talir, ffihalWi prmler.- 



■ I,, Google 



PTmIm 

pnala 



PlfiSBirT 

(m')prmâMi 



tws «rAnr, ereUn - 

leur* compote* m coDJi^eni d'aprè* 1 



du singulier dt l'indicatif priieiil ett 
: la 3* penonnei du pluriel du lul^oncti 
'^liires (atralzaB, atrtlxM), toit irré 



au sont irréguliert : 



(_qaé) )t mérilasst, cic... 
manaqnéa 

• (') 



if imparfait peut aoui m conjuguer i^gn 
($, ■■wiaiiili (é), etc... 
radical de mUàt m change en t quam 
Uetooiqne. . 



.■i>, Google 



176 LE> VEUn lUËGULIUt 

)4 J . ^ Lc> Tcrbu coBtaïc, ceuiHiilrt — puMur, fiaratlrt, 
et Iran compote* k coDJt^ent d'iprii le modile laivant 1 
■r, tmaaUre 



je mintis, etc. (fw) )e cm- je connut, etc. (^qut^je commsu, 
naiat, etc. etc.. 



Hman PAUË : etnugat, conmt 



SECONDE SECTIOK — GROUPES 

I" GROUPE 
)4<.- 
keare, dM», nurare, plam, 

Imr* ieooir moimrir pkuvoir 

INDICATIF PRÉSENT 

jtbmi,ac.., jedmi,ttc.,. je mtut, ttc... ilpUul 



n,r,„.=-i>, Google 















us vnn» iMteuLins 


•77 






tuajoKcnr ra^EKT 






(,«0 ;<»«<» 


(,«,)/<««. (»"0 /"«<"« 


.ftO ■•'/*" A 




etc.. 


etc.. 


etc.. 


:— 




Ixiil 


KguI 


.oui 


■■*,'■■' -^ 




bWiU 


ler>l. 


m^f 






bWil 


imtd 


•igid 


tlH- , 




bqni> _ 


lei». 


wssau 






kwiin 


«egven 


BOsnea 






bwl. 


<i>g.u 


>e|U> 








mPËUTIF 


. 


tew. CIC... 




woif, etc.. 


■.' . •• 


bin 




nWB 






biT» 




moTM 







je but, cU... /« rfi«, etc.. /« ww, cK... il plut 

bagiif '•ffof Bogol 

btgnarM (é) dtgnsrw (f ) mogurM <é) 

b»aii< itgaé BMtgtrf plogn< 

bsgnfram degnirm magnfrui 

begnjrm . dagoiran uogtiirtB 

bagneriB. (£) lagiiarex (^) nwgnorM (é) 

SUBJOXCnF IMPARFAIT 

(ifiit) je bnsu, (que) je imst. (jm) ji musse, (j«') fl^/rf/ 

etc.. etc.. etc.. 

b«gii4a dagnéi mogoé* 

bagoMiii C^) dagiiMaU (é) mognaMU (è) 
Iwgvtf* dagaii ' mognét ' ' flogid 

bagaiitUB dtgitfMla 
Cnrwimrrr nlthm. 



17B LES VBUBl nilËGULIBI» 

tafntaii dagniHitt vogHtaiD 
HrMMia CO '•gtunlB (é) mogunia (é) 

nrOICATIF FUTUR 

jtMrai,eKt je devrai, ttc. jt monvritt, tK. ît pttuvra 

hnit inri mmui 

kaarii daarit msiirii 

baorà 4niri monri P^**!'^ 

h — M 4«nT«D monnoi 

btoraB dcnrav awiimi 

btirla - iltariB Bomia 

COXDmOKKEU PHtSEKT 

je btinû, etc. ;> devrait, ctc; /^ mouvrais, etc. i7 pitavrail 

bMr& drarft BUHiriâ 

iMorfM drarfH monrfM 

benrfa dtarfa umiria plonrik 

iMurba dtnrfMB mmilMa 

biarlM ' danrien nonrlra 

benrlm taufn nworin 

INDICATIF IHPAItFAIT 

' jt hivêit, ttc, je devais, etc. je moimtii, ttf~ i! pletnmU 

kfria iwrUi morU 

bavlM torlM laoTiM 

bnli dsrta movla plnfa 

bavlMi iavftn MiorlaB 

knin 4nfra mnlM 



PAtTiaPE PASSft 



„, Google 



U* TEUES UKtCUUnS 



PAmant piÉsiin' 



(tu) buuml ((h) dtvmt (tu) mwowf (n) fituvnt 
bcnBtfé) 4mM(<) MrMt(«) flmM(<) 



j< GROUPE 



IHDICATIP PlfSEHT 

jt crois, etc.. jtsUds, tu... jtsuuilt»' jt tirt, tK, jtris,tic, 

du, etc. 

criD HO |M Um rie 

oniu MU fsoi tiMU riM 

or«a Mn jan . tnv rfn 

cnlen HlsB ftsK traitn riia 

craira ttim jalan tntav rien 



SDBJtMCTlF PUËSEKT 

{qui} jt croie, {qut) jt tmt (qui)jttoii{jue)ieltre,(qiie) jt 

etc.. , atàs, etc.i ilenda,ttc... etc. rit, etc. 

ongnl Mgnl Jogml ' tngni - rifoi 

cregoii aagiiia Jesuia tregvU rlgili 

oragvl legni Jogml tngni rigal 

ortgmen legna» fagnoB InguM riguM 

cngmav Mgiiaa J>fl*Mi tragMB rignn 

oragnln sesala lagaitt tngalm ti§im 



.,.GoCk c . 



LES VEliBS IMIÉOUUEIS 
UIPËRATIF 

<-im, seisélaidii, lire. 



rita 



ft ru. 



INDICATIF PKÈrËRIT 

jtcrut, l'tfiuassh, jefiitiltti' jelirai, 
etc.. etc.. du, etc. etc.. etc.. 

cragnf Mgnf |tgiil tragwl rignf 

atgurM (é) MgnarM (é) JagiarM (é) tragiwM (é) tignan 
ongirf Mga< lagnf tragnj rlgntf 

eragsjna Mgnfmi l^galrMi Uagaérin rign^rm 
«ragsfrm Ngn^ran Jagn^rta tragnéras rignjren 
c»anaraii(<) a*giiartii(j) lagBarHi(é) tragnam(i) rigMraa(t) 



(«) 



EUBJOSCTIF i 

{ilHt)}terHat,{qHi)itfHiu{qiie)jifiuit{qtti) jtO- (<tm)}t ris- 

etc.. «nV, etc.. ileitdii.txc. rasse, cK... u, etc.,. 
eragnia aaga<a jagnà tragoéa rigirfi 
engnaatli(l) BaguaaU(l) tagaaiaii(é) tTagaeatla[t)iigaa«ali(<) 
^wgiéa Mgaéa fagaéi traga<i rignii 
oragntfaalai Mgviuia jagoétiiiB ingaiMlB rignfaain 
eragoiaalB aagniuia fagniufa tngoétain rlgatain 
eragMaafai(f) aagnaaaiaW lagaetaiB{4)tngiiaaala(t)Tlga«iali(é) 

tHDICATIF FUTUR 

// $erai assis, ituraîélea- jt linrai, je rirai, 
etc.. etc.. 




\maxi tninré 
janria tranrii 
lanrà tnnri 

tnwm 



lanriii tranriB linriii 



}t crmrmi, 

etc... 
ertnrfâ 
cnnriM 
cnnrfa 
ennriem 
omrfm - 



je urnis tuât, ftitraitilm- jt lirtrais, jt lirau, 

etc. du, etc. etc. etc. 

•Mrf* fanrfa tranrla rinrla 

MwrfM jaarlM tnnriM rtarfM 

■rarfa Jattrfa tnnrfa rinrla 

Morfan t*tirfaB 

■anrlan fanriam 

Hnrin taarfaB 



tnurfiv 
traarfn 



riarfra 



itcroyaâ, . j'ilait assit, jt gisais, jtli 



etc. 
crala 
cniai 
onla 
orèlin 
crlian 
eralan 



oregnt 



]aU traia 

Jèlam IrèiaB . 

jUin trèian 

Jalan train 



PAinCIPB FASSE 

Heiidu 



tagal mt(0 ''9"' 



rARTiaPE ntSEKT 

(eit) croyant (m) sétat (tn) gisant (m) liranl (<n) riêHl 
eralant (é) laiait (é) talani (é) tralail (é) riant (^) 
REHARatiB. Ain*i qu'oa l'a va, la voyelle • du radical de 
fanra et de Vnmn le change en a quand elle o'ett pai voyel le 
tonique, . • 



iBl 



S* GROUPE 
Ï4«.- 

elOBi», clort 

IKDlUTlr «DIJOHCnF 



ft ikt, (f w) je cUu, 



IHPtKATir 

ths, etc... 



tKOtCATIF SUBJONCTIF 
PRtTttlT IHFARFAIT 

fê/ermëi, (^jut^jt/triiuf- 
etc... u, etc., 



(<} Ol«gMMds(é) 



(0 



(*) 



oosre, entre 

4DICATIF SUBJONCTIF 
PifiSEHT PRËSEMT 

fe tais, (f u«) // tuîa, 
etc.,, etc.. 



eoffila 

IHFËIATIF 

fuù, etc.. 



INDICATIF SUBJONCTIF 
FRËTËRIT IKFARFAn- 

je eililis, (que) je euiài- 
etc. le, etc.. 

Gogat eogaf* 

e«gMrBf(é) ooattMtU(é) 

cogufrHi ugiéBilB 

MgaifM Mgvtfubi 



„,Gi)t)^lc 





us vnns 


MÉouuns 


18} 


\j 


IMDICA1 


ir , CCMOmOHNEL 


. IMMCATIP 


COHOmOKHCL 




PWTU« 


rtfiSBHT 


PUTW» 


pitsnrr 


- 


ji chrm, 


Etc. fe durais, eK. 


/< ««>«i, rtC 


/.«.■«£,, etc. 




cloartf 


«Inris 


eMr< 


coDria 




«lonrii 


ClOttrfM 


cnrU 


«OUfM 




eloori 


elonrfa 


COori 


eonriâ 




«lonrm 




coana 


COUbB 




Glonran 


clenrfmi 


MUIB* 


MWira . 




«iMuia 


«iMllM 


OMuia 


wwfra 


** 


IHUCiTlP PAlTiaPE 


IKDICATIF 


PAinOPB 




IMrARF 


■ T PASSÉ 


mpAtPAIT 


PASSt 




ieftrmaU 


CM. cla 


;« aiisMÙ. ctc 


mf 




clofa 


CIM 


Mb 


Mit 




elofM 




UfM 






Glola 


rABTICIPI 


Mil 


PARTICIPE 




clofim ' 


FiÉsm 


cof« 


pKisnrr 




eblN 


(««)/«r««»/ 


coira 


(,.)„to< 




clofn 


dotntCé) 


eolm 


.~iW 






rGR 


OWE 


î«-- 










eaim 


.pUm Trait 


Herim 


.tan 




lombtr 


plain voir 

IMDiaTIF 


écHrt 


vivrt 




ielemhtietc.jephiU, etc. jt iww. 


etc. y'ib-ù, ne. ^ mi. etc. 




caio 


pue «if 


MGliO 


Tin 




MU 


pl«u Ttni 


MOTiU 


riu 




eu 


ptra Tra 


MOria 


p i.Gi 


oi; 



184 UB VBRKS IimtCULIEIS 

<■!»■ pliTMS . TeisB McriTla riwim 

Mira plans tsIm McrlTia vlTiu 

eaus pUnn vaun aierinM TioM 

lUIpNCTlF PRËIEHT 

{qut)}ttonh{qiu)}epUil-(iftu)jtveu,{^iu)j'itrivt,(qui)jtvivf, 

he, etc... Sf, etc.. uc... etc.. eu... 

«aigai plagni . vigf aicrlBni Tiiqal 

eaigila plagol* TAgii MCrionia viiipiia 

caignl plagai. vegi Mcrigni riiqoi ' 

calgnem plagum rtgan aterignau vUqtwm. 

«•IgMK plagasK Tsgan atcrigaaa viaqneu 

calgnlB plagalB ragln aterignid Tiaqnia 



lomit, etc. p/flù, etc.. vùis, etc.'. /ir», etc.. vU, etc.. 
eau plan tn woiiR vin 

«tiaM plarra Ttian atcrtvia vivis 

INDICATIF PRfcrËRIT 

/« iSmbtti, iipttti, je vis, j'/crivls, jt viens, 

etc. etc.. etc.. etc.. etc.. 

aaignf plagnf ragf Mcrignf Tiaqol 

ealga««a(4)plagB«m(é)TegérM(é}aiorigaar«t(é)Tii([BarM(4> 
calgni plagntf ragtf aaorlgaj •nwfjat 

BalgnfcaBi plagntfnai Tagjram aioriguiraiii TiiqnéreB 
calfBJraM plagnérat Tat^ran aiorigs<rati Tiagoiriu 
caifMrm (Oplagoana ^é) Tagarra(f) aaorioaaru it) viaqnarra \i) 

t. L'««d«nM foiBM Tliea t'«it w wrW» Un l«i «tlimitiaiii t TiaCK 
CtUlnml nn II Cfidrfw/ tu... 



■ I,, Google 



i8; 



SUIJOXCTIF IHPUFAIT 

(qiu)itloni-(qu4)itplia-(qiu)jevis- C^i«) ;"&n'- (f") /< i"'*. 

Imiu, etc. », etc. m*, etc. viiu, etc. <»««, etc. 
ealgtiéi ylagnfc Ttg4* - Mcrignii. YUqii<s 
MigntHb (t) f bgnMili(é}ngaMli(4 MorigfnMaU (é)TltqnMila(l) 
uigM* - >lagii4i Ttgéi Morignfa vlMpiii 
ealgiéula flagirfuln vtgiwin MOrignéfiiB ftaqirfMla 
utgirfwia yltgnfuta Ttg<ul« werionlula TUqn^ula 
MigaM- flagoM» TSfM- MOrignat- . TtofOM- . 

■lB(é)' ■!>(«) ■la<i) ■!■(£) liaCé) 







IHDICATIF FUTUI 




/« hmbtrm 


;. finir,, 


ji verni, 


j'écrirai. 


;. viwn 


etc.. 


c(c... 


«c... 


etc... 


etc.. 


uvé 


|lnT< 


Tnr< 


■«ri>T< 


Uni 


etnria 


(Uni. 


Tlllll 


•Mlinrili 


tinii 


uorl 


pUiiri 


T.urJ 


MOimi 


tlnl 


eannm 


,b.rni 


vnrim 




«iur»» 


einrtii 


pUitH 


mma 


Merinrta 


.inm 



unris ylanrin miin Morlurim Tiiria 

COHDtTtOMSeL PtASENT 

jiteiiihnUtje plairais, jt urraîs, j'itriraïf, ji vivrais, 

etc.. «te... etc.. etc.. etc.. 

Miirft pbarfa Tinrfo Moiiarfo Yitwfa 

MnrfM pUarfM • Tsnrfw WGrinrfM .viatfw 

eanrla ftanrfi -Tmrtt M<>rittrla vlarfa ~ 

Marfm pUnrfam rmirfun Ncriaibn vlariéB 

MMrim plaurfm ▼«rln MoriDifw Tlnrin 

uirta plairf«n nwrfn ««riirin vlarte 



.,,& 



LU VKUBS lUÉOUUBU 



INDICATIF IHPARMIT 



j* lûmhàt, j* plaims, je voyét, j'ierivms. 



-eU.., 



ctct.. 



etc.. 
TiTta 



Morlrfa 

Morivlu TlTiu 

MOrirfa tItU 

MOriTiam Tivfam 

worlvin vivfM 



IMlfl fUrfa 

qMl> >UTfa . 

«■èlMi pUTitm 

fMlM fUvJni 



FAITICIPB rAUfc 

tmtM plu vu écrit vécu 

Migat • VUfBt Tilt Morit TiHKt 

FAITICIPB PitSEHT 

(fii)l«mhattt(in)plamnl {tit) voyant (ta) itrlvant («n) tàvunt 

Mlnt(i) pU«Bt(é) TviMitCé) MoriTlBt vifliit 
' Toui let Tctbei tenninéi par aoriart te conjuguent comme 



niDiCATir 
rttUDtT 



IVBiONCnP 
PIttSINT 



^xir, sortir 

IMDICATIF SUBJOMCnP 

rKËlENT PBËSEHT 

(^ue) je torle. 



eu... 
iaooulM 

U 



etc.., 



uixl 



iaqola Izia 
lafiii U 



D,g,t,7=^-I>, Google 



ut VERBES IBlteUUERS 



etpt . nps 



SUBJONCTIF PRÉSENT 

(qat)ltpuit-(quejjevtHii-(^uè)}tintH-(qiit}jtlUn-(que) jt » 

st, etc.. le. etc.. m, etc. nt. etc. ebe. cic 

pagai Tolgvl Tlngvi cipiga «ipiga 

fvgals vnlgBla TlngnU clpigiiw BipiguM 

pagai , valgal rlngai cipigi làpiga 

pogaaiH Tolgnea Tlngam sapigasB upitrum 

pogini TOlgnm vingan etplgara upignsn 

pagala valgala Tingaia clpigiua BàplgiMii 



wtm, etc. titm, cta. uuhi, etc.. 

TiM eap aiplgaM 

rmia MbM BaplgÛM 

■NtHOtTIF PBËTËHIT 

it^HS, ji wuliu, jtvins, jtlitts, jtstu, 

etc. ' etc. CIC. etc. etc. 

pogal Tslgaf Tingaf eaplgvf lapigal 

pogaa- TBlgns- TtBgaa- uplgns- upigtu- 

tm(t) . rM(é) ru(0 »>(0 m (£} 

pôgB< nlgoé Tlagn4 otpltpié upigaj 



.■i>, Google 



D,g,t,7=^-I>, Google 



190 LIS VEUES [ItfiGULIEIS 

coNDrnoNNCL ntswn 
ft pourrmi, je voudrais, je viendrais, je tiendrais, je saurais, 

etc... etc. etc.. etc.. etc.. 

podria TOldri* viadrfa cabrfa Hl>Tia 

pe4rfM ToldriM vindrfM ubrfM ubriM 

podria TCldria Tlndria Mbrfa ubriB 

p*iriMi TCldrfam Tindrfen eabrlam Mbrfem 

ptiilM TOldrfm Tindifen cabriw laliriaii 

foéllM Taldrfm Tindrian cabriia ubrfn 

PÀlTICIPE PASSA 

pu vùuhi viHu leiiu m 

pegnt nlgat Tlngnt eaptgM ' npifit * 



7» GROUPE 
îja.— 
uar, aller far (i),/airt dfr, dire dnr, porter 

INDICATIF ratSEHT - 

jevaa, eict. jefais, etc.. je^, etc.. jtporle, etc., 
nig Iti| dio dtM 



On Jh ■■■>! Ottal. 

On ti% nta sttat. 



n,(, 1,7-1;, Google 



•UIJOHCTIF ntSCNT 

etc.. eu... cK... etc.. 

vagi lad 

nglt iMl 

ngi lad 



digvli dngnl* 



ragbi bdm AigolB dvgala 

IMPtiATIF 

M, etc.. f*is, etc.. ^, cK... /wh, ei 



IKDlCATir PK^ÉRIT 

jtfis,txc.., jtâis,tK... jt porlai, tK..t 



m (€) dngneru (i) 
• (é) iijai iatué 



(0 

lOBJOMCnr IHPABPAIT 



dlga<> ' dngndi 

dignuiii (é) daguMiii (i) 
dlgnii dmgudi 



,,Coo>;F' 



u 







dlg«M.ta(é) 


d«aiuuta(é) 






KMCATIF FUTUR 




fimi, etc.. 


jeftrai 


etc... 


je portera, ste. 


mbi 


Ut* 




iart 


amiiii • 


tarit 




dKfli 


■Biri 


tari 




dari 


ulnm 


farm 




dnr«m ' 


aninn 


farm 




dnrsn 


âilràs 


tarin 




darin 




COMDITJOKKEL mÉÏBMT ■ 




f irais, eic. 


jefirah 


etc.. 


jt porltmii, etc. 


uirft 


tarta 




dnrta • 


aairfM 


tarfM 




dorlM 


•lUrfa 


tarta 




duta 


UlrfMR 


.brtaa 






uirfra 


tartan 




dttrfAB 


uMm 


tarfu 

IK 


WCATIF WPAIIFAIT 


dorl» 


• 


jefaiHlii 


.ttc.jtâiiais.txe.. 


je perlait, ttc. 




fata 


d«U 


dnta 




biM 


lislM 


dnlM 




tata 


«•ta 


dota 




fitam 


Ulsm 


ddltio 




Htan 


dii» 


dii*B 


■•••' 


taiM 


astan 

ABTiaPB PASSÉ 


daian 




fait 




fcii : 




IrtC*) 




do» 



I,, Google 



MITtaPB PRËSfStT 



(«1^ disant (tii) parlant 
it(é) - Amntif) 



On ■ vu an $ 194 que l'indicatif prétérit compoaé de tout 
Ici vcrbci catalans ic fomuit eu faisant précéder l'infioiiit 
prêtent de certainci pcrtonnei dérivéu de uui; let fonnct 
nnlf, WM, Ttm on nnm, nm ou nrta et mtt ne lont 
usitée* que dani la formation dn temps en question. 



PARTICIPES PASSÉS IRRËGULIERS 

)}}• — On a déjl vu que les verbe* htm, Unir, Mr (é), 
un certain nombre de verbes appartenant aux clataet et tout 
' les verbe* appartenant aux groupes (1 l'exception de atadr, 
irtidpe poûé irr^lier. Tous ce* ver- 
» dont k participe pa*té ett le seul 
cnt être divi*ù* de la manière soivantc. ' 
terminés par iiur ou Uzar (4* claïae) 
passé en ajoutant nt an radical de leur 



de* verbes auivanu et de lenrt com- 

iKDiCATiF ramare 
pRËTËRrr passt 



n,r,„.=-i>, Google 



Ll» VUHa 


IHËGULinS 




oaUa, Inir 


uplgid 


cipigiit 


nnra, Imter 


ulgid 


olgit 


a4mr, amrir 


onqid 


«imgil 


OMn, f/Wir 


cregd 


tnjnl 


<«n, Jnmr 


liml 


dwt 


l«r..{4ir 


lagal 


lUDt 


MOin, («WHi-nV 


n««l 


•Wl 


pu»., f tore 


pumi 


pugit 


Hmr«,/./™mr 


plogui 


plognt 


,.to.f.».™> 


pojnl 


posnt 


riur», rire 


rigtil 


rigit 


Hkar, wt-piV 


»pig«i 


uplgut 


Mon, miir 


iq.1 


MgU 


TMiT, iVHir 


«iniid 


Tliigit 


TlW», TOTf 


Avil 


Tlunt 


▼oUr, ivh/wV 


..>lg.l 


nlr» 



})>. — Les verbes tennlncs par oMra ()° classe) fomieiit 
leur participe pauû en changeant oUUn en oit. Ex. : abael- 
An, abmiére — abitlt 

ExceFnoK. Le participe pass^ de teUra, Mre mal, est 
Mgit. 

)j(. —«Les verbes terminas par «Ura (j* cbsK) et par 
atn(l" classe) forment leur participe paisé en changeant 
nlra ou «Ira en et. 

Ex. ; aptnArt, apprendre — aprèi 
raBwtrt, remelire — ranèa 

ExcEFTioK. Le participe passé de vandra, vendre, est Tinnl. 

)Î7. — Le* verbes terminés par at» ou ampra, Ici verbes 
nfera, rR'«wi>etp«rdn,yvrdr«(t'< classe), forment leur par- 
ticipe paiié en chanjceant ra en at. 

Ex. : rafera, recevoir — rdit 
batra, itilirt — katat 



i>, "Google 



LU vnnt iRticiiUEU 



IM 



napn, romprt — napat 
ptrir*, ptrdrt — ftimt 
)jB, — Le participe piué dct wrhn «uîvanti et de Icun 
compotes est lenninic par git ; 



CâMft,/fl/Wr-Câï|«t 


Hiayw. /•/-(•«/« -»U»|rt 


MinJairenul — inJft 


«irCé),f/r<-rint 


taw.ffiwV-hant 


Ml«, «wV «n/KflM— Mlgat 


pwtàajm, apparltuir — fta- 


tMfr, tnvir ~ ItefHt 


Uagat 


Tildre ', tvhir — nlgtt 


parUnrer et rlàRrn ODt auii 


1 un participe pauO régulier t 


pwUBjBt, pUnrBt. 




)S9. — Le participe pa»»i 


es vérins suivants et de leori 


conipo»iï wi terminù pjr art 




eebrir, timvrir — eobert 


•torir.r/nV-otirt 


ciinpllr, ofWM/'Kr — c»- 


napllr, ra„plir - onpint 


plart 


idrir, miffrir — aetort 


MUblir, //«Mir — MUbltrt 


npllr, siipt^ttr — nplnt 


obrir, ouvrir — obwt 




jfai.— le participe pasié 


ei vvtbe* suivants et de leurs 


compoifi ne rentre dans aucu 




«pweikir, pripartr - »fr- 


«pinrar, [wisier — «apta 


Uknt 


Mcrinre, Arire — MOiit 


donre, ehre — elM 


MUjByar, urrer — ntnt 


coDcebir, coiieewir — eonce- 


ht(é),fairf-Ut 


bDt 


baOn. foudre ~ in 




(■prinar, im^mtr — ii^cèi 


COMUtt 


■Orir, mourir — man 


cenn, cuire — enit . 


fntn./vstr — vost 


dtir, Iwler — dut 


Umin, tmdrt — tM 



. L-infiniiirdc nldr*, d'eqniraldr* «i 
»TCler, «(toiTalar, preTaler. 



r.(,t,7=-i>,Got)gl 



•iMUenn }47 b«nr« 146 



Mfen ifï 
eaUre ]4i 



196 LES VERHS IMfiGULin* 

Itrea:, fitnfr-; — tort 1 vran, iwir — tUI 

tmn, firtr — trrt | 

Le participe passé des vcrbci lerminis par scrtire csi » 
mini par mtU. Ex. : ÉMorivn, iicrirt — dMcrIt. 



'E DES VEXBLS IRIIËGULIBU '. 

M placés cil regiTi] de chaque verbe sont ceux 
M du ptL-sent ABRtoÊ ns cmmuaire indiquant 

•Ttiirjji ooBCirrtr )fo 

batr» }40 cofflèixar )4} 

eonfondra ]4l 
uniantir )4i 
conatrèiirar ]6o 
consamir 141 
Mntwiir }o8 
coatradir jja 
eoDtralar ) J2 
coatraara 347 
coBvaniT }5i 
tAmt 3 jo 
comapoBdra ^42 
eomBpra 340 
coiir 34 1 
cours 348 
erAzor 344 
cranro 347 
cnizir 341 
enlUr 341 * 
cupUr ÏÎ9 



circuBieritira 349 
clonra 348 



eombatro 340 



340 
■ Î46 

oomparèUsr 34; 

conptodra 343 

oonplaura 349 
H» 

___ )4o 

OMCoblr 360 
«348 



I, Cdw llttp ■( «oiBfttni qnc la nrbci Irrigattan lu pin* BMd*. 



ogie 



LB VHRIO UlÉeUUKM 



dflbatra }40 

dMian 149 
dtcrélsar H4 

_., rt )4) 

dMapariijur )4f 
dsMpmidr* }4) 
il*MUii4n 341 
4eMvenir jji 
dtKlonn ]48 
dMCobrir 359 
dMcoMpendra 342 
dueonèixer ^4; 
dMcotlr 341 

. dMcrinn 349 
4Milir 3 s 1 
dAMixIr 330 

■ dnsnUnd» 341 
dtifar 3;i 
daiBonUr 341 
dMmsrèlMT 344 
dMpandra 343 
dupUnrs 349 
dMtdrcer 360 
deUalr 30S 
dinr» 34^ 
dir 3 sa 
diicdnvr 330 
diMldn 341 . 
dUtreora 347 
doidra 34 a 
domlr 341 



' «iilr 330 
•mpandra 343 
•npisTar 360 
• )4a . 
«348 

_■• 341 

•ntraUnir 308 



•qnlnldrt 341 
•qniTaltr 34a 
wcann 349 



Morlnn 349 
•WHillir 341 
Monpir 341 
•raranrir-H 341 



3Î2 
•ttrisyar 360 

•wloiira 348 :. 

« 342 . 

•Ï47 
IW3S1 
fondra 34a 
Ingir 341 
gnajrir 341 
havar 308 



Udanra 348 



_ ^ Î40 
Inlarraair 331 
janra 347 



■ 340 
r 30S 
■aBilr34i 



woldra 34) 
morir 341 
■aura 346 
vBBjlr 341 
BJixar 344 
abrlr 341 
«bUnir 308 
ocimr 330 
afawlra 34a 
ofarii 339 

' amatra 340 
OBpllr )4i 
P«*M' 34Ï 
pandra 343 
pndra 340 

• pannatra 340 
p^rUnrar 338 
fIiB7»3J» 
pUnn 349 
ploora 346 
podar3Si 



l.tS VKRBES IRRecUUERS 

rrfonAr« y\i 
nmttn }40 
rtaoldn )4a 

1 346 



nolovri }48 



Ï44 
npendre 34] 
ratoldr* 343 
rMp«Bdra 342 



' ruamir 341 
raunir 308 
nt^nvc 3to 
retrvan 347 
nmdra 341 
rennlr-H jfi 
rertori 349 
nrfsn 349 
rinr» 347 
ronpr» 340 

UlMT 3SI 

HtUfar 3J3 

Mntlr 341 
MF fii 

■obrtbdr 330 
Mbmtwdra 34) 



■olrir 3 J9 
■olar 342 
lamtXn 340 
■ODiolir. 346 
•oariora 347 
■i>rp«ndr« 34) 
■ortir 341 
loiUnfr 308 
T3S1 



■RpUr 339 

' Î49 
'34J 
M47 

Unir 30S 

tondra 342 

ttocar 360 

touir 34I 

trauerinrt 349 

tnnunetr* 340 

tnnra 347' 

▼aMr» 342 

■nUt 343 

Tsndn 343 

Tuirjji 

■• H» 



Mknvinrt 349 Tolar 331 



-i>, Google 



CHAPITRE XIII 
LES ADVERBES 



I. ADVERBES DÉRIVÉS D'ADJECTIFS . 

jéi. — On peut former de* advcrbd en ajoutant ■Ht(i) 
au fihnînin de la plupart de* adjectifs. 
. Ex. : aUarutln, âUenialht — alUTBaUnwMit (0), «/- 
Urnaliwmeut 

(é), txâcltmtnl 
(i), faeileiutHl 
(^), beurtuumiul 

(i), îiuasam- 



.atO.faeiU- 
ftliç, beiireiiu - 
incMianl, wasuiih - 

HItllI 

noble, iicble — 

plma, pltiiH - 

regaUr, rigalière — 

ÎMTia, umnle — uvlaMat (é), mwmwwm/ 

nUctoat (i), sttffisaaU — nUeluibMat (1% sufi- 
sammtttt 

TiolnU, vuUhU — TiolmUmaat (éj, viahmmttit- 
jé). — Quand deux ou plutienn adverbe* terminé* par 
Hut (i") le auivent, on peut retrancher cette termiuaiion 
;! ne la conicTver qu'au dernier. 



(£), HobUmtiit 
(i), pUintmenl 

(^)t r^Iiirtmtnt 



(i)o 



LES ADVnBBS 

— Vmi avti parti franthtmtttt tl savam- 

PItUt 

TnbalU tant lipMa a«H BMrUdBsnt (û) — Il 
travailU avtc aiilaitt de rapîdiU que de siiecii 
]é4. — De mËmc qu'en français, certains adjectifs peu- 
vent £trc emplo}-és adrcrbialement au masculin singulier. 
Tell sont : 

■U, batil, hatiîtmtiit tni, froid, froidniiriil 
baix, bat nUlcr (à), meiUtiir, mieux 

elor, clair, claireuienl pitjor (A), pire, pis 
un, fort, forlemeHl etc.. etc.. 

La plupart de ces adjectifs peuvent recevoir U désinence 
Mat (6) : alUKMt (é), claranrat (i), etc.. MUlor (à) et 
fl^or (fi) ne reçoivent jamais cette désinence. 

j^j. — D'autres adjectifs sont employés adt-erbialement 
an OMiculin singulier, mais ne reçoivent jamais la désinence 
KMit (ë). Tell sont banU, bmi martbf; car (r), tber, etc. 
]66, — Tous les adjectifs 'ne forment pas des adverbes 
terminé! par ment (é); on évite ]i;énùTalement de former des 
mots dissonant* ou trop longs. 



COMPARATIF DlîS ADVERBES 
. iéj, — Les comparatifs des adverbes (égalité, supério- 
rité, infifrlorité) te forment de la même manière que ceux 
des adjectifi, (^ laj i tij.) 



SUPERLATir DES ADVERBES 

Sl'PERLATIF tP.LATIF 

)(i8. — Les luperlatifs relatifs dei adverbes (supériorité. 



■ i>,Gooylc ■ 



ioRriorité) m fonncnl de b mtmt nuaUfC que ceui d« 
adjectif*. (^ ia6 et l)?.) 

SUmUTlf ABSOLU 

169. — Le luperbtif abtola do adveibct peut m rendre 
de deus nuniérct : 

I" En faÏMiit prêcher l'adveri» de boU (6), Ms, 
Meu, fui. C'en le luperiatîr que l'on emploie le plus tti- 
qucmnwnt. 

Ex. : Ilpm-141 Irb ihqummtiil — Ta parlar Bolt (A) •!•- 
qUBtant (é) 
3* Eo ijoutint aMt (£) au second inperhiif de l'ad- 
ieciif: 

u, Irh hêul4 — aUfMUaaanl (é), Iris bêu- 



170. ~r- Les adverbes français de quantité beaucoup it, ptu 
Ht, Inp it, eiset it. tomUea de. aiilmil it se traduisent par 
des adjectifs catalans qoi s'accordent avec le substantif auquel 
ils se rapportent. Le ib ne se traduitpas. (Voir J 184.) 

171. — Les mtmes adverbes français, non suivis de it, 
se traduisent en catalan par le masculin, toujours invariable. 

Ex. : Th as htauentf dormi — Haa dwil mcSt (A) 
J'ai Ir^ Mengi — Ho Msi^at Baua 



II. REMARQUES SUR QUELQUES ADVERBES 

Plus et Moins 

J73. — ...it pjus, ...de mcim se traduisent soit par ...■!•, 



I, soit par .. 



r.Gtfec; c 






Ek. : Jimi a UN eîmal i* plus — Kb Jmb té «■ earall méi, 
ou ; da mil. 
"Tm as vingt eus Ht moins que moi — Tau viat «071 
Mniu ^» jo 
)7). — plus dt..., moins lU... inivia it'un lubtuotif ou 
d'un adjectif le traduiient par ■<■..., ■•aôi... 
Ex. : Jt son maiultiiaiit avec plus de plaisir — Ara nrla 

Il peu! parler avre moins de difficulté — toK fxUv »m 
MBU diilcallat. 
J74. —plus de..., moins de... suivis d'un nom de oombre 
M tradnitent par mit de..., menoi de... 
, Es. : Je eoiiaals dans celle ville plus de dix personnes, mais 
moins de vingt — Conee es «qneiU dnUt kndt de 
4è« fvnovM, perb manoi de Tint 
)7}. —plus de...qnt de...,moiHtde...!juede...sui\\i d'un 
tnlutantif ou d'un adjectif se traduisent par née... qoa..., 

Ex. : Jlya plus de Francis que d'Anglais à Barcelone — 
■i ka met traBceioi qu lagleaoa a Borcaloiu 
, Il y a dans telle fabrique moius d'ouvriers que d'ou- 
milres — Ba aqueeta fikriea U ka mauM obrer* 
(é) fu ebreraa (é) ' 
)7é. — le plus de... que, le moins de... que, suivis d'un tubs- 
taniîf OU d'un adjectif, se traduisent par qsentméa..., quant 
■i«ei..., et l'adjectif qnant s'accorde avec le substantif. 
Ex. : Aie le plus de patience que lu pourras — TiB|[ua quanta 
Méa paeiancia pngâla 
Ayei le moitis d'ennemis que vous pourrez — Tanin 
qnuita Banea eneaica yngnan 
)77. ~ Upliii Cet un adverbe) que, le moins (et un adver- 
be) qm, ae tndaiscnl par la ■4a... qna, M naBoa... qna. 



IJiS ADVKIIBES 30} 

Et. ; TravallUi h ptiii iuUHigemmenl qtu vous pcnrrt^ — 
TribalU lo nrfi iBtaUlgoBtmrai (é) fM pngnl 
Il a marché h mains vile qu'il apu — Ba eudaat l« 
mnM dopTMu qu ha pognt 
}78. — U plus que, le wiuni que, auivis d'un verbe, m tra- 
duisent par lo mé» qn>, lo manH qni. Si le verbe français cit 
au lubjonctif, il se met en catalan au temps correspondant 
de l'indicatif. 

Ex. : C'est le plus qu'il ail /ù/f — Sa lo ■<■ qu ka Itt 

C'est le mûins qu'il fasse — Êa lo MOMa fna la 
K le verbe français est à l'indicatif fiiiur, il te met en 
catalan au subjonciif présent. 
Ex. : Travaille le plus que lu pourras — TrabalU U «éa 

qupngol* 

)79. — Lorsque U plus tie, le uuius de tout suivis en fran- . 

fais d'un substantif et de l'adjectif /«unM*, on les traduit paroi 

Béa, ol maUM, et l'article di-lini s'accorde avec le substantif; 

l'adjectif ^iiMi^/^ invariable en français, s'accorde en catalan. 

Ex . : Crf ilive a fait- le moins de fautes possibU — Aquot 

loixaUo ba lat !•• aonoa taltoa poaiaiaa 
jRo. — // plus, le moitti, suivis d'un advcrlM et de l'ad- 
jectif ^uiib se traduisent soit par la mé» (et l'adverbe) poa- 
aiUo, lo Bonoo (et l'adverbe) poaiiUo, soit par lo aéa on te 
■oaoo... qaa algni poMfUa. 
Ex. : Vetiei le plus vile passible ~ Vlagnl lo mé» dopraoïa 
poaalUo.'ou : ViBflni lo Mis doproiat qu U 8i|Hl 



poaxiUa 

}Si, — Plus... plus... se traduit par oi 
Mmiis... moins... se traduit patcammm 



lit paroi 
Mniii... plus... se traduit par corn UMoa... nua... 
Ëi. I Plus je travaille, plus je gague — Corn mh tralMlto 



M4 LES ADVeiBKS 

Dam le* ciprcuioi» citfn cî-desius, lorsque plut ou luciiis 
•ont luivis d'un verbe (gvnéralcmcni le verbe élri) et d'un 
■djectif, l'adjectif doit, en auhn, sui\Tc immédiatcmciu 
mé» ou B^we; puit viennent le verbe et le lujct. 
Ex. : Plat il esl riche, moiiisjl eti bturetix — Coa nU rio 
<•, Hanoi fiUç et 
Plut j'iluâie la imliirr, plus l'bainmt mt lemblt pflîl 
— Cou até» eituAfe la natura, afa petit me ara- 
blallwae 
Plut une niaisen itl ptlilt, mwit file mt pMl — CoB 
M<a petiu éê ua eaaa, nuaoa v'agraila 

Taiil et Aulanl 
)8a. — Twat est parfois adjectif et s'accorde, ainsi qu'on 
l'a vu (5$ 184 à aSt), parfois advcrb:, et est invariable. 
)8}. — Tant que te traduit par tint Mm. 
Ex. :Jt me pnmine'ItuH jur je peux — £■ paaaets tant 

e«pM 

184. — Tant... que K traduit par tant (in^'a^iable)... o«h. 

Ee. : Lit toUah, lanl ealalam qii'aragmiaii, furent courageux 

• — lia artdata, tant eatala» «na arafOMiM, Taa 

•ar (£) Talnta (é) 

■ ]8}. — 7*aH/ j/... fnc se traduit partant(qui l'accorde)... 

fM. 

Ex. ! /f A reçu laiit de bitsinret qu'il esl nurl — Ha raknt 

tantaa larUaa qna ha nort 
]8<. — TiiHl mieux te trad uit par millor (A) qne millar (A); 
lëHl ^s ae traduit par pt^r (6) qne plMor (A). 



187. — AiibiHl qui ac traduit toit par tait qu, toit par 



'n,.,-i,7-i>,Gougle 



LEt AUVE>»!S 30J 

Ex. : /( travailU autant qut j* peux — Tnkallo tut qs* 

fis, ou trat BOB yoe 
)8S. — Ànlaiit it... (et un lubuaalif) qtu %và"\ d'un lub- 
lumif, il'un pronom ou d'un verbe le traduit par taM (qui 
t'accorde)... et». 
Hx. : Ils mit autant de maîuiis qut mut — Tmm taatM 
cauf eon noaaltna 
Paul n'a pas autant dt cbtvaux qut lu le dis — En Ia> 
no té tanta eavalla ooh In dln* 
189. — Autant... autant... tuiv» tout deux d'un veibe 
(généralement le \'erbc Hit') et d'un adjectif, attribut de ce 
verbe, K traduitcnt par tant... coaa..., et l'adjectif doit suivre 
immédiatement tant et oaa. 
Ex. : Autant Pîtrrt est travailltiir, autant Paul est paretttux 
' — Tant traballador (6) 4i en Fan coA paraaéa la 
an ttm 
i$o, — ij'a»/ait/^lu;(ct unadjeciiQfuc... //iu(et unid- 
jcctiO M traduit par tant Mtfa... «■ liée. 

d'autant uicm(tl un adjcctiQ ;»«... moins Çtt unadfCctiO 
M traduit par tant aMoca... con masM. 

d'autant plus (et un adjeaif) juir... moins (et ua adjectif) 
se traduit par tant vit... con mansa. 

d'aillant moins (et un adjectif) qat... plus (et un adjectiO 
se traduit par tant manoa... e«m mi». 

Dans ces diycraes locutions adverbiales, tant est toujours 

invariable, et le sccbnd verbe qui, en ''rançai*, est placé 

entre que et pins ou entre qne et moins se trouve, en caùlan, 

rejeté i la fin de la phrase, après l'adjectif qui suit le dernier 

nia ou MMioa. 

Ex. ! Jtau est d'antant pins beurenx qu'il tsi plus riche — 

Kb loaa éa tant mfa faliç eeni mia rie éa 

' Ctltt marcbanéist est d'autant plus mauvaise qu'tUettt 



- AftwtU narcadwfa t» Unt méi i 



pliii vuille - 
lanta con nrti TiUa H 
.J91. — d'avlitiil pliii ée (et un substantif) 91W... plus 1 
un adjectif) se traduit par tant met... um met. et tant s' 
corde avec te substantif. Les locutions adverbiales timilaii 
M tradniseat J'une manière analog^uc. 

El. : Mou pire a d'aillant plus H'amI'ilim qu'il al me 
riche — El mm (£} para U tanU néa anbli 
OMB Banei rio <■ 
193. — faiilaiil plut ic (ut un substantif)..', qut... plus 
(et un «ubstantif), >e traduit soit par tant mb... qnaiit m 
loit par tant mi»... mm mit; lis mots tant et quant s'acci 
dent avec leurs substantifs réciproques. ï^a locutions adv< 
bialci limibircs se traduisent d'une maniùre analogue. 
Ex. : Ce ilieiisienr a i'milaiil moiiii d'emitmis qu'il a plus 
forluiit — AquMt Hnyor (o) ti lanta mmot m 
mis» qoanU ni<« (ou : cam méa) fortnaa ta 

Aussi et Si 

)9). — Aussi... jHt se traduit par tant... cm (voir § 12' 

Es . f Ce vieillard al aussi aimé q iir respeelé — Aqneat wM ( 

tt Uit astlMit e»v raipMlat 

// est aussi heureux qu'il le iil — Ëa tant feti; um i 

Il est aussi jeune qu'il tsi ferl — £■ tant jere con l( 

)94. — il (et un adjectiO f' *c trad'uit par tant... qna. 

Eï. : U est si brave qu'il n'a pas smi pareil — tt tant » 

tant (é) qna no U ifnal 

Mieux 
)9f . — Mieux oppoai i pis se traduit généralement f 



.■i>,Gobgk- 



, LU AOVEEin 307 

Ex. ; Jt vtux un treymi mieux taUU — Tai ■■ Uifiç met 

bwtaUai 
/mm ftf mieux élevi que Patii — Sa Joas <• vfa ha 

oriat foa m Fan, ou : ^u ao pu an Paa 
jjé. — Mieux sigaifiant plut, imanlage, K traduit pir met 
lix. ; fitime mieux la bière que te viu — iraaUBe mia la 

oarraaa qaa'l Ti, ou : qna m faa al vt 
}97. — Falair inieux dam le «cm de avoir pins ilt valeur te 
Jraduît par raUra mia. 
Ex. : Ma monlre vaut mieux que la lieuut — El awa (é) rallat- 

.|aTala<aqBaltoa(é), ou : qna no paa al taa (<.) 
rn/nV mitnx dans le lens de Ure prifirablc ta iraduil uniôt 
far aar (é) BlUar (6), taatôi par valdra mU. 

Ex., s II vaul mieux st laire — Tal mit oallar ou ta ■!- 

llor (ô) oallar 
)9S. — Mieux iQdi<)uant l'^t de tutti te traduit toit par 
Billar (ô), wit par aiéa ké. 
V,t.i.Le malade va inieux aujmr^ bui qu'hier — D Halalt 

Ta adllw (A), ou Ta via W tTai faa aUr, ou qaa 

ao paa akir 

Oà ■ 
}99, — ^ «A se traduit par m devant une contonnc ou 1 la 
nn d'nnc phrase, par ont devant une Tojrelle. «a et eat peu- 
vent Cire prùccd£s des prépositions a, 4', par, para On iatt 
en un seul mot aoa, aoat. 
Ex. : Ou va T.? ou Aoa Ta T,l — Où allei-vouif 
Ont M — Où fil-ilf 
B'on TftuT — Z)*cà meus^u? 
Par on puuuwt — Par oit paofrout'ueutt 
L'orthographe ' la plus asuclle 6crit boa, koat, ahoa, 
aheat, etc. 



t o . k 



4O0. — SmtVtHl K traduit soit par Mviat, soit par Ut 
«tlat, Mit par Msitu ngadM. 
Trit fcuvtHl K traduit par aolt avrint, loil par molUialsM 



Ltpbu smvtHl K traduit par lo ■<■ Mriit. 
Taillai 

40t. — Taul^ ou /dm/ a t'biHrt indiquant un tempa païav 
(c traduiacnt soit par fa poe, soit par ns ta gain. 

Es. : Nous l'avons vu tanlil — L'haran viat la poe, ou : 
L'hann Ti*t m ta galra 

TmlM ou Imit à l'heure indi<iuant un temps futur se traduit 
•oit par ara, soit par an mMx; ces expressions se placent 
ordinairement avant le verbe. 

El. : Il rtvUiidra loul à. l'heure — Ara vindri, ou : lia 
BataixTtndri 

403. — Taillai... laiilâl se traduit soit par an... ara, soit 
par ja... \à, soit encore par fMi... qnan, ou par tant avUt... 
laataviaL 

Ex. : faiilôtUécnl,taiilitHparU~àn.WÊmiw,vnfÊiU, 
ou : Ja taetta, ta paria 

Qiu 
40). — Que. comme, combien employé* exclamaiivcmcnl 
te traduisent par qaa, qui doit Cire immédiatement suivi d'un 
adjectif ou d'un' adverbe. 
tx.:Qfuh mer etl Miel — Qm balla (é) da la Mari 

Comme OMS ummet loig Je la ville I — Qw Uor aoM 
Iakatatatt 



n,„i,7-i>, Google 



ut ADTiun 109 

404. — Qut it, duu le »eni de amUtn ii, te tradait per 
faut, qui t'accorde avec le tubttantif. (Voir % aS4.) 
Ex. ; Qut di maùmii — Qmaatea Mawl 

Qut it eoNfianetl — QwmU ooaBaaçal 

Quelque 
40J ^ Quelque pi^cidant un nom de nombre et lîgni- 
Itaat tttvirm, à ptu pris, te rend friqaenmeni an moyen d'an 
changemeot de tempt dn verbe qui procédé. 

L'indicatif prêtent françiit te traduit par l'indicatif futur 
catalan; l'indicatif impar&it (rancait te tradait par le condi- 
tionnel prêtent catalan. 

Ex. : Uya qutlqut ctnt tint — Farl ont (é) anya 

// y avait quiJqu* Irtnlt hommes — Hl kaorfn Imta 

On peut autti tradaîrc qutlque toit par ma», uoa, toit par 
eoia iê, prop 4». 
Ex. : m ma eant (é) aija, ou : Fa eoaa de cent (é) anfa, 
ou : T» prop es eant (é) anja 

406. — ' Lei exprctuont française* il peu! y avoir, il pouvait 
y avoir, etc., |7 dmt y aveir, il devait y avoir, etc.. te ren- 
dent toit d'une det quatre maniêrei indiquêet an paragraphe 
précédent, toit mot i mot par pot far (é), po^ far (é), 
etc.. dwi fer (é), iarfa l«r (é), etc.. 

407. — Si quelques rail un nom de nombre, on le tradait 
par tut», ttJitat (5 3)7). 

Même 

408. — Mimi te traduit toit par adbo», aoii par Ou (mot 
à mot fusque, jusqu'à'), 

Ex. t 11 eraiul mime un tlneu — Tmi idkM ■■ fot. ou : 
Taaifiuiafa( 

I 



..Goii c 



SIO l» ADTEIBB) 

409. — ' Mimt placé en françaii aprit le deniier tulntaoïit 
d'une innmération, doit le précéder en catalan. 

Ex. : lu oiseaux, la planta mimt... — oU aocoUi i atUino 
iM plaatM... 

On peut >u»i, dans ces sortes de phrases, employer 
miMt adjectivement et le traduite par mtcU, qui l'accorde 
et le place avant le substantif : oU ■■calli, Im mataliM 
ptaatM... 

410. — Pas mimt se traduit par ni UBt mU; il peut aussi 
le traduire simplement par ni, lonquc ce mot catalan est 
saivi de ■■, uu, uti, une. 

Ex. : ft nt ptux pas mimt tt priltr cinquanlt eintimes — Ne 
pae presUr^to ni tait aoli dnguanta clntima 
Jt IM lui detmtrai pas miiiu un verre d'tau — No 11 
éemard ni tait lola on vaa d'algaa, ou : Ne U io- 
■ar< al BB Taa d'algua 

LOCVTtOHS ADVEKBIALBS HËOATtVES 

411. --W(...fiM lignifiant «u/mMut se traduit d'une des 
maniéret suivantes, dont ta première est la plat usitée : 



Bo... altra eoea qne 
: /{ ne vient f ua rartmenl — No va alaé nrta Togadei, 

ou : No mes va qsa ram Togadea 
/mh ut ait gue ies sottises — En Joa» ne din iistf 

koatioMa, ou ; En Joan ao méa dla qaa beatiasai 
Il nt ptnst qu'à lui — No paaia àa.i oa ell (é) 
ft n'ai mangi que du pain — No ha ivenjat liad pa, 

ou : No méa ho aoaJatfM pa, ou : No ho Hanjat 

titra Mta qao pa 



■G<.>('HjIl' 



RnfutQCE. On pent luui traduire tu... qiu ligni&inl seu- 
hmtnt par mU ou Milaarat (é), qui le placent loit immé- 
diatement avant le verbe, wît immidiatemeat après. 

Ex. : Cri enfant ntfûU qut et qu'il vntt — AfiutU utatait 
•oli fa, ou aeUnnt (€) fa lo qne vol, ou : AfOMU 
orlâtora fa mU, ou fa aoUmst (é) la qu vol 
Paul ne peint qu'à sa mèrt — £■ Pas lola p«ua, ou 
•olamant (£) peua «a aa aura, ou : En Pas paua 
iob, ou panaa ioUaMsl (é) on aa man 
411. — Ne... qiu... et que te traduit par bo... aiao... i ou 
par ao ■<•... faa... I. Comme on le Toit, le Kcond qta fran- 
çais ne te traduit pai en catalan. 

Et. i Tii n'aurai que deux chaises el qm deux tables — H» 
tiadria tiai dagaat eadirM 1 dngoM taolat, ou : 
Ho nUa tiadria ifn dagoM eadiraa t dagme taalM 

413. — Ne... plus $e rapportant k la quantité >e traduit 
par no... met. 

Ex. : J'ai mengiasstidepcmiiies:jeu'tuveux^ui-!-H1ui 
Heafat proa pomat : ■w'a val méa 
- Ne... plus *e rapportant au tcmpi te traduit par |a as. 
Ex. : Hitr mon frire avaif te livre : aujourd'hui il ne l'aplus 
— ihlr fll maa (é) oami taala aquatt lUkra : and 
]a ool té 
/( n'eu puis plus — Ja ne pao 
// tit savait plus qutfmre — Ja aa aaUa qai far 

414. — HPit ^/ui et ^ ifava»/<i;( le traduisent par tuapoo. 
Ex. : Je nt sort pas; lui aou plus — Ho tarta; oll (é) tampoe . 
ni... UM^/i» te traduit par ni... tampoe. 

Ex. : Il m veut pas, m'xm mm^Iw— EU(é)BOTd, nijo 



'tiS> — pas encore te traduit p 
avant le verbe, on par m... oaeai 



a aa, qui t^ place 



" n„.=:,>,Gf 



lia in ADTBMBS 

Ex. : Il n'a pas eneonfimiM travail—taoïnao^uiàhàt 
•lwm(i}tnbaU,ou : MokaaealwtniMn1im(é) 
tntaU 

416. — Pai It mmi iu mmii te traduit par i» cay ho- 
a«rt. 

El. : Vtux4u y albrf fat h moins du moude — Bl toIi 
■■■rt D««r ■■xn 

417. — Le* adTcrbo suivints deviennent det locutioni 
prépotirivn lonqo'Us (ont luivis de do : 

abau, avant, anparmMut abuu i*..., avant... 

lianrfa, en autrt advnét de..., 0»/»... 

dunut,<binu damniitdo..., ;Hr 

iàittn, ierriirë, en arriirt darma ta..., dtnièrt.,. 

danat, Atmut, $n ték davant da..., devanl... 

iatftéa, depuis ittftii i»..., après... 

daaaota, destoui daaula da.... sous... 

Omin, dedans Uatn tt.,., dattt... 



III. PLACE DE L'ADVERBE 

418. — L'adverbe se place presque toajonn devant les 
adjectiCi, les participes employas adjectivement et les 



Ex. : fûri lammt — molt aavi 
assti tard — p»n tard 
mal fait — mal ht 
Iris/Mtmtnf — BOlt tortaiMBt (é) 
415. — L'adverbe se place tantôt avant, lantàt apria le 
verbe, nuis généralement après ; dans les temps camposèi, il 
se place après le participe, jamais entre l'anailtaire kavar et 
le participe. 



D,3t,7=-i>-, Google 



LU ADVUBES 91) 

El. : tt ne f amuse pas tuux, — Ns'a dlTtrUix pnn 

Mm fiU a Irep IravaUU — U an (<) HU ht tn- 

MUtBUU 

Mii> si l'aiulliaire cit le verbe nt (é), l'adveibe (si c'est 
un adverbe .de quantité ou de nunièrc) se place presque 
toujonrs entre l'auxiliaire s«r (é) et le participe 
Ex. ; Ct Uort at leujwn lu avec pUisir — A^Mit llik* <i 
MBfro Uvglt •■ gwt 
Si tu IravmIUi, tu utms hitM rkmHptttti — 8C tnta- 
. llM, Mràs kM nooMpsuat 



CHAPITRE XIV 
LES PRÉPOSITIONS 

I. PRÉPOSITIONS CATALANES 



410. — La préposition a (u devant une voyelle) indique, ' 
■prêt on verbe de mouvement, l'endroit vers lequel on va. . 
Ex. : atltr eu Calnlegiit — aKsr a CaUlnn^a 

Ttleunttr à Bareelont — tarnar a Barcalcaa 
// alla m jimirique — Ta anar a Amèrioa 
Nt âactndspas dans la rm — No baizU al carnr (£) 
^ais devant le nom d'un endroit fermé dans lequel on 
entre, on emploie de préférence ta. 
Ex, : Il mira à ViteU — Ta ratrar n l'MCOla 
431 . — a te place devant les infinitifs régis par an verbe 
indiquant mouvement vers un endroit, infinitifs qui, en 
français, ne Mnt précédés d'aucune préposition. 
Ha. : AlUnt nous prementr — Anav ■ pHMJar 

Nt Mi pas iitur avanl 7 beuret — Ho vagla a dinar 
abau da iM ut 
431. — a se place presque toujours devant le complément 
direct des verbes actifs, quand ce complément direct est un 
nom de personne. 



■G<.>(Hjle 



El. t Albtrl axm§ ton frirt — L'ilbart MUna al im gwai 
// (M at hcmnu — Ta Batar aa aq«A koaa 
aimir U frtebai» — aaar al irtaiM 



43J. — aa^ mte (aMk dfrairt une voyelle), ett toujoun 

«primé en caUbn, même dans Ici «prCMÎoni dani lea- 

qaeltet tvte est iou»«irteiida en innçùt. (L'orthographe la 

plui nmellc écrit ak.) 

El, : Il dûrmait Us pux euvtris — Dorala unb aU alla 

obarU 
434. — tm répond aux préposîtiont fraaçaitei par, it, sur, 
lonlcalct foi*. que ce$ prépositioni équivalent 1 «tw. 

Ex, : // ebarma loul U mondt par sa maniirt it parler — 
Eneantà a tot-hem par la aara (é) maaart do 
parUr 
apaiser par its priirts — aplacar «m praca 
Je vous le prouverai par des faits — Lld p 



Celle fialwn s'appauvrit par ses guerres — 1 
naoU a'anpobraii aat laa «avaa (é) goarraa 
JU le iivoraienl du yeux — El danraraa amk ab alla 
Il aime sa mers d'un amour sindrt — XaUma a aa 
■ara aad) anor alnaar (é) 
- li nom d'initrument est précédé, en catalan, de am. 
: pegar anb aa baaU — frayer tuu hélan 
agalar anb al braç — saisir avec le bras ■ 



416. •— da (*' devSDl une Toyelie) tradait la prépotitioD 
franfaiw à daot let cas •Divanti : 

1* pour indiquer h propriété. (Voir $ 4)i.) 



LBS PRÉrosmoNi 
: La maism al à mm onelt — La 



• w 



3* pour indi^aer la dntiiution d'une choK. 
^.i plat à barbt — kaelu 4» karka 

macbint i ceuire — vlquina ût eoair 
)* entre un verbe et un infinitif. 
Ex. : Il est à erart... — ta da etenra... 

fe Jonm à manger à mon cbim — D6na i» mantar al 

■ai(é)ge9 
Ctia eoâtt beaucoup à acquérir — Alzft owU malt, 
d'adqntrir 
4* entre un adjectif et un infinitif. 
El. -./Kilt à dire — fidl «a dlr 

4S7. — 4a précède toujoun le noip indiquant la matière. 
Ex, : eotra ia tnaU — coffri en boa 

Taatit de llana — vilement de laine 
rtUetga d'or — montre en or 
418. — da t'emploie devant un verbe dans lei «prcs- 
■lon> analogue* aux tuivintea : tenpa (é) da aambrar, dfa 4a 
aaaibnr — temps faverabU pour temer, jour où Fou peut semer. 
4)9. — 4a doit précéder, dans lei dates, le nom du moi> 
et cdai de l'année. (Voir $ 14s.) 

El. : Fieb, IJ février 1900 — Tleb, 19 4* fekrar do IHO 
4)o. — Aprèi Ict préposition! et locutions prépositives 
a la vora 4a, pris de 4aTaBl 4a, devant 

al Toltant 4a, autour de 4oaaoU 4a, sous 
afNp 4a, pris de diatn da, dîtiu 

daBoat 4a, sur fera da, bors 

durais 4a, derriirt Unaj 4o, loin dt 

on remplace les pronoms personnels français de la i^* ou de 
la 1* personne par le* adjectiCi pronomioanx possessif* cata- 
lans, et on tupprine le 4a. 



;i>,Googlc^ 



D,g,t,7=^-I>, Google 



3l8 LES rKtPOSITIONf 

A Fanuét protbalnt — A'aqol a Vttj ^m y» 
à ItnlSt — d'iqil t «nyrii 

4)4. — cb<\ indiquant il maiioa d'une pcnonnc, ic tridait 
ptr t oâM i», Rvcc ou lani mouTcmcnt; rf« rlwt «c traduit 
par 4a eaaa da. 
Es, t J'ilaà chtx, mou ptrt — Ira a «aaa 4al wn (i) pan 
Il va chei h laiHtiir — Ta a oaia lai aaatn 
/( vaU (bij. Cbariet — Taig a oaia d'an Carlaa 
// tort it tbtx. Louis — Sort 4« oait <!'•> Llnli 
Oa peut Atiui contracter a oaia M ta a eal et a oaaa é'an 
enâ aaa: 

Téi a eal aaatra 
Taig a can Carlaa 
Snrt da caa Unfa 
4JJ. — Ofiind, en françait, tbti est luivl d'un pronom 
pcnonncl (m«, tiout; im, vont; lui, eux, tUt, elUs) on réfléchi 
(wî), ce pronom ne te traduit pu en catalan ai la phraie ne - 
prête i aucune équivoque. 
El, : Ji suis clûi moi — 800 (A) a oaaa 
* Nottt n'altoni pat cht\ nout — Ho anam paa a caaâ 
Strat-la chu loi Atmainf — Sarla a oau danit 
Ton ami eti ebti lui — El tai (é) amio <a a oaaa 
Ut ut terltnl pat it tbti eux — Ko anrtaa da aaaa 
Avoir UH ebex toi tt dit Taalr Hia poaada. 
Mala li ia phnie prOle i une équlvoqnc, le pronom 
fnii](aii qui mit thti ic traduit en catalan par l'adjectif pro^ 
nominal poaacialf correipondant, qui t'accorde avec le mot 



Es, t Vtnti chti, moi — TIagvl a eaaa ■ 
AlUiu tbei, vout -^ Amb • Mm ai 






LU pRfipotrnom 319 

4i6, — tbei luWi d'nn nom it pcaple oa d'an lubiuntif 
pluriel peut le traduire par nitn. 
Ex. ! CelU tottiumê txùit cht^ iti Calalaul — Ifuttt oet* 

Mm nltUbt mtra'b ctttiuu 
4J7- — ''"t lignifiint tu on dam te traduit ptr en, 
Bk, : Cbei Tbomittt VbaKltiit a uni granit puusana ^ Sa 

rhitiBfl !■ eofltaa U gna yodar 

iaiu 
4)8. — AiHi K traduit ordinairenientpir m, laufdani les 
eu luivantt ; 

dam indiquant au Iwut de combien de leropi une choM 
aura lieu k traduit par d'âfol a. 

Ex. : Jt sortirai dans Irais heurts — SwUrd fâqal t tiM 

bom 
datit pUc6 tptèi un verbe de mouvement et indiquant le 
lieu où l'on est m traduit par par. 
Ex. : Je nie pramlne dam 1$ jardin — ■• paaaa]» palfarfi ' 

Il courait dam la rues — Corria pela eairer* (é) 
dam ayant le lens de parmi te traduit par tntranig da. 
Ex. : // u perdit dam la foule — 80 ra pardre autramig da 
te gant (i) 

àt 
419. — <ff tuivi.d'nit Infinitif et employé expUtlTement ne 
le traduit pas. 
Ex. : Mieux vaal ilrt Ulire que Xitrt aelavt — lUa Tal 

aer (é) Ulora faa rio paa aaolaa 
4:40. — <b ne »e traduit pai dantlo phnuei analoguei ans 
inlvintei : 
Quel est le plus travailleur, de Pierre au de Paulf — Qola tfa 
al ■<■ Ir^allador, aa Para a an Pas T 



<,;le 



MO Les PRtrasrnom 

, LaqiulU dt en deux etuUurs prifinx-v&us, et uUe-ti ou dt 
etUi-làf— Qniit 4'MiiwU ia» (A) eelon f nftraiz, iqurt 

• tfWllt 

441. — Tout» les bii qae Je a le seni de «wc, on le tra- 
duit par «■■ 
Ex. : Ctttt maison est faiU dt boit tl dt pitrre — IfMaU 
eaia <a fêta aa faita I padra 
// U frappa iuH bâton — U Ta pagar anb u buU 
Vous Ht tavti pas vu de vos ytux — Ho ho ha Tial 

aab «U ••» (é) alla 
Il U paya dt mauvaias raisons — El va pagar aa 



441. — nt pbcè devant un nom de pays te traduit par a. 

Ex. : aller en France — a>ar a FMaga 
ilrt en Espagne — aar (é) a Eapanja 
vivre eu Catalogne — vlara a Câtalnafa 

44]. — eu devant un nom de vilement ac traduit par le. 

Ex. : en reiingeit — do larlu 
Un en îtuil — anar de dol 
fhabilkr m matelot — TaaUr-ia do marinar (é) 
déguisi en paysan — dlilraçat de pagèt 

444. — M le traduit par de dans les expressions analogues 
i la suivante : itudiaut m droit — eatndiût de llaia. 



III. LES PRÉPOSITIONS CATALANES por ET pan ET 
LES PRÉPOSITIONS FRANÇAISES pour ET par. 



44J. — pm- te traduit giniralement par por; cependant, 
quand far signifie mite, on le traduit par an (J 414). 



LBi ntirostnoNS asr 

446. — par, dcTaDIuadetiabitantiftun, )iwû,/Mir, etc... 
■c traduit par ta préposition »,ttit nibtuatif cit précédé de 
l'article. 

Ex. : // vital à Parti cinq fois pMr mmû — To ■ Farfi vioe 

TegBdMSlBM 

Charla gngHt trou milk francs par an — En CârlM 
guMvjt Uu mil biaot a l'uv 
Mais on pourrait austi traduire oida mai, ehaqiu môs — 
oadâ BBr) cbaqut année, ou eucore p«r aaa, par mnt — par 
•xj, par ait. 

447. — pour le traduit généralement par pan, sauf dani 
les cas suivants où on le traduit par par : 

I* valeur, échange. 
Ex. : intiril i / pour zoo ~ latarta al S par «ail 

// vendit son cheval pour cinq cents franet — T« «■• - 

dra'l um (é) caraU par olM eanU trama 
Ji donne hhmi manteau pour U litn — Drao (6) b ' 
■tara (é) cap* par U tan (é) 
1* aa lieu de, à Ut plate de. 
Ex. : Il s'est fait soldat pour son frère — 8« n far (é) aoMat 
pal aan (é) garni 
Je l'ai prit pour son cottsiit — Vh» praa pal aaa (é) 

î* CH faveur ée. 
Ex. ; intercéder pour quelqu'un — daManar par algi 
Faites-le pour lui — fael-ko par ail (é) 
4* durée. 
Ex. : ft sors de Tarragont pour deux mois — Ma'n vaif da 
TarraBena (o) par doa (ô) Maaoa 
j* opinion que l'on ■ de quelqu'un, 
^. t Cet homme passa peur trit riche — Aqual koaa paaaa . 
par Bilt rfo 



n,r,„.=-i>, Google 



LP; 



333 u» ntrosmoH 

6* i eaust de. 
El. : CegèniraitslaioriiUTarmitpourtmiMiaa — AfOHt 
gtutral <• tterat 4» l'nircll tn It nti (i) n- 
«acta 
7* tommt, ttt tant qiu. 
Es.*: Monfrèrt a un AngUùspour iomtstiqtu— El ■•■ (é) 
B«rmi té na faiglèi par criai 
/'ai adopté Jmi pour fils — Bt alopUt an Jo«a par 

fUl 
}t t'ai cbotn pour ami — T'ha alagit par amlo 
Datu le sent de comme, m Uinl qui, par l'emploie 
dans des cas où le français n'emploie aucune préposition. 
£x. : dar-aa par Tançât — s'avouer vaincu 
8* k Tigari Je, envers. 
, txi : l'amour de la mire pour sou fils — la paialâ 4a la 
■are pal (é) aan UU 
IM amow ^ur J< Jrnuif — al aai (£)■■» pal trabaU 
Cependant, dans le sens de à f égard de, envers, la pro- 
position pour pent se tridaire aussi par part on par aa. 
tM.. : Cil bomme ailé bon pour moi — Aqnaat koaa ha aatat . 
ko para ml, ou aa ai 
9* dans l'expression pour le compie de, 
Eiî ! pour mon compte — pal man (é) Donpta 
448. — par traduit aussi les prépositions françaises 4, liiiKi, 
M, i Irmers. 
El. I paaaajar-aa pal oaap — le promener i la campagne, A 
travers la campagne 
paaaafar-H pala earrara (i) — se promener dans Ut 

ruesi par Us rues 
Tlatfar par CatalBBjra — voyager en Calaîogne 
449. — eatar par a divers sens : 
Ex. I «tar par lir (é) tlfliia eoaa — Ùre di^ui à faire 



-i^,Goi:)^le 



31} 

ftwiftw cbou. Mais duu ce wni oa peut luui 
employer mu para. 
artar par lar (é) (en pariut d'une chose) — if Or* 
pas fait». Un àfmn 
4fo. — Du» lei locniKH» £rt homau à, Hrt ftmmt à, te 
prépoiition à te tntduît par pan. 
Ex. : Cbarla at bewmu i 'urt ala — la Cariaa <• kaaa 
para lar (é) aixft 
funiu ta Jtmmt A 4ir4 ul» — la Jaaaa éa Mm para 
diraU 



CHAPITRE XV 
LES CONJONCTIONS 



4J t . — NI te Induit par tJ. 

4ja. — Lortque m... m te tronveot cd français dans une 
phnie commeoÇMt par une n^^ion, on peut, en ciulan, 
m pas exprimer le premier al. 

Ex. ; Il nt se rtpKt ni jour »i nuit — Hl dueania ni 4* ait , 
ni i» dia, ou : Ko 4racuu de ait ai d«-dfa 

Mais si une inversion fait commencer ta phrase cauUne 
par le membre de ptirase contenant mi... m, ctiacun d'eux le 
traduit par al, et le verbe citabn n'est pai précédé de no, 
eonformément & la régie értoncée an $ ajS. 
£x. : m «• dfa al de ail daman 

4J). — IM... HJ tw le traduit soit par ae... al, loit par 
■l...al. 

Bx.'.Ilnt Ml ni nt mangt — Ha ban al Bailla, ou ; RI 



414. — mA te traduit généraletnent par part, sonvent 
autii par ■tfa. 

4j j . — mait solfiant mait uakmtnl et mais stuhmtat *e 
tradoiictti loit par l a l aB aat (é) soit par a» met. 



„,Gt>o'^le 



us amjoKcnoKt 3ij 

Ex, : /( ne tiùs pas h prepritiairt it ait* mMseH, maà uul^ 
m*nt UgirtaU — M« MO pnpriêUil 4'afiMta «Mt, 
wU—it (i), ou u Mil ftr«A (<) 

4Si. — ^ MMÛ Km M traduit par ûmi, 

El. : Ct n'ist pas For, mail Km U Irmail jui/ëît la rideoi 
tant HaliM — Lo qi* tt U r^M» A**** iMlf 
M <■ l'or, tbUl trabiU 

4}7. — non uukmtni... nuit txcert et nm ituUmtMl.,. mau 
austi se tradaîient par bo ioUmmI (é) ...ti»A qu. 

Ex. : Nm $aiitmtHl citU humm n/ grande, mats mctn àU 
al Mk — Ho ulaBBBt (é) aqucU eaaa <■ gna 
■tai qM 4i kenlca 

fttf 
4j8. — f iK »( lignifiant pourquoi m traduit par parqni m 
' Ex. 1 Qut lit U iiiieiiMusf — Peifiè bo bo Mat 
que ne apréi un verbe marquant le donu, la crainte, 1 em- 
ptchement, le traduit par ^aa tant négation, si le verbe n est 
pat suivi d'un mot négatif. 
Êx. ! /( craint qu'il ne vitunt — lias por (é) qaa vlagal 
Tu amis peur qu'il ne /eu alW — TMfaa for (A) fao 
aaa'aaii 
Mail ai le verbe est suivi d'un mot négatif {pas, plus 
jaiaùt, atuuii, personne, rien, etc...), qut ne se traduit par qua 
bo; le lubjondif présent français peut se traduire par l'indi 
catif futur catalan, et le subjonctif impar&it français par le 
conditionnel présent catalan. 
Ex. : Jt trains qi^ii ne vienne pas — Tiao por (A) qa« aa 
viadrà (mot à mot : J'ai peur qu'il ne viendra pas) 
Tu avait peur qu'il nej'tu gllAt fat — Taaka p«r (6) 
qne «U (é) ao sa a'aalifa (mot i mot : qu'il ne 
l'en irait pas) 



tK 



U) CCWJOMCTK»» 



Aiiui ^'on le Voit, U négation ciUlane ne s'expdme que 
qauid il ('agit i'ant chose «jae l'on toahaitc. 

4Ï9- '~ 9*"— >"> précédé de flta, moini ou aulrt, te Ira- ' 
dait Mit par <• 1» q:aa, dal qM, etc.. mu* négation, îoit par 

«M... M. 

El. : Ji suis plus vitux qut lu ne croit — 8m Ktfa vall (é) 
de lo vne pi ai ii, on : l«e mât t«U (é) fM no 



4fo. — ummt, indiquant la comparaison a 

ment d'nne ptiraie, ic traduit par tîif cm; an ci 

tneat da Mcond membre de phrase on place abf. 

El. t Cammt U mallrt cemmandt à Tilève, Pierre communie 

. . è Paul — Alzf ««■ tl mMn Bua tm ai daix^Ha, 

•M an Pan aana a* m Pai 



ivpoti^le ■ 



CHAPITRE XVI 
SYNTAXE 



46t. — < Lei rigici d'accord lont lei mémei en catiJtn 
^u'en fnnçait. 

L'article, le lubitantif, l'adjectif, le participe, le pionom 
s'accordent entre eux en genre et en nombre. 

462. — Qjiind un verbe catalan conjugué avec l'auiiluire 

kavir a pour complément direct un des pronomi U, 1m, Iw, 

M, k panicipe poué s'accorde ivec le \r/Bom complément 

Es. : Mtt min. jt Ta vue aujcurflmi— L» aan (i) sun, 

"■-- . Vht tUU iTii 

Cil livres, nous Itt mms perdus — AqMtti lUbm, 

•Il bem perdait 
Les pluma, U ne les m pas trouvées — Lm ploaM, M 

)M ht tnbadM 
Ces pemmu seul très bennes : en as-tu mangif — AfUM- 
- tw pomai (Al malt h»«: aliai mtnjadMl 
Parfois cependant l'accord n'a pot lieu, surtout il le com- 
plément est kw : IqnetU lUtava, «la hem perdit. 
. Qjiand le participe passé d'un dea verbes br (i), faire — 
poder, pouvoir — Telar, vouloir, est suivi d'un infinitif, et 
que le complément direct en db des pronoms U, 1m, In, 
M, ce participe passé s'accorde avec le pronom comfdément, 
et le pronom complément se place avaal ratniliain htrcr 



t Tt Uttn, mia Tavont faU lirt à »« amts — La Ura 
(é) sarU l'han faU llagir a> ali Boitraa amloa 

Lts thtvaux, il n'a pu ks vmr — E|i caTalla aa la lu 
pofBtaTaara 

Cts ehosts, ils n'ont pas voulu Us ebercber — Aqnaataa 



Comme il nime la oranges, je lui en ai faU tnvoytr — 
CoKllagrsdaa laa tamgai, nid lia totai enTter 



COMPLÉMENT DES VERBES 

46}. — Si le cwnplémani direct d'un verbe actif eit un 

■om de personne, on peut le laite précéder, en catalan, de 

la préposition a. 

El. : ft sttours u« de mes amis — Sococro a un anlo nen (é) 

^WM aimons nos amis plus que umu-mimts — EatlnuBi 

as A Boatraa anUea aiéa qoa a naialtrai mataizaa- 

464. — On ne peut employer la prépotition t dam aucun 

4cs cat (uWanlt ; 

i*.devint dei nomt de peraoniiei pris dans un uns 
indéterminé. Ex. : iinrer i*s amis — daalMar anfca 

1* devant un nom de peraonne complément direct, 
^nand le verbe a auui un complément indirect précédé 
de cette même prépotition. Ei. ; eompartr Pitrrt â Jean 
— eaaparar en Fart an an Joan 

)• al le nom de penonne complément direct cit luivi 

i'tm pronom relatif complément direct d'un autre verbe 

et précédé luMuéme de •. Ex. : J'admirt let hommes que 

.M'imtmml pas Us rtvtrt — Adaln aU himeiia ala qoala 

, Bt ^nliB ali nrnaaa 



n,3i,7=-i>,G00t^lc 



ITKTAXÎ 139 

4*>prétle verbe ttalr, aimr. Ex. •.fâiittixama — lino 
dM (ô) bbIm. Mais ti le verbe Unir e«t prit dam le iea> 
de Muidirir, rtgaritr wmnr*, on emploie la préposition 
Ex. : eçniiJértr f u/f h'uk tommâ un bemmi Jt.gMi — tMlr 
•a elg< pw kom *» Ulrat (é). 



SUBORDINATION 

46}. — LoiMjue le verbe français est auivi de la préposi- 
tion â* et d'un in&nitif, et que le sujet des denx verbes est 
le même, le verbe subordonné catsian se met, comme en 
français, i l'infinitif, mais la préposition ii« ne se traduit pas 
Ex. : /( làebtrai dt lui écrire — Procvaié eseriai»- It 
Jt pr»mels it l'écrire — Froaito Merlnra-V 
h crains it parler — Temo paiiar 
466. — Lorsque le verbe subordonné français, pl»é après 
un pronom relatif précédé lai-méffle sOit d'un supedatit 
absolu, soit d'un des mots seul, premier, Jtrnîer, est an sub* 
jonctif, il se met & l'indicatif en catalan. 
Ex. : Ceil le premier ebevel qui mt plaise — Éa •! yrlKtr 
(é) cavall qu m'agrada 
Ce ebien est le plus beau fat fn vu — AfSMi goç et 
U ffl4a benle qn* ka vist - 
4(7. — "Après les verbes indiquant le désir, la tendance, 
la volonté, l'empêchement, la défense, la demande, la recom- 
mandation, le verbe subordonné qui, en français, est soit i 
l'infinitif précédé de it, soit au subjonctif précédé de qut, 
est presque toujours au subîonctif en catalan, quand les deux 
verbes n'ont pas le même sujet. 
Si le premier verbe est i l'indiutif présent on i l'indicatif 



- 3J0 tTtmtXB 

fiitur, le Terbeiuborjonnj catalan uraan subjonctif prisent' ■ 
(action préientc). 
£i: : Je éétire qut la toù content — Dwi^a qno Mtlgiils 

/< te prie de m' enseigner cela — Ta prago qm K'ania- 

nylialxlt 
ft lui dirai de paritUre content — li dlri qna. faot 
Taon 4M Mti MitMl (é) 
Si le premier verbe est à l'indicatif imparfait, i l'indicaiit 
prétérit on i l'indicatif pluMjue-parfait, le verbe tnbordonné 
catalan icra au lubjonciif imparfait (action paisée). 

Ex> : // lui demandait de ïni envoyer ia livra — U dama- 
MTC qM II anvléa Uibrea 
Il m* recommanda de garder m mami — Ha vi reco- 

■aaar (pia 11 guardéi la cua 
// lui demandai de retourner à Rome — U valg d«M- ' 

Mrqna tonéa a Rama 
Il aura demandé qu'on U laisse en Uberli — TUmik 
iMÊUUt qu'l dalzaaaia an UibartJkt 
468. ^ Le verbe subordonné se met, en catalan, au sut> 
iODCtif : 

!• Après les verbes unipertoonels.'Ex. : // est nécessaire 
que je sorte de la mUe — ta BMMaarl qita jo sorti it Is 
«total 

. On peut paiement, pris les verbes unïpenonnels, 
mettre le verbe subordonné i l'infinitif sans préposi- 
tion, si ee verbe subordonné est, en français, i l'infini- • 
llf. Es. ; Il est nkmairt de sortir — Éi naoeaurl sortir. 
1" Après les conjonctions terminées par qna ou suivies 
de fM («Mtni fat, quMque; pera fia, pour que, afin que, 
etc..) En. t Je lui parle peur qu'il u laiu — Li parlo par* ' 



!^Go()j^le, 



Cependant iprèi ncan fM, queîqut, et alif fM. iii 
qiu, ti 1> phrue «prime un &it tffinnatif, le Terbe 
inbordonnj le met i l'indicatif. Ex. : Qfmfiu uous tojoHs 
pauvres, hoiu vivons beurtux — laetn fM iOM polne. 
TMmftUcM. 

y Apréi le# Yerbes indiquant un doute, une suppoti- 
tion, une nation ou une înterrt^tion, %\ le verbe fnn- 
çait «t, lui aussi, au subjonctif. Ex. : Ji tu ptnu pas qu^U 
soil soidat. No «no que ligul Midat. — Nt çroy*\-vma pas 
qut ctia smtfauxf T. no eron ipia âlici oigBt Uil Cepen- 
dant, dans le> phrases analogues i cette dernière, «i em- 
ploie de préférence l'indicatif ; T. >o ena ^ii» aljcft <■ U«T 

4' Dan* le* phrase* négative*, interrogative* on daU- . 
tatives, *i le verbe «ubordonQé eM précédé d'an relatif. 
El. : CoHHois-itt un homme qui soil riebif — CoBOlwo a ■> 
homo qno ilgni riet 
469. — On a défi vu (J joo) qut le sut^onctif impar- 
fait catalan était souvent employé pour traduire l'indicatif 
imparfait français précédé de n et indiquant une action Gon- : 
ditionnelle ou un désir; on doit l'employer dan* les cas ana- 
logues, avec les autre* conjonctions conditionnelle*, telle* . 
<iat num^Mi quoique, bUn qut, ttc... 

El. ; Mimt fiiy avait la guerre, le commercé ne cesserai pas . 
— Ssean qu U hagiéi fB«m, no atm^cfal 
eontrg. 
- De même, l'indicatif plus-que-par&lt françaia le tradai> 
rait par le subjonctif {ffus-que-parfiiit catalan ($ joi). 



■ i>,Goo>^k 



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TABLE DES MATIÈRES 



CHAPITRE I — PRONONCIATION. 



n. LES DEUX ACCBKTS. — US TOTULU. 

III. tes CONSOHNES 

IV. LIAISOM 

V. STIUBB TONIQUB 



Vil. TMPHTONSDE . 
VIII. MODIFICATI 

tX. TRËMA 

X. SICMES DE PONCTUATIOH . . 

CHAPITRE II— LES ARTICLES a8 

t. ARTICLES DÉFINIS. '...... l8 

II. ARTICLES IHDÉnKIS 33 ' 

III. ASTICLES rARTITlFS )a 

CHAPITRE lU— LE GENRE J4 

' FOHIUTIOK DU FÉMININ 59 

CHAPITRE IV— LE NOMBRE 5a 

fcImutioh m plumel ja 

CHAPITRE V— LES ADJECTIF Î9 

l. cmiPARATiFS .■ J9 

H. SUPEKLATIFI (O 

CHAPITRE VI — AUGMENTATIFS, DIMINUTIFS 

ET PÉJORATIFS 64 



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m nlLB DBS HATIÈIIBS 

Pis» 

CHAPITRE VII— LES NOMS DE NOMBRE ... 67 

I. CAMHNAUX 67 

n. OBDtNAUX 70 

m. COLLECTIFS 7I 

' 1*. rÀtmiPS 7a 

CHAPITRE VIII— LES PRONOMS 74 

I. PRONOMS PERSONNELS 74 

Adjectift pronomin»» poucMifs ..... 96 

Le pluriel de niaieité ^ 

Les formules de 'politnte. . 90 

E-^y 97 

II. PRONOMS OtHONITRATIFS 100 

III. PRONOMS RELATIFS Io6 

IV. PKONOUS BT ADJECTIFS IKDÉTBUflHÉI lit - 

CHAPITRE IX-LES TEMPS DBS VERBES ... i}0 

I. FORMATION IJO 

n. SIGMIFICATION IT EMPLOI t)0 

CHAPITRE X— AVOIR ET ETRE. . . .' ij6 

I. AVOIK I]£ 

II. ÉTKB 145 

CHAPITRE XI—LES VERBES RÉGULIERS ... is4 

MODIFICATIONS ORTHOORAPHiaVB) DES VBkSBl. tîl 

VERRES NEUTRES l6j 

VERBES PASSIFS ]£j 

VERBES PRONOMINAUX 'lâj 

CHAPITRE XII— LES VERBES IRRÉGULIËRS. ., i68 

nEHIËRE SBCnOH.— CLAMES I69 

jnclMW. Verbes tenninéi par «tn, «tn, 

0»!»; veri>es pirtra etnkrt. ..... 1(9 

2*cUiu. Modèle dandr ". . . 170 

j*dêsti. Verbes tenninés par drt. ... . 17a 



• lS'- 



TAILB DES lUTtbUS 




■ i>, Google 



»< 



I. PRtPOtmOHl CATAUNES . 



II. nirOHTIOKS FUNÇAISB I17 

■ à ai7 

cbei stS 

iam 219 

Jt . . .' '. 119 

m ' 3IO 

m. LES ntirounoNs catalanes p«r et pan et les 

raÉrosmoNintANÇAiiBs^MiriT^, , , , aïo 

CHAPITRE XV— LES CONJONCTIONS 314 

ni 324 . 

mûis * 324 

'^ fue .. i ..'... 235 

eemmt , 226 

CHAPITRE XVI— SYNTAXE '•,•••• "7 

OCMPLtlIBHT DBSTBIWIS 328 

- ttTKniHKATIOH • . . , , 239 



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A CORRIGER: 
Page 14, ligoe 6, m lieo d« Mtl,ahèlf, Akitt, lin rakèii. 

Page 14, tlgoe 9, an lien de Akit(, lire mkètç. 

Page 57) ligne 17, dernier mot, au lien de laa, Un 1m 

Page £7, Mconde colonne, an lieu de 101 cwt «, lire loi 
««(4)1. 

Page 67, dernier mot du $ i )8, au lien de ■!, lire ail 

P^ 150, Indicatif impaibit, première colonne, en lieu 
de an, ar«a, art, lire ara (é), araa (é), ara (é). 

Page iSo, Sut^onctif pr£fcnt, deuxième colonne, au lieu 
de Uaua (i). Use* (è), lire tasam, taaan. - - 

La nation m aurait dA être toujoura tuivie de 1 indica- 
tion(«). 



a i/rninanMib te— ai»«ai<«* 



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